L’élevage (Waremme)

En mai 1975, l’élevage dans la région de Waremme se répartit comme suit:

  • vaches à lait: 49 détenteurs
  • bovidés: 76 détenteurs
  • truies: 78 détenteurs
  • porcs: 81 détenteurs

Les animaux abattus (Waremme)

En 1976, l’abattoir communal de Waremme abat 29.795 animaux:

  • bovidés: 16.215
  • porcs: 12.716
  • ovins: 85
  • chevaux: 11

Bram Vanhoof se lance dans l’élevage de cochons (Lens-Saint-Servais)

En 2024, VANHOOF Bram, installé à Lens-Saint-Servais depuis une douzaine d’années, se lance dans l’élevage de cochons. Son cheptel est limité à 40 têtes. Il les engraisse, les fait abattre et vend la viande dans son magasin de la rue de Tourinne.

Fernand Mathys, charcutier (Jeneffe)

En 1936, MATHYS Fernand est charcutier à Jeneffe. Il demande l’autorisation d’installer une tuerie de porcs.

Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)

Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:

  • Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
  • Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.