Eglise polluée (Remicourt)

Le 8 février 2024, un défectuosité à la chaudière cause une importante pollution à la suie dans l’église de Remicourt.

Travaux à l’église (Remicourt)

Le 8 mars 2024, 4 étages d’échafaudages ont été montés dans l’église de Remicourt, pour effectuer les travaux de nettoyage de la suie qui pollue l’église, suite à une défectuosité du chauffage. C’est l’entreprise « Fire Clean » qui est chargée de cette opération. Le coût des travaux est estimé à 500.000 euros.

Réouverture de l’église (Remicourt)

Le 30 juin 2024, l’église Saint-Jean-Baptiste, de Remicourt, rouvre ses portes au public, après 4 mois de travaux de décontamination, mené par la société « Fire Clean », suite à une pollution à la suie due à un dysfonctionnement de l’installation de chauffage. Le curé de la paroisse est l’abbé NZIYOMAZE Ignace.

Le Baron veut lutter contre la pollution (Waremme)

En 1894 (?), le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond offre 3.000 francs à celui qui trouverait le moyen pratique de protéger les cours d’eau contre la pollution des industries.

Pollution du Geer (Waremme)

Le 18 septembre 1889, à Waremme, le Geer se couvre de l’écume provenant des sucreries.

Pollution du Geer (Waremme)

Le 26 septembre 1890, au matin, le Geer se couvre d’une écume nauséabonde à Waremme. L’origine en est probablement un début d’activité, la veille, à la sucrerie de Hollogne-sur-Geer.

L’hygiène dans la région (Waremme)

En 1970, la situation hygiénique est préoccupante dans les communes fusionnées à Waremme:

  • étables
  • porcheries
  • fumiers
  • filets d’eau malsaine

contribuent à la pollution de ces communes.

Pollution à Waremme

Vers 1878, il n’y a plus de poissons et de mollusques dans le Geer, dans la région de Waremme, depuis que s’y déversent les eaux usées des fabriques de sucre, chargées de potasse, de chaux et d’acides.

Remblaiement de l’étang (Borlez)

En 1957 (1958 ?), l’étang public, au centre de Borlez, est remblayé. Il était pollué et nuisible pour la santé.

Rapport du Comité de Salubrité Publique (Waremme)

Le 11 octobre 1866, le Conseil Communal de Waremme prend connaissance du rapport du Comité de Salubrité Publique concernant les problèmes sanitaires à Waremme.

Ce rapport préconise:

  • D’interdire aux bouchers de laisser couler le sang des animaux hors de leur étal.   -(Le bourgmestre amende cette proposition en précisant que cette interdiction ne doit pas s’appliquer aux bouchers recueillant le sang des animaux qu’ils tuent, pour le livrer à l’industrie sucrière.)
  • D’interdire le séjour prolongé, à l’extérieur, des vieux os nécessaires à la fabrication du « noir animal » utilisé dans les sucreries; de veiller à ce que ces établissements soient toujours maintenus dans de bonnes conditions d’hygiène par l’emploi de désinfectants, tels le chlorure de chaux et l’eau phéniquée.  –  (Le bourgmestre annonce qu’il a eu, à ce sujet, un entretien avec Messieurs MOMMENS et LAURENTY. Ces derniers s’engagent à ne plus faire calciner eux-mêmes d’os et à acheter le « noir animal » nécessaire à la fabrication de sucre. Ils promettent donc de ne plus acheter de vieux os et de veiller aux conditions d’hygiène de leur établissement.)

Remarque: Dans le processus de fabrication du sucre, l’entreprise sucrière clarifie la solution obtenue par le traitement et le raffinage des betteraves, en ajoutant 5% de « noir animal » en poudre et 0,5% de sang de boeuf. Le « noir animal » est obtenu par la combustion d’os d’animaux, fournis par les équarrisseurs. Cette combustion engendre une importante pollution olfactive.