En 1900, il y a 142 maisons en briques et en pierres, à Hodeige. Il n’y en a que quelques-une en bois et en argile.
La superficie cultivée est de 425 ha 70 ça.
En 1900, il y a 142 maisons en briques et en pierres, à Hodeige. Il n’y en a que quelques-une en bois et en argile.
La superficie cultivée est de 425 ha 70 ça.
Le 12 mai 1867, le Conseil Communal de Hollogne-sur-Geer constate que d’importants dégâts ont été causés au chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy », dans la traversée de son territoire. Il négocie avec la sucrerie NAVEAU, pour qu’elle prenne en charge une partie des frais de réparation. Elle accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à cet usage.
En avril 1893, BRUSKIN J. est marchand de pierres, à Waremme.
En 1652 (1653 ?), le château de Hollogne-sur-Geer est tellement dévasté qu’il doit être reconstruit, au même emplacement. Il garde un caractère défensif. Il est entouré de douves, protégé par une tour carrée en pierres gardant l’entrée et une seconde tour circulaire.
Le 22 novembre 1844, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond vient voir les nouveaux travaux chez LAMBOTTE Englebert, au Moulin de Waremme. En réalisant les rigoles, il a trouvé d’anciennes fondations et de larges pierres plates brutes.
En 1842, il y a 300 habitations à Waremme (1570 habitants). Elles se répartissent comme suit:
Elles sont construites en pierres et en briques, à l’exception de quelques-unes en bois et en argile. Elles sont couvertes, les unes en ardoises, les autres en tuiles et les dernières en paille.
En 1952, le Monument aux Victimes de Guerre est inauguré à Waremme. Des pierres, récupérées lors de la démolition de la Justice de Paix, ont été utilisées pour sa construction.
Le 21 mars 1767, le Prince-Evêque de Liège, D’OUTREMONT Charles-Nicolas, édicte un mandement qui défend d’enlever les pierres et le gravier du chemin appelé « Chaussée des Romains » et de s’en approprier successivement diverses parties de cette chaussée en les labourant.
En mai 1949, l’entreprise de marbres et pierres DELBROUCK-VAN SLYPE Jean est installée au n° 7 de la rue d’Oleye à Waremme. Son n° de téléphone est le 228.
Le pharmacien HENIN Jules fait partie de sa clientèle.
Le 20 juillet 1942, des patrouilleurs de Waremme interceptent des voleurs de seigle. Ceux-ci leur jetent des pierres, avant de prendre la fuite.