Le 18 mai 1954, GUEURTEN Daniel voit le jour à Visé (Richelle). Il sera pharmacien à Waremme.
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Naissance de Jean-François Blairvacq (Waremme)
Le 7 septembre 1963, BLAIRVACQ Jean-François voit le jour à Waremme. Il reprendra la pharmacie de son père.
La voiture de Jean Blairvacq (Waremme – Allemagne)
Le 20 août 1959, le bourgmestre de Waremme, LEBURTON Edmond, rédige une attestation certifiant que la voiture « Opel Olympia », immatriculée 430.892, appartenant à Monsieur BLAIRVACQ Jean, demeurant au n° 20 de la rue Joseph Wauters à Waremme, et qui a été enlevée dans les premiers jours du mois de septembre 1944, par les soldats allemands battant en retraite, a servi pendant l’occupation allemande, à son propriétaire pour l’approvisionnement de sa pharmacie en médicaments.
Jean Blairvacq, volé par les Allemands (Waremme)
En septembre 1944, les Allemands, qui doivent battre en retraite, « réquisitionnent » la voiture du pharmacien de Waremme, BLAIRVACQ Jean. Il s’agit d’une Opel Olympia.
Les « Pierres » Jean Delbrouck-Van Slype (Waremme)
En mai 1949, l’entreprise de marbres et pierres DELBROUCK-VAN SLYPE Jean est installée au n° 7 de la rue d’Oleye à Waremme. Son n° de téléphone est le 228.
Le pharmacien HENIN Jules fait partie de sa clientèle.
La pharmacie Gérard attaquée (Waremme)
Le 1er février 1993, la pharmacie située au n° 44 de l’avenue Reine Astrid à Waremme, exploitée par Monsieur GERARD, est attaquée par deux individus armés. Ils prennent en otage une jeune cliente et se font remettre le contenu de la caisse.
Ouverture des Pharmacies Populaires (Waremme)
Le 10 septembre 1952, les Pharmacies Populaires ouvrent une officine à Waremme.
La pharmacie Jacob (Waremme)
En 1951, JACOB François, fraîchement diplômé de l’université de Liège, reprend une Pharmacie, rue Joseph Wauters à Waremme (la plus ancienne officine de la ville).
La pharmacie de Jean Blairvacq (Waremme)
En 1950, BLAIRVACQ Jean exploite une pharmacie au coin de la rue du Perron et de la rue Joseph Wauters. Son épouse est LAMBERT Suzanne.
Un aviateur belge abattu se dirige vers Waremme
Le 11 mai 1940, alors que l’aviation belge tente de détruire les ponts de Vroenhoven et de Veldwezelt qui n’ont pas sauté, le Gloster Gladiator du capitaine GUISGAND, est mis à mal par des Messerschmitt Me 109 allemands. Il doit se poser en catastrophe dans la campagne de Faîmes, dans le champs de betteraves du fermier VANDERMEIR Georges, sous les yeux de HUMBLET Camille, son fils HUMBLET Hubert et du domestique SEBA Joseph, qui répandent de l’engrais sur le champs d’avoine « HUMBLET ».
Ils le voient sauter de l’appareil, couvert d’huile et blessé au visage. Il prend ensuite calmement la direction de Waremme. Là, il se rend à la gendarmerie, d’où il téléphone à l’état-major de son escadrille, à Beauvechain.
Il se rend ensuite à la pharmacie « GIELEN » où on lui donne des compresses pour ses blessures au visage. Sur les conseils du pharmacien, il va prendre un petit-déjeuner à l’Hôtel « LAVAL », en face de la gare. Il y attend le véhicule de maintenance de son escadrille.