La veuve Hubert fait des travaux (Crisnée)

Le 26 septembre 1888, la veuve de HUBERT Joseph, cabaretière à Crisnée, est autorisée à placer en encadrement en pierre de taille à une fenêtre de sa maison, sise en bordure de la route Liège – Saint-Trond, entre les bornes kilométriques 15 et 16.

La briqueterie de Ferdinand Lahaye (Crisnée)

Le 25 mai 1886, LAHAYE Ferdinand est autorisé à établir une briqueterie sur son jardin, sis à Crisnée, au lieu-dit « Le Village ». Les fours sont placés au centre de la propriété, à 20 mètres du chemin.

Les marches de Jean-joseph Kinet (Crisnée)

En 1858, KINET Jean-Joseph, instituteur à Crisnée, est autorisé à placer deux nouvelles marches devant sa maison sise sur la route de Liège à saint-Trond, au lieu-dit « Aux Croix ».

Les combattants de la Deuxième Guerre sur le Monument (Crisnée)

Le 1er mai 1953, le conseil communal de Crisnée décide de placer, sur le monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, une plaquette sur laquelle MOUHA Alexis grave le nom des combattants, prisonniers, déportés et réfractaires de la Deuxième Guerre Mondiale. Il est à noter que le nom des Résistants n’apparaît pas sur cette plaquette.

Embellissement du Monument aux Combattants (Crisnée)

En 1953, le conseil communal de Crisnée décide de compléter le Monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, érigé en 1923, et de placer une bordure en pierre entre les bornes reliées par une chaînette.

Une nouvelle cloche à Oleye

En mai 1950, le fondeur de cloches, SLEGERS Georges, de Tellin, soumissionne pour la fourniture d’une nouvelle cloche de 775 kilos pour l’église paroissiale d’Oleye. Il propose un prix global de 49.000 francs, transport et placement compris.

Dédoublement d’une classe (Crisnée)

En 1915, vu le grand nombre d’élèves, le conseil communal de Crisnée décide de dédoubler la classe tenue par l’instituteur LAHAYE Charles. Une cloison est placée dans le sens de la largeur. SAUVAGE Nicolas est nommé pour enseigner dans cette classe supplémentaire.

Mort de Charles Lapierre (Crisnée)

En 1918, LAPIERRE Charles décède d’un refroidissemnt à Crisnée, à l’âge de 32 ans. Il a été charron et scieur en long à Crisnée. Sa jeune veuve est COENEN Elise-Marie-Hélène. Il laisse 4 enfants en bas-âge qui seront placés chez des habitants du village:

  • LAPIERRE Edgar, chez JACQUEMOTTE Nicolas, dit « Amon Griff »
  • LAPIERRE Jules, chez PRINCEN
  • LAPIERRE Albert, chez BOLLAND Gérard
  • LAPIERRE Léopold, le benjamin, chez le pharmacien TOMBEUR Nicolas

Une horloge sur l’église (Crisnée)

Le 12 septembre 1908, le conseil communal de Crisnée décide de placer une horloge au mur de la façade de l’église du village, pour un budget de 600 francs.

Cimetière désaffecté (Thys)

Vers 1911 – 1912, le cimetière qui entoure l’église Saint-Pierre de Thys est désaffecté. Quelques croix funéraires sont dressées contre le mur sud de la clôture.