En 1840, Il existe un chemin (probablement bien plus ancien) qui épouse le contour extérieur des remparts à partir de la Porte de Saint-Trond, qui passe devant la Porte de Liège et qui rejoint la route sortant de la ville par la Porte de Huy. Ainsi, venant de Saint-Trond, par exemple, un voyageur peut, après avoir traversé le pont du Geer, prendre la direction de Liège ou de Huy sans traverser la ville. Cela peut s’avérer fort utile lorsque les portes de la ville sont fermées, la nuit par exemple ou peut-être en cas d’épidémie.
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Waremme en 1840
En 1840, Waremme, avec ses hameaux, compte 240 habitations, pour 1.590 habitants. La ville ne s’étend guère au-delà du carré d’environ 400 mètres de côté des remparts et du Geer.
Seuls quelques rares groupes de maisons s’élèvent en dehors de ce périmètre : rue du Pont, quartier du Rèwe et le long de l’actuelle rue Joseph Wauters, où les dernières constructions se situent à hauteur de la rue des Fontaines. Place de la Porte de Liège, il y a une petite chapelle (elle sera démolie lors de l’établissement du chemin de fer vicinal).
Destruction des Portes de Saint-Trond et de Liège (Waremme)
En 1809, la Porte de Saint-Trond et la Porte de Liège de Waremme sont détruites.
Démolition des Portes (Waremme)
Les fortifications de la ville ne survivent pas longtemps à l’Ancien Régime. En 1802, le conseil s’occupe de leur démolition et décide même de faire abattre la porte de Huy qui menace ruine.
Mais cette décision n’est pas mise à exécution. Il faudra attendre la séance du 18 mars 1808 pour que la démolition de toutes les portes soit votée définitivement. La porte de Saint-Trond disparaît cette même année ; la Porte de Liège et la Porte de Huy disparaîtront dans le courant de l’année suivante.
Tibau Fraipont admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 8 juin 1767, FRAIPONT Tibau (fils de FRAIPONT François de la Porte de Liège), mayeur et rentier de la ville, est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Reconstruction de la chapelle de la Porte de Liège (Waremme)
En 1660, le pouvoir communal de Waremme autorise et finance la reconstruction de la petite chapelle, dédiée à la Sainte-Vierge, tombée en ruine, installée hors la Porte de Liège, par le curé de Waremme, l’abbé BOUX Dieudonné D.
Une chapelle est construite à la Porte de Liège (Waremme)
En 1632, une chapelle dédiée à la Sainte-Vierge, est construite à Waremme, à la Porte de Liège.
Des transactions immobilières (Waremme)
Le 30 avril 1445, NOIEL boulanger à Waremme, cède à son fils NOIEL Gerard, l’usufruit qu’il avait de cinq verges grandes de terres sous la juridiction de la haute cour de Waremme, situées au lieu-dit le Petit Champegnot », près de la Porte de Waremme, jouxtant le chemin qui va de Waremme à Lantremange.
Ledit Gerard cède ensuite la propriété entière de ces cinq verges à HEYNOT, mercier demeurant à Waremme.
La transaction s’effectue devant la Haute Cour de Waremme, composée de:
- DE SEYVE Thiry, mayeur et président de la cour
- THIBAUT Jean, échevin
- DE SEYVE Henri, échevin
- CORNUT Guillaume,
- DE TERMONGNE Henri,
- DE LANTREMANGE Libert
- ODART Jean
Il y aura une chapelle à la Porte de Liège (Waremme)
Le 29 novembre 1332, le Chevalier DE HARDUEMONT Godefroid, seigneur de Hollogne-sur-Geer, fait donation de quatre petites verges de terre à la Porte de Liège, pour que l’on y bâtisse une chapelle dédiée à la Vierge. L’endroit est le lieu dit « le poupel » (le peuplier).
Les Waroux attaquent Waremme
Le lendemain de la Pentecôte 1313, le 7 juin, une bataille se déroule au pied des remparts de Waremme, devant la porte de Liège. Les Waroux, menés par DE HERMALLE Henri, attaquent la ville. Ils sont reçus par une grêle de traits lancés des remparts de la ville. Après avoir repoussé quelques assauts vigoureux, DE JENEFFE Guillaume, le châtelain de Waremme, un des chefs du clan des Awans, doit battre en retraite dans son donjon, laissant sur le terrain plusieurs compagnons morts, notamment, le châtelain de Montenaken, DE LIMONT Simont, le batard de Wezemael, DE MONS Huwar, DE LOBOS Jean, messire BOTIER D’AAZ Jean. Les Waroux en profitent pour piller la ville.
Au cours de cette bataille, plus de 800 chevaux, montés par des chevaliers ou de écuyers, ainsi que de nombreux paysans et serfs (la piétaille), s’affrontent.