Poursuite de la Sucrerie de Remicourt

En 1898, la famille NAVEAU, qui possède la sucrerie de Hollogne-sur-Geer, s’entend avec Messieurs FARCY et GERARD pour poursuivre les activités de la Société Sucrerie de Remicourt, récemment dissoute.

Jacques-Joseph Pagna, tisserand (Waremme – Longchamps)

En 1763, PAGNA Jacque-Joseph est tisserand sur le territoire de la paroisse de Longchamps, à Waremme. Il a poursuivi l’activité de son père décédé, PAGNA Nicolas. Son frère PAGNA Guilleaume est son ouvrier.

Crise économique en Hesbaye

En 1880, le monde agricole hesbignon subit grave crise économique. Elle se poursuivra jusqu’en 1895.

L’Inquisiteur Jamolet (Liège – Rome)

Au début du 16ème siècle, le moine JAMOLET Jean est délégué par le Saint-Siège, pour exercer l’office d’Inquisiteur Apostolique au pays de Liège.

JAMOLET Jean est docteur en théologie et père Carme Déchaussé. Il poursuit avec une ardeur féroce tous ceux qu’il suspecte d’être « mauvais catholiques ».

Sur l’affaire dite « des Luthériens », il voudra faire bon marché des privilèges des Liégeois.

Nouvel accrochage et découverte de corps (Freloux – Streel – Allemagne)

Le 5 septembre 1944, le Résistant du groupe « Zoro », LINCHET Henri, dit « Alexandre », envoie trois de ses hommes à Freloux, pour récupérer une voiture en panne:

  • BOEKER Antoine, dit « Constant », qui effectue la réparation
  • MASSART Albert, dit « Max », qui fait le guet
  • LITTLE Henry, dit « Jim », qui fait le guet

Ils sont attaqués par un véhicule blindé allemand. Ils prennent la fuite en direction de Streel et rejoignent leurs camarades, poursuivis par les Allemands. LINCHET Henri, dit « Alexandre », couvre leur retraite. Il est abattu par une rafale d’arme automatique. RORIVE Jean est fait prisonnier (il sera emmené à Fologne et exécuté), MASSART Albert est blessé (il sera achevé à Otrange). BOEKER Antoine et DETHIER Edmond parviennent à s’enfuir en direction de Fexhe-le-Haut-Clocher.

Les Allemands découvrent les neuf corps de leurs camarades exécutés, dans la ferme de Streel. Ils l’incendient.

Mort de François Lhoest (Waremme)

En 1929, LHOEST François, concierge et chauffeur-livreur pour les Etablissements WERY de la rue de Huy à Waremme, décède d’un accident du travail. Sa veuve est CLAES Elise. Elle va continuer à assurer la conciergerie de l’entreprise.

Hubert Krains interrompt ses études (Les Waleffes – Waremme)

En 1878, à l’issue de ses études moyennes, KRAINS Hubert, natif de Les Waleffes, quitte le Collège Saint-Louis de Waremme, afin de seconder son père dans les travaux des champs. La pauvreté de ses parents ne lui permet pas de poursuivre ses études.

Le fort de Boncelles bombardé

Le 16 mai 1940, l’infanterie du Fort de Boncelles s’est retirée depuis quelques jours. En l’absence de DCA, l’aviation allemande bombarde le Fort. Les trois coupoles sont mises hors d’état. On dénombre les premières victimes parmi la garnison du Fort.

Le commandant de la place rassemble ses soldats et les exhorte par ces mots: « Me rendre, jamais ! ». Il demande 25 volontaires pour poursuivre le combat. Tout le  monde se propose. Il désigne les officiers et les sous-officiers, auxquels il adjoint quelques spécialistes. Il ordonne aux autres de s’échapper par la tour d’air, pour rejoindre l’armée.

Le presbytère de Remicourt

Le 29 juin 1833, le Conseil Communal de Remicourt adresse un courrier au Souverain, dans lequel il sollicite un subside, afin de pouvoir continuer les travaux de réparation du presbytère du village, qui a « croulé » à cause de sa vétusté.

Les habitants de la commune contribueront à cette restauration, par souscription volontaire, pour un montant de 800 francs, et la Fabrique d’église, pour un montant de 180 francs.

La Maison du Peuple devient « Le Métropole » (Waremme)

Entre 1940 et 1945, la Maison du Peuple de Waremme prend le nom de « Métropole », afin de ne pas trop déplaire aux Allemands et de pouvoir poursuivre ses activités durant l’Occupation.