Le « Pré à Tirer » est vendu (Waremme)

Le 29 février 1888, deux terrains, appartenant à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, sont vendus en vente publique.

Le pâtissier de Waremme, DELVAUX Joseph, rachète le « pré à tirer » ou « pré des archers ».

D’autres biens de la Confrérie sont aussi vendus:

  • un coq en argent
  • un drapeau
  • des médailles
  • un tambour
  • un oiseau en cuir
  • des livres anciens

Démissions et nominations à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 20 janvier 1822, FRAIPONT et FRERARD démissionnent du conseil de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. Ils sont remplacés par FRAIPONT Augustin et MELARD « fils ». On décide également de replanter des arbres dans le prestia.

Les Archers de Waremme aiment la bière !

Le 3 juillet 1814, jour de la Saint-Pierre, les membres de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme boivent 150 pots de bière à la prairie de tir.

Ils apportent 10 pots aux malades et invalides de la confrérie :

  • GUILLICK Simon
  • GUILLICK Mathieu
  • WILMOTTE Jean-Baptiste
  • l’agent RENIER
  • BOUNIE Balthazar.

Festivité en l’honneur de la naissance du Roi de Rome (Waremme – France)

roi de rome

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Le 9 juin 1811, de grandes festivités sont organisées à Waremme en l’honneur de la naissance du roi de Rome Napoléon II : Te Deum, sonneries de cloches, concours de tir à l’arquebuse dans la prairie des archers, de la manière établie par la confrérie des archers, sous la direction des conseillers municipaux BOUX, MELARD, HENRARD, MISSOTEN et DESTEXHE, courses de demoiselles et de jeunes hommes, illumination des édifices publics et des maisons, grand bal.

roi de rome présentation

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La Confrérie des Archers vend le « Pré à Tirer » (Waremme)

Le 5 avril 1768, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme vend au Seigneur Comte DE BORCHGRAVE DE BOVERLING le Pré des Archers (pré à tirer), situé près de la Costalle et de Mouhin, entre la longue ruelle et la campagnette, moyennant une rente de 6 muids d’épeautre.

Des animaux morts dans le « Pré à Tirer » des Archers (Waremme)

Le 22 juin 1755, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme verse deux sous au fils LEGROS Joseph, pour avoir enterré des bêtes mortes, si puantes qu’on ne pouvait rester dans le « prestia » (pré à tirer).

Amendes à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 23 juin 1747, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne FRAIPONT François et HENNIN Guillaume-Joseph à une amende d’une livre de chandelles chacun, pour avoir arrêté le Valet de Chambre qui portait à boire aux confrères au « prestia » (pré à tirer), lui avoir pris des mains la « mute » pleine de bière et être allés la boire dans la maison de STIERNET Laurent. Elle condamne le Valet de Chambre à une amende d’une demi-livre de chandelles, pour les avoir suivi et bu avec eux, au lieu de venir tout droit à la prairie en faire rapport au « Roy » et à « l’Empereur ».

Amendes à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 4 juin 1747, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne FRERARD Joseph et REKOMME à une amende de dix sous chacun, pour avoir été au cabaret, le jour du Saint-Sacrement, après les exercices de l’arc au pré à tirer.

Pénalités en cascade à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 4 juin 1742, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne HENNIN Mathieu à sept sous et demi d’amende pour manquement aux règles de la Confrérie ; RECUM Arnold à quinze sous d’amende pour avoir embrassé une fille dans le « guidant » et dans le « prestiat » (pré à tirer), ce qui est contraire aux règles de la Confrérie, il est également condamné à quatre sous et demi d’amende pour avoir chanté des chansons profanes et pour avoir crié après des religieuses qui se trouvaient chez Madame JOSSAR ; DURBUTS ( ?) est condamné à deux esqualins pour une dispute avec DEJENEFFE.

Une journée à la Confrérie des Archers (Waremme)

En 1665, le jour du Saint-Sacrement, CORNET François, FRAIPONT Hubert, BOUX Henri et DEJENEFFE Guillaume sont condamnés par la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme, à payer chacun quatre florins pour s’être battus. Le même jour, la Confrérie décide que les Pères du Couvent des Récollets seront toujours préférés à tout autre, pour la location du pré à tirer.