En 1914, WATHOUL Pierre n’est pas réélu à la présidence de la Fédération des Mutualités Socialistes de l’arrondissement de Waremme.
Plusieurs articles, publiés dans « Le Journal de Waremme », affirment qu’il est perpétuellement ivre.
En 1914, WATHOUL Pierre n’est pas réélu à la présidence de la Fédération des Mutualités Socialistes de l’arrondissement de Waremme.
Plusieurs articles, publiés dans « Le Journal de Waremme », affirment qu’il est perpétuellement ivre.
Le 2 février 1987, le nouveau bourgmestre de Waremme, COEME Guy, préside son premier conseil communal.
En janvier 1979, GERARD Evariste remplace GENDARME Lucien à la présidence du conseil du CPAS de Waremme.
Le 17 mai 1797, suite à une nouvelle élection, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent est confirmé à la présidence de la Municipalité de Liège.
« … DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent, né à Liège en 1750, est décédé hier, à 9 h et demie du soir. Homme de progrès et défenseur zélé des libertés publiques, il s’associa dès le principe, aux grands travaux, qui entrepris sur le sol français, devaient amener la rénovation sociale d’une grande partie de l’Europe. A l’arrivée de DUMOURIEZ à Liège en 1793, il fut un des membres de la Convention liégeoise. Bientôt la retraite des Français le fit s’exiler de sa Patrie et il ne pût y rentrer que lorsqu’ils reparurent une seconde fois en Belgique le 27 juillet 1794. Dès cette époque, Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS fut successivement, membre de l’administration du Pays de Liège, délégué de cette administration pour organiser le canton de Saint-Trond. En 1795, il fut envoyé à Bruxelles où siégeait l’administration centrale des 9 départements réunis et obtint ensuite la présidence de la Municipalité de Liège.
De 1801 à 1807, il siégea au Corps Législatif français. Il faisait partie de cette honorable minorité, qui combattit pied-à-pied les envahisseurs de BONAPARTE. Il vota contre l’extension du Consulat à vie.
A Paris, Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS n’oubliait pas les intérêts de son pays. Les départements de l’Ourthe, de Meuse inférieure et de Roer furent frappés en 1814 d’une contribution de 6 millions. Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS fut chargé, avec deux de ses collègues, de porter à Aix-la-Chapelle les réclamations que faisaient naturellement surgir cet acte de conquête.
Mais la plus belle partie de la carrière politique de Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS est, sans contredit, celle qui s’est écoulée sous la domination de la Hollande. La réaction qui se fit sentir dès que GUILLAUME eut pris les rênes de notre gouvernement, trouva en lui un adversaire chaleureux. Soit dans le sein des Etats Provinciaux de Liège, où il se trouvait en 1810, il ne cessa de s’élever contre la tendance arbitraire que le prince néerlandais voulait imprimer à toutes nos institutions. GUILLAUME créa un corps de privilégiés, connu sous la dénomination impopulaire « d’Ordre Equestre ». Né noble, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS pouvait y aspirer. Il le dédaigna. La noble et simple inscription de citoyen de campagne sur les listes civiques, lui parût plus flatteuse, plus digne de son caractère, que la pompe d’un titre, dont la grande révolution avait montré la vanité et le néant.
Son grand âge ne l’éloigna pas des affaires publiques. La révolution de 1830 le retrouva jeune encore. Il fut nommé membre de la commission consultative près de la régence de Liège.
Lorsque le district de Waremme l’envoya au Congrès National belge pour assister à notre émancipation politique, la protéger de son autorité et de son expérience, il vota toutes les mesures importantes qui fondèrent notre indépendance: l’exclusion de Nassau, la Constitution belge, …
Cependant, à peine la Belgique avait-elle appelé sur son trône le Roi LEOPOLD 1er, qu’elle se laissa aller au gré des exigences diplomatiques. Dès lors, on vit disparaître du gouvernement cette franche énergie du vrai patriotisme, pour se réfugier dans les rangs d’une minorité courageuse, dont Monsieur DE SELYS-LONGCHAMPS faisait partie, jusqu’au moment où il crut, à propos, au déclin de ses jours, de s’éloigner du théâtre des affaires politiques … »
Le 17 mars 1957, un cortège du Carnaval est à nouveau organisé à Waremme. Malgré la pluie et une température peu clémente, il rencontre un gros succès populaire. Il démarre de la place Ernest Rongvaux.
Outre des groupements waremmiens:
le Comité des Fêtes, présidé par MANGON Léon, a fait appel à des sociétés extérieures:
Après la reprise de 1957, la ville renoue ainsi avec une tradition qui avait été abandonnée un certain temps.
Le 1er août 2012, CHABOT Jacques, tête de liste socialiste à Waremme, pour les prochaines élections communales, déclare être favorable au nouveau décret qui impose que le conseil communal soit présidé par un conseiller communal et non plus par le bourgmestre.
Le 9 mars 1966, la France décide de quitter l’OTAN, sous la Présidence de DE GAULLE Charles.