En 1954, le magasin de meubles « LATOUR » est installé au n° 3 de l’avenue Emile Vandervelde, à Waremme. Il est également spécialisé dans les portes et fenêtres.
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La maison de Roland Streignaerts (Waremme – Allemagne)
Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de Mouhin, à Waremme, après s’être échappé d’une colonne de prisonniers près de Saint-Trond, STREIGNAERTS Roland constate que les portes de sa maison ont été fracturées et les fenêtres brisées. Les armoires sont grandes ouvertes, les tiroirs sortis des meubles. L’argenterie, les ustensiles de ménage, le linge, les outils, le contenu de sa cave à vins, … tout a disparu. Il estime son préjudice à plus de 20.000 francs.
Un voisin lui dira que les Allemands ont passé quelques nuits dans la maison et que des réfugiés s’y sont reposés.
Nestor Meureau, garde-salle (Waremme)
En 1944, MEUREAU Nestor est le garde-salle de la gare de Waremme. C’est lui qui ouvre les portes de la salle d’attente, pour permettre aux voyageurs de sortir sur le quai. Il habite au n° 52 de l’avenue Emile Vandervelde.
Les anciennes Portes sont remplacées par des piliers et des chaînes (Waremme)
Le 3 août 1809, le conseil communal de Waremme décide de remplacer les anciennes Portes de la ville, récemment démolies, par des piliers auxquels seraient attachées des chaînes pour barrer le passage en temps de dégel ( ?).
Certains Waremmiens n’ont pas rempli leur rôle !
En novembre 1691, plusieurs bourgeois se plaignent auprès du Conseil communal de Waremme de ceux qui étaient chargés de monter la garde aux portes de la ville, mais qui n’avaient pas rempli ce rôle, permettant aux troupes françaises de pénétrer facilement dans la ville et d’y bouter le feu.
En 1691, les Français incendient Waremme
Le 21 septembre 1691, les troupes françaises de LOUIS XIV, arrivent à Waremme et y pénètrent par surprise. Les portes de la ville étaient ouvertes et non gardées.
Ces soldats sont mieux vêtus qu’auparavant, car LOUVOIS a imposé le port de l’uniforme de coupe et de couleur réglementaires, variable suivant les corps. Mais les Waremmiens ne resteront pas longtemps admiratifs. Déçus dans leur espoir de butin et furieux de rencontrer une ville aussi pauvre et misérable, ces soldats boutent le feu à la cité, réduisant en cendres les 2/3 des maisons et autres bâtiments. Tous les registres de la Cour de Justice sont la proie des flammes.
Plus tard, les Waremmiens demanderont des comptes à leurs édiles pour cette négligence aux lourdes conséquences.
Un impôt sur les portes et fenêtres (Liège)
En 1612 un impôt sur les portes et fenêtres est décrété à Liège.
De nouvelles taxes à Waremme
En 1591, suite à la guerre entre les Espagnols et les Gueux hollandais, le Prince-Evêque de Liège autorise la ville de Waremme à lever de nouvelles taxes, afin de pouvoir effectuer des réparations nécessaires aux portes, fossés et murailles.
Waremme récupère ses portes
En 1357, les portes de la ville sont ramenées à Waremme par les milices liégeoises qui ont incendié Landen.
Waremme est incendiée et ses portes sont arrachées
En 1347, Waremme est dévastée et incendiée par le duc DE BRABANT Jean, allié de l’Evêque DE LAMARCK Englebert, après avoir défait les troupes liégeoises à la bataille de Les Waleffes. L’église semble être sauvegardée. Les portes de la ville sont arrachées et transportées à Landen.