En juin 1712, le plancher et la toiture de l’église de Hodeige sont fort délabrés. Le cimetière a également besoin de réparations.
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Des réparations à la paroisse (Hodeige)
En octobre 1699, le plancher de l’église de Hodeige est défectueux et doit être réparé, ainsi que les fenêtres. Le cimetière a également besoin de réparations.
Travaux à la ferme en carré de Saives
Dans le courant de l’An VII, les toits d’ardoises de la ferme en carré de la Seigneurie de Saives, sont percés de toute part au point que la pluie retombe dans la grange, dans les fenils et sur les planchers.
Les travaux de restauration des toitures sont effectués par le maître-couvreur JAMOTTE F., pour la somme de 149 livres.
Démolition de l’ancienne église (Crisnée)
Le 17 avril 1900, le premier coup de pioche de la démolition de l’ancienne église est donné à Crisnée, 3 ans après la prise de décision.
Pour assurer les cérémonies du culte, un hangar en bois, sans plancher, est accolé à la chapelle « Notre-Dame de lourdes », au lieu-dit « Â Pont ». C’est là que les paroissiens de Crisnée devront « aller à messe » pendant un long moment.
Description de la Tour-Colombier (Omal)
En 1932, le Bulletin de la Société d’Art et d’Histoire du Diocèse de Liège publie une description de la Tour-Colombier d’Omal.
» … Couvrant un rectangle de 7,28 mètres de large, sur une profondeur de 7,67 mètres, elle présente sa façade au N-E. Sa hauteur maximale est de 13 mètres.
Sur un soubassement en moellons de calcaire, haut de 2 mètres, au-dessus duquel court un cordon de même matière, s’élèvent les murs en briques se terminant, à la façade antérieure et à la partie postérieure en pignon dépassant le niveau du toit à deux versants, recouvert de tuiles.
Les murs latéraux ont été élevés avec une inclinaison visible à l’oeil, ce qui a eu pour résultat de leur conférer plus de résistance.
Les angles du bâtiment, du côté de la grand-route, sont garnis sur toute leur hauteur d’un chaînage en calcaire; les deux autres angles ne sont pourvus d’un chaînage analogue que sur leur moitié inférieure.
C’est de calcaire aussi que sont formés l’encadrement de la porte en plein cintre, ceux des fenêtres et les quatre meurtrières percées dans les murailles.
Les rampants des deux pignons montrent un dispositif très caractéristique: les joints des briques sont perpendiculaires à l’inclinaison de ces rampants.
De petits arcs de décharge , en briques, surmontent les linteaux des fenêtres, tandis qu’un double cintre, également en briques, suit la voussure en pierre de la porte.
Ces détails constructifs concourent à la parure de la maçonnerie et sont complétés par des ancrages décoratifs en fer, dont quatre dans le mur longeant la route, forment la date « 1625 ».
Dans la façade, est encastrée une dalle de calcaire portant les armoiries des époux MOLLIN et MENJOYE qui firent édifier le bâtiment.
La porte s’ouvre à une certaine hauteur dans le soubassement. Le seuil se trouve à 1m20 du sol (Le talus, supportant quelques blocs de grès en guise de marches qui y donnent accès, a été établi par après. A l’origine, on devait y parvenir par une sorte d’échelle que l’on pouvait retirer en cas de nécessité).
La porte est composée de planches garnies d’une petite moulure, clouées sur des barres. Ces planches ne sont pas d’égale largeur: les deux planches qui se trouvent au milieu mesurent 11 cm, tandis que de part et d’autre, sont des planches de 24 cm. Cette porte est pendue sur deux pentures en fer forgé, attachées vers l’intérieur. La pièce où elle débouche occupe toute la surface du bâtiment.
Le mur de refend (mur intérieur de séparation), qui s’y voit, a été élevé à une époque plus récente pour supporter les poutres du plafond, qui menaçaient de s’écrouler. Ces poutres, au nombre de quatre, sont posées sur angle, de manière à soutenir les voussettes en briques.
Au fond de la pièce, à l’opposite de la porte, le vaste manteau de cheminée porte sur des pilastres en briques, surmontés d’une tablette en calcaire. On a, postérieurement, éventré le contre-coeur de l’âtre, pour donner ouverture à la gueule d’un four qui a été construit en appendice.
A droite de la porte, un escalier à vis en bois, fort délabré, conduisait à l’étage et se se continuait jusqu’au grenier, dont le plancher s’est effondré et qu’éclairaient deux oculus en briques, aujourd’hui bouchés. Les murs à l’intérieur du dernier niveau sont percés de trente alvéoles pour protéger les pigeons.
Les deux autres pièces prenaient jour chacune par quatre petites fenêtres du type courant dans les constructions liégeoises de l’époque.
Les murs sont, au rez-de-chaussée, percés de quatre meurtrières, dont deux commandaient la grand-route et deux le chemin latéral. Leur présence et le fait que la porte n’était point directement accessible, de même que l’existence aux fenêtres de barreaux de fer garnis de pointes, de volets (qui ont d’ailleurs disparus), donnent à penser que cette construction constituait un refuge établi en vue de résister à un coup de main.
Au cours des guerres du XVIIe siècle, les villageois devaient pouvoir se protéger contre les tentatives de bandes de maraudeurs ou de pillards, soldats licenciés ou mal payés, malandrins en tout genre, que les armées traînaient à leur suite. Le bâtiment se présente sous l’aspect d’une petite forteresse destinée à être utilisée lors du passage de ces bandits. … »
L’ancienne église de Remicourt sera démolie
Le 19 juillet 1911, le Gouverneur de la Province de Liège fait savoir que l’ancienne église de Remicourt, trop petite et trop vétuste, est destinée à être démolie; que son emplacement servira à agrandir le cimetière et à réaliser une morgue (dans l’ancien chœur).
Lors des travaux, plusieurs pierres tombales et des petits pavés de la fin du Moyen-Âge seront retrouvés sous le plancher de l’édifice.
Incendie à la Villa Renwart (Waremme)
Le 17 janvier 2015, un incendie se déclare à la Villa Renwart, située rue de Huy à Waremme, un des derniers joyau architectural de la ville.
A l’arrivée des pompiers, le plancher du rez-de-chaussée et celui de l’étage sont en feu. L’incendie est maîtrisé en une vingtaine de minutes. Il est probablement d’origine volontaire.
La villa est abandonnée et squattée depuis de nombreuses années. L’intervention des pompiers a été rendue difficile à cause de la végétation qui a envahi le parc.
Restauration de la chapelle des Filles de la Croix (Waremme)
En 1947, la chapelle de l’Institut Notre-Dame des Filles de la Croix, abimée par le bombardement d’août 1944 est remise à neuf : travaux de peinture, remplacement des vitres, réalisation d’un plancher, …