Portrait de Rita Hannot (Waremme)

Elle fut bourgmestre-faisant fonction de Waremme lorsque LEBURTON Edmond fut nommé président de la Chambre (de 1977 à 1979) et lorsque COEME Guy fut ministre (de 1988 à 1993). Pourtant, rien ne la prédestinait à une telle carrière politique.

Secrétaire du Comité Régional des Femmes Prévoyantes Socialistes de Waremme (dont elle sera ensuite présidente), HANNOT Rita entre au Conseil communal de Waremme en 1972, suite au décès de COUNE Henri. 6 mois plus tard, elle devient échevine à la disparition de MONJOIE Henri. Elle est réélue aux élections communales d’octobre 1976. En janvier 1977, elle occupe la fonction de première échevine et en juin de la même année, elle devient bourgmestre faisant-fonction.

C’est une femme à poigne, qui sait ce qu’elle veut. Elle pratique la main de fer dans un gant de velours. Mais elle est également très proche des gens et sait s’amuser.

Epouse de  LEDURE René, mère de LEDURE Marianne (également directrice des Femmes Prévoyantes Socialistes de Waremme).

Portrait du bijoutier Michel Hardenne, patron de la S.A. « Temps et Or » (Waremme)

HARDENNE Michel et LEMACHE Freddy

Fils de bijoutier hannutois, HARDENNE Michel (46 ans) est l’heureux propriétaire d’un commerce dans la capitale hesbignonne depuis 24 ans. Un immeuble dans lequel il habite. « Être riverain, c’est une motivation supplémentaire pour améliorer sans cesse l’attractivité de nos commerces », confesse-t-il. Il a été vice-président de l’Union des commerçants de Waremme au début des années 2000 « pendant deux ou trois ans ». Il avait ensuite été relayé par LEJEUNE Marielle. Un poste qu’elle continue à occuper actuellement.

Portrait de Jacques Chabot (Waremme)

CHABOT Jacques

En mars 2012, CHABOT Jacques est âgé de 58 ans et est le papa de sept enfants.

Il sera tête de liste PS aux prochaines élections communales à Waremme.

Economiste de formation, il est le coordinateur administratif des relations internationales Wallonie Bruxelles.

De 1976 à 1983, il a été conseiller communal de Waremme.

De 1983 à 1996, il a été échevin de Waremme et à gérer diverses compétences (jeunesse, culture, sports, …).

En 1996, suite à la démission de COEME Guy, condamné dans le cadre de l’affaire « INUSOP », il devient bourgmestre de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 2006.

En 2006, il se retire de la vie politique.

Portrait de Vincent Perin (Waremme)

PERIN VincentEn mars 2012, PERIN Vincent est âgé de 40 ans.

Il est gradué en biologie médicale.

Il dirige depuis quelques années une PME qui exporte des pièces de rechange destinées aux engins de génie civil.

Il est le président du Volley-Club de Waremme et l’organisateur du « Beach-Volley », événement du début de l’été qui rassemble la toute grosse foule à Waremme.

Portrait de Emilio Lopez Menchero, créateur de la statue de « L’Homme Bulle » (Waremme)

emilio lopez menchero

emilio lopez menchero

Quelques commentaires inscrits sur l’Homme Bulle, dans le cadre de « Aux Arts Etc », alors que la sculpture campait à Waremme, non loin de l’Hôtel de Ville :

« Rien qu’un homme à la rue qui attend comme la cloche que quelqu’un d’autre lui dise pourquoi il est là ». « Cultures-tu ? ». « Porte-parole ouvert à tous ». « Veux-tu m’épouser ? ». « Super le Centre culturel de Waremme, l’équipe est géniale, les spectacles de qualité. Dommage que ces gens soient mal payés ! ». « On t’aime Papa ! ». « Sacré Jacky ! ». « Surtout ne pas se dégonfler ». « Tout le monde s’appelle Roger ».

