Fin mai, début juin 1942, la pénurie de pommes de terre se confirme, en raison d’une récolte décevante. Celle-ci s’explique par des plants de qualité douteuse, arrivés à destination beaucoup trop tard, par le temps médiocre et par les doryphores, qui ont aggravé la situation.
Archives par mot-clé : pommes de terre
La récolte de pommes de terre compromise (Waremme)
En 1940, une invasion de doryphores met à mal la récolte des pommes de terre dans la région de Waremme.
Le Comité de Secours et d’Alimentation (Waremme)
En 1917, le Comité de Secours et d’Alimentation de Waremme s’est fixé comme objectif que dans chaque village, il ne doit pas y avoir une seule famille, riche ou pauvre, qui ne produise directement ou indirectement les légumes, pommes de terre et féculents dont elle a besoin. Pour ce faire, le comité crée des « coins de terre » : des terrains loués à bas prix (20 à 25 francs la verge) par les fermiers, qui n’en retirent guère plus avant la guerre. Ces lopins sont mis à la disposition des familles les plus défavorisées. En 1917, on compte à Waremme 82 de ces jardins, totalisant 715 ares.
Des pommes de terre sur les anciens remparts (Waremme)
Le 8 mai 1916, dans le but de cultiver des pommes de terre en grande quantité, on se décide à charruer les trois hectares des anciens remparts de Waremme qui ont été nivelés.
L’aide du Bureau de Bienfaisance aux indigents (Waremme)
Le 7 mai 1846, en raison de la crise de l’alimentation dans la ville, le conseil communal de Waremme accorde l’autorisation au Bureau de Bienfaisance de la commune, de retirer de la Caisse d’Epargne une somme de 3.000 francs, destinée à l’achat de pommes de terre et autres secours en faveur des indigents. Cette autorisation est accordée sous la condition expresse que la moitié au moins de cette somme soit employée à l’achat de pommes de terre pour la plantation.
La population a faim (Waremme)
En 1845, la situation de la population waremmienne est misérable. Le prix des denrées alimentaires augmentent et les pommes de terre, qui sont avec le pain, la principale alimentation d’un ménage, viennent à manquer. Des vols de denrées se produisent dans les champs.
Waremme fournit des vivres aux insurgés liégeois
En 1830, FLEUSSU Jean-François-Xavier et … HOUSSA (?) coopèrent, au nom de la ville de Waremme, à l’expédition de trois charrettes de blé et de pommes de terre, pour soutenir le mouvement insurrectionnel national qui vient de prendre naissance à Liège.