Les Poilus arrivent à Waremme (France)

Le 23 novembre 1918, les Français arrivent à Waremme. Ils défilent, au son de la fanfare, de la Place de la Gare jusqu’à la Porte de Liège.

Durant leur présence à Waremme, ces « Poilus » vont se montrer particulièrement « assoiffés » et surtout très « galants ».

Le commerce dans le quartier de la gare de Waremme

En 1911, l’annuaire téléphonique apprend que se situent rue de la Station:

  • la boucherie « Goffard » (n° 9)
  • la location de voitures « Depas et Fils » (n° 26)

et sur la place de la Gare:

  • les Etablissements « Evrard »
  • l’Hôtel du Chemin de Fer (tenu par la famille HEINE, qui loue également des véhicules)
  • l’Hôtel-Restaurant de Hesbaye (tenu par Monsieur LAVAL)
  • les Ameublements « Lallemend-Duchâteau »
  • les Vins « Laval & Cie »
  • le médecin HANSOUL
  • la pâtisserie « Servais »
  • la pharmacie « Boden »
  • les tabacs et chapeaux « Pirotte »
  • les Vins « Thirion »
  • l’Union Coopérative et la Maison du Peuple
  • les Ameublements « Verbert »

La maison « Doyen » occupées par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 1er août 1941, des « Feldgrau » occupent la maison « DOYEN », place de la Gare à Waremme (qui deviendra la place Ernest Rongvaux). Ils y resteront jusqu’au 1er avril 1942.

L’horlogerie-bijouterie d’Emile Nélis déménage (Waremme)

En 1921, l’horlogerie-bijouterie, NELIS Emile, quitte la place de la gare pour s’installer rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), dans un immeuble qui a appartenu à la famille GOBLET, à droite de la boulangerie ouverte peu de temps avant, par CHAUDIERE Godefroid.

La « Maison Nelis » vend aussi des phonographes et est le représentant de la marque « La Voix de son Maître » pour la région.

Les Ateliers Doyen (Waremme)

Vers 1911 (?), (dès avant la Première Guerre Mondiale), l’entreprise de fabrication de machines agricoles « Les Ateliers DOYEN », opte pour le recours à l’énergie électrique. Elle est installée non loin de la gare, en bordure de la place (qui deviendra plus tard la Place Ernest Rongvaux) et de la rue (qui s’appellera plus tard la rue des Combattants).

L’horlogerie d’Emile Nélis (Waremme)

En 1910, NELIS Emile reprend le commerce de l’horloger PENNAERS, installé place de la Gare (qui deviendra plus tard la place Ernest Rongvaux) à Waremme.

Wéry, marchand de grains (Waremme)

Avant 1907, les bâtiments du marchand de grains, Monsieur WERY, équipés de monte-charges, sont situés en bordure de la place de la Gare (qui deviendra plus tard la Place Ernest Rongvaux) à Waremme. Ils sont reliés au chemin de fer par un raccordement traversant la place.

Henri Coune, coiffeur (Waremme)

Aux environs de 1900, le salon de coiffure de COUNE Henri est installé au n° 3 de la Place de la Gare, qui deviendra la place Ernest Rongvaux, à côté de l’Hôtel de Hesbaye.

Installation de la Sucrerie « Mommens » à Waremme

En 1865, la Société d’Agriculture Industrielle, dont le siège est à Liège, prend la décision de créer une deuxième sucrerie à Waremme, entre la place de la Station (qui deviendra plus tard la Place Ernest Rongvaux), et la future rue des Combattants, (dans ce qui deviendra la « Cité Huart »). Elle sera gérée par Monsieur MOMMENS. Cette entreprise est la seconde exerçant cette activité, à s’installer non loin du chemin de fer (après la Sucrerie LAURENTY).