Les Waremmiens, on le voit, s’en sont donné à cœur joie. Ils ont tagué à volonté la bulle de l’« Homme Bulle » de MENCHERO Emilio López. Ils l’ont même tatoué d’une grande marguerite, d’un monumental point d’interrogation, ont débordé sur son costume trois pièces, l’ont affublé de moustaches et ont redessiné ses yeux. « Bulle à savon, bulle à idées, attention ça glisse ». Bref, ils se l’ont approprié. Après avoir été installé à Bruxelles et avant de rallier Liège, l’ « Homme Bulle » était à Waremme, campant dos à l’hôtel de police et face à l’Hôtel de Ville.

Architecte de formation, MENCHERO Emilio López ne pratique pas, mais considère l’espace public et urbain comme un espace critique et y intervient régulièrement. Performances, installations, commandes publiques jalonnent son parcours. On le soupçonne de vouloir tatouer la Spanner Haus d’Adolf Loos. Très sévère par rapport à toutes les dérives que le « Crime et ornement »de l’architecte viennois a généré, il cite volontiers Hans Hollein et son Manifeste de 1968 : « Alles ist Architektur ». Tout est architecture, y compris la construction de soi. Ainsi, il habite la ville de Gand du cri de Tarzan, exporte, en guise de bancs publics, des frites géantes en Norvège, dessine une bâche de camion dont il mesure la capacité maximum à échelle humaine, constatant que deux cents individus, serrés en rangs d’oignons, pourraient y prendre place. À Ixelles, il reconfigure la friche de la place Flagey en « projet Potemkine », dressant, en quelques heures, une rue de toiles à la manière des faux villages prospères érigés par le favori de Catherine II en Ukraine. À Ath, il introduit un géant, Monsieur M, monsieur Moderne, au cœur de la procession des géants séculaires de la cité. On lui doit, bien sûr, « Pasionaria », ce porte-voix monumental installé à proximité de la gare du Midi à Bruxelles. Orientée vers la gare, ce lieu de confluence, référence à un épisode de la Guerre d’Espagne, « Pasionaria » matérialise la parole manifeste. Cette commande publique est dédiée à tous les migrants dans un lieu où se déroulent de régulières manifestations sociales et politiques.[i]

Monsieur Moderne, le géant d’Ath, ressemble à ces silhouettes anonymes esquissées par l’architecte théoricien Ernst Neufert, auteur des célèbres « Eléments des projets de construction », cette base méthodologique de la mesure de toute chose, de la norme et des prescriptions, publiée pour la première fois en 1936 à Berlin. Les silhouettes qui parsèment les croquis domestiques et vernaculaires de Neufert, traversent depuis longtemps déjà, les œuvres de MENCHERO Emilio López. L’ « Homme Bulle » leur ressemble aussi. Citadin en complet veston, il est, au même titre que le porte-voix bruxellois de la « Pasionaria », un espace relationnel. De sa bouche s’échappe un monumental phylactère. Bulle ronde, vide, immaculée, c’est une muette invitation. La sculpture n’est pas un objet à regarder, mais une situation à composer. L’œuvre est en quelque sorte inachevée et son achèvement plastique suppose que le spectateur y mette la dernière touche. Au stylo feutre, bien entendu, à la bombe aérosol. Rien n’est imposé, au contraire, c’est une situation ouverte, à l’état de passage, où l’intersubjectivité se révélera mécanisme de création, la nature processuelle de la réalisation faisant de l’œuvre un événement[ii]. Le graffiti, le tag, l’empreinte directe, sont autant de signes de la culture urbaine contemporaine ; ici, ils permettront de créer de l’« être ensemble ». Être ensemble, artiste et regardeur, être ensemble, grapheurs d’un jour, tagueurs d’occasion, rassemblés sur la bulle. Campé sur le trottoir, l’« Homme Bulle » est le porte-parole de la population. Il sollicite le passant, lui propose de s’évader de ce tout ce qui est conforme, prescrit, recommandé, correct ou anonyme pour un moment de libre expression.

Portrait de Gaëtan Englebert (Waremme – Saint-Trond)

ENGLEBERT Gaëtan

Né à Liège le 11 juin 1976, il habite Waremme et Coxyde. Il est marié et papa de deux petites filles, Emma (7 ans) et Noémie (4 ans). Depuis juillet 2011, il joue à Coxyde, club de D3A; il y a signé un contrat de 2 ans. Il occupe la place de médian régulateur.

