Le 25 février 1952, le Comité d’Action et de Vigilance, créé par d’anciens résistants et combattants pour la poursuite d’anciens inciviques, se réunit avec des parlementaires liégeois. LEBURTON Edmond y expose le conflit qui oppose la ville de Waremme à DOYEN.
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Dérogation pour Guillaume Joachim (Waremme – Liège)
Le 28 mai 1941, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, obtient l’autorisation de la députation permanente de Liège de poursuivre ses fonctions à Waremme, malgré l’ordonnance allemande du mois de mars qui prévoit une limite d’âge.
(Pour mémoire, il a déjà exercé les fonctions de bourgmestre, lors de la Première Guerre Mondiale)
Le Criterium Jean-Louis Dumont (Waremme)
En septembre 1984, la première édition du « Criterium Jean-Louis Dumont », épreuve de course automobile, est organisée au départ du complexe sportif de la rue des Prés à Waremme.
Après son décès en 1985, son club de supporters, puis l’Ecurie de Hesbaye, poursuivront cette organisation en sa mémoire.
DUMONT Jean-Louis est le plus célèbre pilote automobile waremmien. Il pratique la compétition automobile depuis 13 ans et a remporté 7 titres de champion de Belgique entre 1974 et 1982.
Le projet d’union des cliniques de Waremme avance (Waremme)
En juillet 1987, le comité de concertation des deux cliniques waremmiennes, la clinique Joseph Wauters et la clinique Notre-Dame, publie un communiqué signé par son président, le ministre d’Etat LEBURTON Edmond, et son vice-président, le sénateur BATAILLE, avisant la population hesbignonne du dépôt d’une demande de groupement auprès des ministres DEHAENE Jean-Luc et BERTOUILLE André, respectivement ministre des Affaires Sociales et de la Communauté française, dans le but d’obtenir la poursuite des activités de chacune des cliniques.
Le but de ce groupement est de permettre à chaque clinique de vivre avec un nombre de lits raisonnable, sans fusionner, chaque institution conservant son pouvoir organisateur actuel, ainsi que sa propre direction.
Le poste hollandais d’Oreye est attaqué
Dans la nuit du 22 au 23 septembre 1830, le poste, installé dans la campagne d’Oreye par des Hollandais venus de Maastricht pour couper les voies de communications et empêcher que des renforts liégeois arrivent à Bruxelles, composé d’infanterie d’infanterie et de cavalerie est attaqué par surprise par un détachement de révolutionnaires liégeois, notamment une douzaine de cuirassiers commandés par le Major MATHOT et par LUCAS Alexandre-Joseph et un détachement est commandé par CHARLIER, dit « Jambe de Bois », ancien artilleur de NAPOLEON. Un détachement, commandé par WASSEIGE Jean-Joseph, de 1.000 hommes a quitté Liège avec 2 pièces d’artillerie, par le Faubourg Sainte-Marguerite, avant de rejoindre une autre colonne, composée en partie de membres de la garde communale.
L’engagement a lieu au lieu-dit « Chevenotte », à l’entrée du village de Thys. Une fusillade nourrie éclate. Le capitaine des cuirassiers, WELLE D. se distingue par son intrépidité.Du côté révolutionnaire, le nommé » BATAILLE est frappé à mort. 3 ou 4 autres sont blessés, dont le notaire de Liège, WASSEIGE J. B., atteint d’un coup de feu dans la poitrine, après avoir désarmé une sentinelle hollandaise. Du côté hollandais, les pertes sont plus considérables. Ils sont mis en déroute. Ils abandonnent le village et se retirent précipitamment vers Saint-Trond, en abandonnant des armes, des munitions, des vêtements et plusieurs chevaux. plusieurs d’entre-eux sont faits prisonniers.
Dans un mouvement de panique, Monsieur COCHOUL, l’instituteur de Momalle, tombe dans le Geer. Il refroidira et perdra la vie peu après.
Une partie des volontaires liégeois rentre à Liège vers 8 heures du matin. D’autres, avec CHARLIER, dit « Jambe de Bois » installé sur l’affut d’un canon, poursuivent vers la Capitale, pour porter secours aux Bruxellois, rassemblés dans le Parc de Bruxelles; contribuer ainsi à la libération de la Belgique du joug hollandais et conquérir l’indépendance.
Mort de Henri Materne (Waremme – Oleye)
En 1933, l’ancien maréchal-ferrant de Waremme, MATERNE Henri, qui a exercé son activité rue de la Paix-Dieu à Oleye, décède à (?). Son fils, MATERNE Guillaume poursuit la maréchalerie.
Mort de Philippe Giusti (Waremme)
Le 19 octobre 1915, au décès du vitrier GIUSTI Philippe, qui s’était installé à Waremme en 1872, ses fils poursuivent ses activités.