Durant le Première Guerre Mondiale, ROBINET Jules est le percepteur des postes à Remicourt. Son fils ROBINET Hervé et sa fille ROBINET Zélina espionneront les Allemands. Ils seront arrêtés et internés à la prison Saint-Léonard à Liège. Ils seront sauvés par l’Armistice.
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Un hôpital dans le chalet (Remicourt)
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, la famille MELOTTE installe un hôpital dans « Le Chalet », à Remicourt.
Consultation des nourrissons (Remicourt)
En 1918, une consultation des nourrissons est organisée à l’école des filles de Remicourt.
Tragique méprise (Remicourt)
Le 8 août 1914 vers 13h., BRONCKART-NEYS Joseph et DELHALLE-MATHY Lambert, de Remicourt, sont sommés de s’arrêter près du Pont-Bonne, par quelques éclaireurs belges qui se déplacent dans le village pour intercepter les troupes allemandes qui y sont signalées.
BRONCKART Joseph prend peur et s’enfuit en courant. Les soldats belges, pensant qu’il s’agit d’un ennemi, ouvrent le feu. Mortellement touché, il succombera le lendemain matin.
Joseph Wauters quitte la Coopérative « La Justice » (Waremme)
En 1910, WAUTERS Joseph, appelé à assumer de nouvelles et importantes charges (ministre ?), quitte ses fonctions à la Société Coopérative « La Justice », à Waremme. Il est remplacé par son frère WAUTERS Charles (qui décèdera quelques années plus tard, pendant la Première Guerre Mondiale).
Naissance de Joseph Malchair (Berloz)
Le 23 janvier 1893, MALCHAIR Joseph voit le jour à Berloz. Il combattra durant la Première Guerre Mondiale.
Naissance d’Emile Princen (Hollogne-sur-Geer)
Le 23 janvier 1893, PRINCEN Emile voit le jour à Hollogne-sur-Geer. Il combattra durant le Première Guerre Mondiale.
Incendie spectaculaire à crisnée
En 1921, un incendie spectaculaire détruit la maison de ENGELBOSCH Alphonse, sur la Grand-Route à Crisnée, face à la maison BOUTTET. Le feu atteint une collection de balles constituée pendant le la guerre et provoque un véritable feu d’artifice.
Des horaires pour glaner (Crisnée)
Le 29 juillet 1916, le conseil communal de Crisnée décide que le glanage ne sera autorisé que de 6 heures à 11 heures et de 14 heures à 18 heures.
La commune emploie des chômeurs (Crisnée)
Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.