Son parcours: il a été formé et découvert en D2 à Liège. Il a fait ses débuts en D1 à Saint-Trond et y a joué de 1997 à 1099. Il a ensuite joué neuf saisons au FC Bruges de 1999 à 2008, deux à Tours et une à Metz en Ligue 2 française. Il a joué 367 matches et a inscrit 29 buts en D1 belge.

Son palmarès: trois Coupes de Belgique, deux titres de champion de Belgique, deux Supercoupes avec Bruges. Neuf matches (21 sélections) en équipe nationale entre 2001 et 2007.

Le 23 mai 2011, portrait de Jean-Pierre Leburton, une sommité dans le monde de la physique, fils d’Edmond Leburton

LEBURTON Jean-Pierre

LEBURTON Jean-Pierre (62), Waremmien et chercheur mondialement reconnu, vient d’entrer à l’Académie Royale de Belgique comme membre associé dans la classe Technologie et Société grâce à ses recherches sur les semi-conducteurs. Il vit aux USA depuis une trentaine d’années.

Si le nom de « LEBURTON » est dans toutes les mémoires, c’est le visage du ministre LEBURTON Edmond qui y est associé. En tout cas, en Belgique.

Parce qu’au niveau international, c’est plutôt Jean-Pierre, son fils, qui est connu. Docteur en physique, le fils du  » Grand Chef Blanc  » a mené une brillante carrière de chercheur aux États-Unis, où il réside depuis plus de trente ans. En visite chez sa maman, à Waremme, il a participé, samedi soir à son entrée au club très fermé des membres de l’Académie Royale de Belgique qui rassemble les Belges qui font briller leur époque.

LEBURTON Jean-Pierre occupe un poste de  » Super-Prof  » à l’Université d’Urbana-Champaign dans l’Illinois, à 200 km au sud de Chicago.  » Tout a commencé par un cadeau de mon père : des livres sur les sciences modernes. Ils m’ont incité à poursuivre des études à l’Université de Liège. J’avais choisi la physique, une matière que j’aimais déjà à l’Athénée de Waremme. J’ai été diplômé à l’Université de Liège en 1971 et j’y ai présenté mon doctorat en 1978. L’année suivante, en 1979, je me suis expatrié pour aller travailler deux ans dans un laboratoire de recherche à Munich, chez SIEMENS. On y étudiait les propriétés des semi-conducteurs, c’était la continuité de ma thèse de doctorat  » . Le prof a aussi transmis son savoir au Japon, en Suisse et à Liège… Depuis 1981, LEBURTON Jean-Pierre vit aux États-Unis, dans la petite ville universitaire d’Urbana.  » Cette ville est particulière à plus d’un titre. D’abord elle compte environ 40.000 habitants, auxquels s’ajoutent les 38.000 étudiants inscrits à l’Université. Ensuite, avec la ville voisine, Champaign, 130.000 habitants, elles forment une communauté urbaine. Rien ne laissait prévoir que cette université située à la campagne puisse devenir un jour le centre mondial de recherche sur les semi-conducteurs  » . C’est le physicien BARDEEN John, deux fois prix Nobel de physique pour ses travaux sur l’électronique, qui a inauguré cette matière à Urbana.

En trente ans, LEBURTON Jean-Pierre a gravi tous les échelons.

 » J’ai d’abord été prof assistant, un genre de casting d’enseignants qui peut durer six ans, pas plus  » . En quatre ans il atteint le niveau de professeur associé.  » Ce grade me vaut d’entrer pleinement dans le corps enseignant de la University of Illinois  » .

Quatre autres années et le voilà  » Full Professor  » . Ensuite il obtient une chaire, la consécration suprême pour un enseignant aux USA.

LEBURTON Jean-Pierre est une sommité dans le monde de la physique.

edmond leburton

edmond leburton

Portrait d’Etienne François, des Pompes Funêbre FRANCOIS (Waremme)

FRANCOIS Etienne (Pompes Funêbres)

FRANCOIS Étienne est responsable d’une entreprise de pompes funèbres depuis quinze ans. À 34 ans, il dirige trois funérariums près de Waremme, il apporte soutien et réconfort aux familles en deuil.

