Le 9 mai 1839, à la requête du conseil communal de Hollogne-sur-Geer, le charron du village, VALENTIN Noël, remet un devis estimatif de 100 francs, pour la réparation du pont de la commune.
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La ferme Dotrenge (Waremme)
Avant 1910, la ferme DOTRENGE est installée rue du Moulin à Waremme, en bordure du Geer, en amont du pont. Elle dispose d’un moulin à eau.
A l’origine, elle était l’une des 4 grandes exploitations agricoles de la famille DE SELYS-LONGCHAMPS.
Les décanteurs de la râperie (Waremme)
Vers 1935 (?), les décanteurs de la râperie de Waremme sont situés en bordure de la rue des Prés. Ils sont constitués de bassins successifs. Les eaux usées de la râperie passent de l’un à l’autre, y déposant une boue noirâtre, pour finalement se déverser dans le Geer, à hauteur du pont de la rue du Moulin.
Le pont de la Boverie (Liège)
En 1866, à Liège, le pont de commerce reliant Avroy à la Boverie, est un pont privé. Le droite de passage s’élève à 3 centimes par personne.
Jules Desart, fermier (Oreye)
En septembre 1944, la ferme de DESART Jules est située près du pont sur le Geer, à Oreye.
Le Petit Courrier d’Oreye
En 1911, l’imprimeur d’Oreye, DESART Hildevert, dont l’atelier est situé Grand’Route, à côté du Pont du Geer et de la brasserie REGINSTER, édite le journal « Le Petit Courrier d’Oreye ». Le journal paraît tous les dimanches. Le numéro coûte 5 centimes. Le prix de l’abonnement est de 2 francs.
Des vitraux détruits (Oreye)
En septembre 1944, les troupes allemandes en déroute font sauter le pont sur le Geer, rue Voie de Liège, à Oreye, pour retarder l’avance des troupes américaines. Les vitraux des deux nefs de l’église d’Oreye sont brisés par l’explosion
Les habitants veulent un pont (Remicourt)
Le 3 juillet 1879, le conseil communal de Remicourt accepte la réclamation des habitants du village, qui demandent qu’un pont soit construit sur l’Yerne, face à la maison de SAUVAGE Félix. Cependant, le conseil précise que le pont sera réalisé à leurs frais.
Henri Reckom, journalier (Waremme)
En 1763, RECKOM Henri est manouvrier à journée dans le quartier du Pont, à Waremme. Il est jeune homme (célibataire). Il est âgé de 49 ans.
Il habite avec:
- RECKOM Ailid, sa soeur, travaillante à journée, âgée de 40 ans
Sébastien Sale, journalier (Waremme)
En 1763, SALE Sébastien est manouvrier à journée dans le quartier du Pont, à Waremme. Son épouse est SIMONET Marie, travaillante à journée.