L’aide du Bureau de Bienfaisance aux indigents (Waremme)

Le 7 mai 1846, en raison de la crise de l’alimentation dans la ville, le conseil communal de Waremme accorde l’autorisation au Bureau de Bienfaisance de la commune, de retirer de la Caisse d’Epargne une somme de 3.000 francs, destinée à l’achat de pommes de terre et autres secours en faveur des indigents. Cette autorisation est accordée sous la condition expresse que la moitié au moins de cette somme soit employée à l’achat de pommes de terre pour la plantation.

Démissions et nominations à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 20 janvier 1822, FRAIPONT et FRERARD démissionnent du conseil de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. Ils sont remplacés par FRAIPONT Augustin et MELARD « fils ». On décide également de replanter des arbres dans le prestia.

Un nouvel « Arbre de la Liberté » est planté (Waremme – France)

Le 22 septembre 1797, le tilleul qui borde l’entrée de la rue de la Porte de Liège (qui deviendra l’avenue Leburton) est planté par l’agent municipal RENIER Jean-Joseph Renier, pour commémorer l’instauration de la République française : d’où son nom : Arbre de la liberté, parfois appelé Arbre de l’Indépendance.

Un premier arbre, planté au même endroit en 1792 a, en effet, disparu dans des circonstances restées mystérieuses.

L’Arbre de la Liberté est planté (Waremme)

Le 25 décembre (octobre ?) 1792, les troupes françaises du général DIETTMAN décident de planter un « Arbre de la Liberté » devant la maison LEJEUNE-D’ANGLURE, qui sera plus tard appelée « Maison Réard ».

C’est la fin de la Principauté de Liège. Waremme fait alors partie du Département de l’Ourthe. Les couvents sont fermés et vendus (ils seront démolis plus tard). La conscription obligatoire envoie combattre aux quatre coins de l’Europe, une vingtaine de Waremmiens mis au service de Napoléon. Plusieurs n’en sont jamais revenus.

Les Gaulois ne peuvent plus planter de vignes

domitien

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En 92, l’Empereur DOMITIEN interdit aux Gaulois de planter des vignes, pour éviter la concurrence aux viticulteurs italiens.