Mes parents dirigeaient une société familiale qui se partageait entre deux activités, la menuiserie, d’une part, et une entreprise de pompes funèbres. Cette dernière fut montée par mon grand-père, déjà menuisier, à l’époque où il fabriquait des cercueils. Afin de rejoindre l’affaire familiale, j’ai commencé un parcours scolaire qui devait me mener à la reprise de la menuiserie. Humanités en sciences économiques à Waremme, trois années en menuiserie à Liège et un graduat en génie civil et conducteur de travaux. Le chemin était tracé pour qu’à la sortie de l’école je rejoigne l’équipe familiale à la direction de la menuiserie, mes parents s’occupant des pompes funèbres. Mais c’est l’inverse qui s’est produit. Dès que j’ai eu mon diplôme d’humanités en poche, j’ai été actif au sein des deux activités pour me familiariser avec le contexte de travail. Mais, à la surprise de tous, j’ai rapidement préféré le contact avec les familles. J’aime l’idée de leur apporter une part de réconfort, de les aider dans les différentes démarches administratives pour qu’elles puissent se consacrer au souvenir de l’être disparu.

C’est un métier où il faut montrer beaucoup d’empathie, mais en même temps une certaine dose de détachement. « C’est un équilibre très subtil qu’il faut trouver pour apporter notre soutien aux familles, explique Étienne. Approcher la tristesse des familles au quotidien n’est pas toujours facile. Mais l’entrepreneur de pompes funèbres est souvent le premier contact réconfortant que les proches ont avec la réalité. « Les personnes qui font appel à nous savent que nous allons veiller sur leur défunt avec le plus grand respect, dans la continuité des traditions religieuses ou laïques qui sont les leurs. À ce stade du deuil, chaque détail est important et nous veillons à ce que tout se déroule de manière douce et feutrée. La famille ne doit se soucier de rien dans l’organisation des funérailles, notre entreprise s’occupe de tout. De la cérémonie à la réception après funérailles en passant par les démarches officielles ou le transfert du défunt en nos murs ou à la maison mortuaire« .

« Il y a des moments difficiles dans notre métier. La tristesse et l’émotion font partie de mon quotidien, c’est pourquoi je dressé une frontière très stricte entre mes activités professionnelles et ma vie privée. Mon plus grand souhait est de permettre aux familles de vivre leur deuil dans la dignité en organisant toujours un service d’une qualité irréprochable ».

Étienne est un homme curieux et pragmatique. Pour développer l’offre des services qu’il peut offrir aux familles qui lui font confiance, il n’hésite pas à voyager loin. « L’année dernière, je suis allé au Salon funéraire de La Nouvelle-Orléans. J’ai pu me faire une idée des dernières tendances en matière de services funéraires. J’en ai aussi profité pour m’informer sur les nouveaux corbillards en vue d’un achat. Aux États-Unis, les choses se passent différemment, il y a d’autres coutumes, d’autres manières de faire. J’ai visité plusieurs entreprises de confrères américains. J’en ai ramené le sens du détail et la volonté de rendre chaque cérémonie plus solennelle pour que les familles aient le sentiment d’accompagner le dernier voyage de leur proche défunt dans les meilleures conditions.

Portrait de Jérôme Goffau, pompier volontaire à Waremme

GOFFAU Jérome, Pompier Volontaire de Waremme (?)

Avec déjà cinq années d’expérience derrière lui, GOFFAU Jérôme, est pompier volontaire à Waremme. Il apprécie le poste d’ambulancier pour son rôle social. Son ambition, devenir pompier professionnel.

C’est une sensibilisation aux métiers du feu, dispensée dans son école, l’Athénée royal de Waremme, alors qu’il était encore en secondaire, qui a incité le jeune GOFFAU Jérôme, 20 ans, à intégrer l’Ecole des Cadets des pompiers de Waremme, puis à devenir pompier volontaire dans sa ville de Waremme. Son but ultime, devenir professionnel dans un métier auquel il voue une grande passion et se spécialiser au maximum dans les métiers qui touchent le paramédical-ambulancier.

