Vers 1965 (?), GOFFIN Philippe rachète une ferme à Rosoux-Crenwick.
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La ferme Goffin (Rosoux)
En février 2021, la ferme GOFFIN (également appelée Ferme des Hêtres) de Rosoux-Crenwick dispose d’un domaine de 110 hectares. Elle y produit:
- des pommes
- des poires
- des cerises
- des noisettes
- des asperges
Elle est exploitée par GOFFIN Nicolas et GOFFIN Alexandre (petits-fils de GOFFIN Philippe)
Le député Philippe Goffin (Crisnée)
Entre 2010 et 2014, le député MR de Crisnée, GOFFIN Philippe, a:
- déposé 56 textes,
- posé 8 questions orales en séance publique,
- posé 25 questions orales en commission,
- posé 56 questions écrites
Les candidats libéraux (Huy-Waremme)
En mai 2014, les candidats MR, de Huy-Waremme, pour les prochaines élections:
Au Sénat
- MICHEL Louis, 1er effectif
- PARENT Françoise, 4ème suppléante
- HAZETTE Pierre, 6ème suppléant
A la Région
- JAMAR Hervé, 1er effectif
- DOCK Magali, 2ème effective
- DUBOIS Philippe, 3ème effectif
- LAMBIE Evelyne, 4ème effective
- LECERF Patrick, 1er suppléant
- WARNANT Marie-Christine, 2ème suppléante
- PIRE Christophe, 3ème suppléant
- MOTTARD Marie-Noëlle, 4ème suppléante
A la Chambre
- BACQUELAINE Daniel, 1er effectif
- GOFFIN Philippe, 3ème effectif
- CASSART Caroline, 5ème effective
- DOUETTE Emmanuel, dit « Manu », 11ème effectif
- GUSTIN Luc, 1er suppléant
- TOSI Katty, 6ème suppléante
Maquette de la Maison Communale (Crisnée)
Le 18 mars 2016, le bourgmestre de Crisnée, GOFFIN Philippe, présente la maquette au 1/10° de la future Maison Communale. Elle sera construite sur le site de l’ancien cinéma en plein air. Elle devrait être terminée en juin 2018.
Philippe Goffin, bourgmestre (Crisnée)
En avril 2016, GOFFIN Philippe est bourgmestre de Crisnée.
Naissance de Corinne François (Waremme)
Le 14 février 1962, FRANCOIS Corinne voit le jour à Waremme. Elle épousera le boulanger GOFFIN Philippe.
Mariage de Philippe Goffin et de Corinne François (Waremme)
Le 4 août 1990, GOFFIN Philippe épouse FRANCOIS Corinne, également native de Waremme.
Naissance de Philippe Goffin (Waremme)
Le 2 janvier 1966, GOFFIN Philippe voit le jour à Waremme. Il y sera boulanger-pâtissier.
Quatrième audience pour Daniel François et Alain Michelet (Waremme – Liège)
Le 21 février 2014, la 8ème Chambre du Tribunal Correctionnel de Liège poursuit l’examen du dossier à charge de FRANCOIS Daniel, chef de corps de la zone de police de Hesbaye, et de son adjoint, le commissaire MICHELET Alain, poursuivis pour faux en écritures, harcèlement, traitement dégradant et pour avoir involontairement causé la mort de KOCH Sandra. Cette dernière, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils, le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours, un an plus tard, à la prison de Lantin. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir subi des pressions de la part de ses supérieurs.
Cette audience est consacrée à la poursuite de l’audition de témoins: GOFFIN Philippe, bourgmestre de Crisnée, où KOCH Sandra a été déplacée peu avant le drame; un ancien policier de Waremme, aujourd’hui à Fexhe-le-Haut-Clocher, qui a enregistré une conversation avec le commissaire FRANCOIS Daniel; une civile, responsable du service du personnel à la police de Waremme; l’inspecteur de police, responsables des agents de quartier à Waremme, qui a « évalué » KOCH Sandra dans cette fonction. Que ressort-il de ces auditions ?
Après le soulagement, l’abattement
Après avoir appris la nouvelle que son évaluation négative était retirée, mais que sa mutation à Crisnée restait effective, KOCH Sandra s’est montrée soulagée, voire revancharde, ainsi que l’a fait ressortir un témoignage précédent. Peu de temps avant le drame, le bourgmestre de Crisnée,GOFFIN Philippe, a rencontré KOCH Sandra sur le lieu d’un accident de la circulation. Il l’a saluée, mais il n’a pas pu faire réellement sa connaissance; elle avait le regard vide, absent et semblait s’interroger sur son avenir. Que s’est-il passé pendant cette période ? Interrogé par le tribunal, GOFFIN Philippe confirme que les conditions de travail à Crisnée sont très bonnes et que les policiers sont connus pour être agréables.
