Mariage d’Arnould VI de Corswarem et Marie de Waroux

En (?), DE CORSWAREM Arnould VI épouse DE WAROUX Marie, en deuxièmes noces. Elle lui apporte les Seigneuries de Herck-Saint-Lambert et de Bois-Pollard.

Ils auront 4 enfants:

  • DE CORSWAREM Wauthier, qui sera chanoine de Saint-Lambert, Doyen de Liège, abbé séculier de Visé et d’Amay (l’abbatialité d’Amay sera longtemps l’apanage de la famille DE CORSWAREM).
  • DE CORSWAREM Jeanne, qui épousera HOENS Nicolas, Seigneur de Hoensbroeck. Veuve, elle mourra poignardée à Hannut.
  • DE CORSWAREM Jean, qui épousera en premières noces DE MORIALMEZ Jacqueline, héritière de Landelies, et en deuxièmes noces DE STEVOORT Claire.
  • DE CORSWAREM Libert, qui épousera KELLENEERS Marguerite, fille de KELLENEERS Art. (?) et de DE CHINY Marguerite.

L’abbé Gilottin, poignardé (Hodeige)

Vers 1595, l’abbé GILOTTIN Amel, desserviteur de la paroisse de Hodeige, reçoit un coup de poignard d’un de ses paroissiens, pour avoir déposé contre lui devant l’Archidiacre, lors de sa visite archidiaconale.

Meurtre à Waremme

Début avril 1755, un médecin de Waremme atteint de frénésie ne pouvait souffrir nul en sa présence, sinon un jeune Père Récollet de Verviers, le fils GURNADE (GRENADE ?) Jean, pour lors au couvent de Waremme pour y enseigner le latin et la philosophie aux novices. Une nuit son mal redoublant, il poignarda le Père Récollet et lui froissa la tête avec la culasse de son pistolet.

Mort de Jean-Paul Marat (France)

MARAT Jean-Paul

Le 13 juillet 1793, CORDAY Charlotte poignarde le révolutionnaire MARAT Jean-Paul dans sa baignoire.

CORDAY Charlotte

Ce samedi, CORDAY Charlotte, jeune aristocrate de la région de Caen, se rend à la maison de MARAT Jean-Paul pour l’assassiner, voyant en lui l’incarnation du mal. Elle entre dans l’immeuble de la rue des Cordeliers, mais au premier étage, elle est arrêtée par EVRARD Simonne, la maîtresse de MARAT, avec laquelle une vive discussion s’engage. Quand MARAT entend que la visiteuse semble avoir amené une liste d’adversaires de la Révolution, il ordonne de la laisser passer.

Selon son habitude, il travaille dans sa baignoire, car cela le soulage d’une maladie de peau. Une grande planche pour écrire repose sur la largeur de la baignoire.

Elle commence à lire les noms de prétendus réactionnaires et MARAT les griffonne nerveusement. CORDAY Charlotte y voit sa chance. Elle sort un poignard, de sous le grand châle qu’elle porte malgré la chaleur de juillet, et le plante dans la poitrine de MARAT, le tuant sur le coup.

Elle sera arrêtée et guillotinée quelques jours plus tard.