« J’avais 15 ans et les pompiers de Waremme passaient dans les écoles pour recruter les premiers cadets pompiers de la ville. La passion de notre interlocuteur m’avait marqué. Je me suis renseigné sur le métier. En me questionnant, je me suis dit que c’était peut-être quelque chose pour moi. J’ai franchi le pas et je me suis inscrit comme cadet-pompier. Une décision qui a changé ma vie et que je ne regrette pas« , raconte le jeune Waremmien.

Une fois ses trois ans terminés chez les cadets, Jérôme, qui avait 18 ans à l’époque, a eu la chance qu’une session de recrutement s’ouvre dans la caserne hesbignonne. Il s’est entraîné pour réussir les tests physiques, son profil et sa motivation correspondaient aux besoins de la caserne. C’est ainsi qu’il a été recruté.

« Dès que j’ai été affecté à la caserne, j’ai commencé par suivre les cours de l’école du feu de la Province de Liège. Après 7 mois de formation, ce furent les premières sorties et la confirmation de ma vocation, si elle devait encore être confirmée. Ensuite, j’ai eu les cours d’ambulancier. Et là, j’ai vraiment trouvé ma place. Le métier d’ambulancier est très motivant, c’est un travail où l’on est plus proche des gens, avec un véritable rôle social à jouer. Une dimension que j’apprécie tout particulièrement, explique le volontaire. Mais Jérôme avoue quand même rester quelquefois sur sa faim. « Lors des sorties en ambulance, on accompagne des personnes en détresse, on les aide, on apprend très brièvement à les connaître. Une fois qu’on les a transférées à l’hôpital, on ne sait plus rien d’elles. C’est parfois un peu frustrant. Mais peut-être est-ce mieux que ce soit comme cela. Cela nous aide à rester professionnels en toutes circonstances, sans nous poser de questions« .

Jérôme est aussi très fier de son travail de pompier au feu. « Mais c’est différent de l’ambulance. Sur un incendie, on s’attaque aux flammes, on essaie de limiter les dégâts, on sauve aussi des vies, mais on est plus loin des gens, le côté social est bien plus ténu« , dit-il.

L’école des cadets m’a aidé à réussir mes études

En intégrant l’école des cadets-pompiers, chaque jeune doit signer un contrat qui stipule que cet engagement n’interférera pas sur ses résultats scolaires. Il est même prévu que les étudiants présentent leurs notes à leurs moniteurs. « En ce qui me concerne, cela a été une motivation supplémentaire pour terminer mes études secondaires avec honneur. Il ne m’a pas fallu longtemps pour découvrir que la profession de pompier était faite pour moi. Pas question de rater un entraînement, ni de me faire mettre dehors parce que j’avais de mauvais résultats scolaires. C’est la raison pour laquelle j’ai redoublé d’efforts à l’école , raconte GOFFAU Jérôme. « C’est aussi le cas pour la plupart des jeunes très motivés que l’on reçoit à l’Ecole des Cadets, confirme BAEKE Sébastien, l’un des instructeurs.

Portrait de Sophie Pannemans (Waremme)

PANNEMANS Sophie

PANNEMANS Sophie habite Waremme. Elle est candidate au concours de « Miss Province de Liège » 2009. Elle a échoué de peu l’an dernier au titre de Miss province est revenue, plus déterminée que jamais.

Élégante, raffinée, intelligente, la belle blonde aux yeux bleus se destine aux sciences politiques, qu’elle étudie à Gand.

Parfaite bilingue donc, Sophie connaît aussi le russe, qu’elle apprend parce qu’elle voudrait devenir diplomate dans un pays de l’Est.

Elle fait beaucoup de sports pour se maintenir en forme mais est toujours très calme.

Elle adore les animaux et chante divinement bien.

 » Mes défauts? Je suis une solitaire, perfectionniste, un peu prévisible et susceptible, dit-elle. D’ailleurs ma devise est  » il ne faut pas chercher le bonheur trop loin « . J’ai la chance que maman me suit beaucoup dans mes projets. Ce que j’espère du concours, c’est m’épanouir dans ce milieu sans m’ennuyer une seconde. J’aimerais qu’on vote pour moi parce que, d’abord, je suis jolie et souriante, mais j’ai surtout beaucoup de choses à dire.  »

Sophie, future diplomate ;