D’autres policiers auraient été contraints de « faire sauter des PV »
Un collègue de KOCH Sandra rapporte qu’il a été convoqué à plusieurs reprises chez le commissaire FRANCOIS Daniel et ce dernier lui aurait « conseillé » de classer des PV. Ces demandes pouvaient provenir du bourgmestre. Le commissaire serait devenu arrogant et agressif lorsque le policier n’obtempérait pas immédiatement à ces demandes. Il se mettait à crier et devenait menaçant. Le policier en serait venu à ne plus avoir envie de verbaliser. Après la ènième convocation dans le bureau du commissaire, le policier déclare avoir voulu se couvrir et avoir emporté un dictaphone pour enregistrer la conversation. Il dit avoir refusé de classer un PV pour mauvais stationnement, ce qui aurait provoqué la colère du commissaire FRANCOIS, au point que les éclats de voix auraient été perçus par deux collègues dans un bureau voisin. Cet enregistrement a été remis au Comité P, lors de son enquête administrative.
Le commissaire FRANCOIS demande alors la parole et déclare que cette conversation s’est déroulée par téléphone et qu’il s’agit d’un enregistrement illégal.
Manifestement, l’un des deux protagoniste ne dit pas la vérité !
Le Tribunal décide de demander au Comité P de lui transmettre la bande afin de se faire une idée plus précise. L’audition de cette bande aura lieu le 21 mars prochain.
L’évaluation de KOCH Sandra aurait été changée
La responsable du service du personnel de la police de Waremme déclare que le commissaire FRANCOIS, à la sortie du Conseil de Police, lui aurait dit que la mention « insatisfaisant » de l’évaluation de KOCH Sandra avait été changée en « satisfaisant » et qu’elle pouvait clôturer le dossier d’avancement barémique, ce qui n’aurait pas été possible si la mention n’avait pas été positive. Il n’y a pas eu de recours contre l’évaluation. Elle n’a jamais eu connaissance que l’évaluation aurait été suspendue et qu’une évaluation progressive devait avoir lieu. Pour elle, l’évaluation « insatisfaisante » avait été modifiée en « satisfaisante ».
Note: L’évaluation devant respecter des délais très précis. Si la procédure n’a pas été clôturée dans les règles, pour la fin de la période d’évaluation, le Législateur n’aurait-il pas prévu que l’évaluation « satisfaisante » soit automatiquement attribuée à l’agent pour cette période ?
L’ambiance au commissariat de Waremme serait « à la bonne franquette » et sous ses aspects bourrus, le commissaire FRANCOIS serait « social ».
La responsable du service du personnel, dont le bureau est voisin de celui du commissaire FRANCOIS Daniel, ajoute que l’ambiance est « bon enfant » au commissariat de Waremme; que le commissaire FRANCOIS vient prendre son café avec les autres. Certes, il n’est pas bavard, mais il répond normalement quand on lui adresse la parole; certes, il a une voix forte, mais elle n’a pas le souvenir de l’avoir entendu crier. Il est « social », en ce sens qu’il s’enquiert de la santé des agents gravement malades. A la question de la présidente lui demandant s’il s’est enquis de la santé de KOCH Sandra pendant son congé maladie, elle répond qu’elle n’avait quand même qu’une entorse !
Pour elle, KOCH Sandra n’a été harcelée, ni par le commissaire FRANCOIS, ni par le commissaire MICHELET.
Le comportement de KOCH Sandra aurait changé après sa nomination définitive.
L’inspecteur responsable des agents de quartier à Waremme a été le « mentor » (parrain) de KOCH Sandra lors de son arrivée. Il a rendu une évaluation favorable à l’issue de son stage (évaluation dans le sens « rapport de stage »). Après avoir suivi la formation, elle a été nommée officiellement. A partir de ce moment, elle aurait pris de l’assurance, aurait commencé à agir avec plus de désinvolture, à ne plus respecter l’autorité et à prendre des décisions sans consulter ses supérieurs. Elle se serait mise à verbaliser à outrance et à mal réagir aux critiques. Le commissaire MICHELET aurait essayer de la « recadrer » à plusieurs reprises.
Il ajoute que les agents qui travaillaient bien n’avaient aucun problème avec le commissaire FRANCOIS.Il a entendu des rumeurs selon lesquelles ce dernier pouvait se mettre en colère et crier, mais lui-même ne l’a jamais constaté.
Quelques dates à retenir: le 7 mars la déposition du collège d’experts, le 21 mars l’audition de l’enregistrement, actuellement aux mains du Comité P, le 28 mars début des plaidoiries.