En (?), durant la Première Guerre Mondiale, Madame GERARD, de Remicourt, héberge des réfugiés française, notamment:
- BOUCHARD Ch.
- BOUCHEZ Léon
- Madame BOUTERNY
- FORGET V.
Des réfugiés français à Remicourt
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Archives par mot-clé : première guerre mondiale
Des tracts anglais (Remicourt)
Le 4 novembre 1918, des tracts anglais, destinés à démoraliser les Allemands, sont trouvés au Roua à Remicourt, au lieu-dit « Long Rena ».
Victor Delhalle, blessé (Remicourt)
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, DELHALLE Victor, de Remicourt, est blessé au visage. Il conservera une balafre sur la joue.
Edmond Milis, handicapé (Remicourt – Yser)
Après la Première Guerre Mondiale, MILIS Edmond, de Remicourt, doit supporter les conséquences de son long séjour dans les tranchées de l’Yser.
Joseph Bertrand, blessé (Remicourt)
Le (?), durant la Première Guerre Mondiale, BERTRAND Joseph, de Remicourt, a la mâchoire brisée. Il devra porter une prothèse.
Joseph Jeanfils, gazé (Remicourt – Yser)
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, JEANFILS Joseph, de Remicourt, est gazé sur le front de l’Yser. Il achèvera sa vie, handicapé par des poumons abimés.
Lambert Charlier, prisonnier (Remicourt – Hollande)
Le (?), durant la Première Guerre Mondiale, lors de la capitulation d’Anvers, l’artilleur de Remicourt, CHARLIER Lambert, décide de passer en Hollande où il sera interné (plutôt que d’être prisonnier en Allemagne).
Mort de Joseph Dechamps (Remicourt – Allemagne)
Le 26 octobre 1918, durant la Première Guerre Mondiale, DECHAMPS Joseph de Remicourt décède au camp de Parchim, en Allemagne. Il a été soldat d’artillerie de forteresse, à Namur, et fait prisonnier de guerre.
Louis Lejeune, prisonnier (Remicourt – Allemagne)
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, LEJEUNE Louis de Remicourt est interné à Parchim, en Allemagne.
Droit de vote exceptionnel pour Zélina Robinet (Remicourt)
En (?), le Gouvernement Belge octroie exceptionnellement le droit de vote à ROBINET Zélina, de Remicourt, (alors que les femmes n’en disposent pas encore !), pour s’être conduite « en homme ! » durant la Première Guerre Mondiale.