Le 14 mars 1891, en séance du Conseil Communal de Waremme, RENIER Eugène propose un plan de nivellement des remparts. Il est soutenu par:
- DOTRENGE
- MARCOTTY
- GERBEHAYE
Le 14 mars 1891, en séance du Conseil Communal de Waremme, RENIER Eugène propose un plan de nivellement des remparts. Il est soutenu par:
Le 20 décembre 1828, l’ingénieur-vérificateur BAYET et le géomètre de 1ère classe HUBERTY terminent le plan cadastral parcellaire de la commune de Hodeige.
Le 26 mars 1948, les autorités communales de Remicourt dressent leur plan quinquennal de travaux:
Le 21 août 1916, le menuisier de Remicourt LAMBOTTE Emile installe, à la sacristie de l’église du village, une armoire qu’il a confectionnée sur un plan dressé par MOES E., architecte à Ans, pour un coût de 725 francs.
En mars 1981, une prospection est effectuée sur le champ voisin de la fosse, découverte sur le « site de la Tène » à Momalle en 1975 et dite « fosse n°1 ».
Ces nouvelles recherches révèlent deux autres fosses, profondément saccagées par le labour. La fosse, dite « fosse n° 2 », située à 35 mètres du bord du champ, est fouillée par DESTEXHE Guy, avec l’aide de DESTEXHE-JAMOTTE J.
Cette fosse a une ouverture circulaire de 1 mètre 60 de diamètre et une profondeur de 1 mètre 40. Son profil est très nettement incurvé. Dans le fond, le plan est elliptique, avec des dimensions de 3 mètres sur 2 mètres 50. Sous la couche arable, la fosse est comblée par une masse assez homogène de terre noire contenant de nombreux charbons de bois. Cette masse, interrompue par une fine couche compacte de foyer surmonte une couche de terre grise. Du matériel est découvert dans la couche de terre noire.
Dans le courant de Vendémiaire de l’An X, l’arpenteur-géomètre-forestier LEDUC G. établit le plan géométrique de la commune de Hollogne-sur-Geer.
En 1828, le géomètre MASSILLON S.-F. dresse un plan cadastral de la commune de Hollogne-sur-Geer.
En 1828, un plan précis de la commune fait apparaître clairement les bâtiments de la ferme en carré de Hollogne-sur-Geer. (Ils n’apparaissaient pas sur un plan daté de 1801).
En 1994, le site des « Cinq Tombes d’Omal » est situé en bordure de la chaussée romaine, entre Waremme et Braives.
4 de ces tumulus sont alignés au Nord de la route, masqués par un bosquet d’arbres et de hautes broussailles. Le site est clôturé. Hauts de 4 à 5 mètres, ils sont de plan irrégulièrement ovale. Le tumulus n° 1 est le plus petit, avec des axes de 21 m sur 17m50. Les tumulus du milieu, n° 2 et n° 3 sont défoncés par de grands trous et ils présentent des axes de 23m sur 26 m. Le tumulus Ouest, n° 4, a des axes de 23 m sur 26 m.
Le 5ème, au Sud, est isolé et bien visible. Il est également de forme ovale avec des axes de 20m sur 22m80. Il présente une hauteur de 5m20.
En 1874, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives », caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe », est fouillé par DE LOOZ G. pour le compte de l’Etat. Il recouvre un grand caveau central, de plan trapézoïdal de 4m50 sur 4m75, d’une profondeur de 4 m.
L’archéologue note la présence d’un pieu central. Le mobilier funéraire est composé, entre autres, de deux harnachements de chevaux constitués de lanières en cuir rehaussés de décorations en bronze, et de deux mors.
L’excellente conservation des cuirs en fait une trouvaille exceptionnelle en Belgique. (Ces harnachements seront conservés aux Musées Royaux d’Art et d’Histoire de Bruxelles. Le reste du mobilier sera conservé au Musée Curtius de Liège.