Le 3 janvier 1791, les prêtres, qui n’ont pas prêté le serment constitutionnel de fidélité civique, sont déchus de leurs fonctions.
Des prêtres déchus (Belgique)
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Les électeurs de l’arrondissement de Waremme
En 1852, il y a 892 électeurs dans l’arrondissement de Waremme. Par profession, ils se répartissent comme suit:
- cultivateurs: 486
- propriétaires: 104
- négociants: 66
- fonctionnaires et employés en activité: 37
- ministres du culte: 27
- rentiers: 21
- cabaretiers: 17
- meuniers: 17
- médecins et chirurgiens: 15
- brasseurs: 14
- notaires: 14
- artisans: 11
- avocats: 10
- pharmaciens: 9
- aubergistes: 7
- fonctionnaires pensionnés: 4
- marchands pour détaillants: 4
- nobles titrés et non titrés: 4
- entrepreneurs: 3
- géomètres: 3
- …
Restauration du culte catholique (Waremme – Belgique – France)
Le 6 juin 1802, jour de la Pentecôte, le culte catholique est rétabli en France, en Belgique et dans la région de Waremme. Les églises sont rouvertes et les prêtres proscrits sont restaurés dans leurs fonctions.
Les prêtres doivent prêter serment à la République (France – Belgique)
Le 10 mai 1795, un décret français impose aux prêtres la soumission aux lois de la République et la prestation du serment de défendre l’Egalité et la Liberté.
Les prêtres réfractaires (Waremme)
En 1797, le Commissaire de Waremme, REDOUTE Paul, communique la liste des prêtres restés fidèles à leur devoir et l’accompagne des réflexions suivantes :
» Je vous observe encore que tous les prêtres ci-dessus réfractaires font beaucoup de tort à tous les peuples de leur commune et ne font qu’augmenter la guerre civile. Je m’en aperçois que trop tous les jours, et cependant, ils mangent encore le pain de la République qui devrait se donner à ceux qui se sont conformés aux lois. »
Le moulin banal de Hemricourt
En 1393, tous les habitants de Hemricourt (hormis les prêtres, clercs, chevaliers et écuyers) doivent moudre leurs grains, par ban, au moulin banal du village, sous peines et droitures.
Le moulin est situé sur l’Yerne (à l’endroit qui deviendra, bien plus tard, le lieu-dit « Li Vivî »).
Une « Garde Bourgeoise » (Waremme)
Le 13 novembre 1918, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, institue une « garde bourgeoise » pour assurer la sécurité de la population. En effet, la gendarmerie n’est pas encore de retour dans la ville.
Cette garde est composée d’hommes âgés de 21 à 45 ans. En sont exemptés les médecins, les pharmaciens, les prêtres, les religieux, les malades et ceux qui en sont empêchés par leur profession.
Le bourgmestre déclare que ce service est obligatoire et que des peines sont prévues en cas d’absence injustifiée.
Les prêtres du canton (Waremme)
En 1834, les prêtres du canton de Waremme sont:
- Waremme: GOBLET Jean-Joseph, curé
- Bergilez: DESSART Eustache, desservant
- Berloz: HOCKENSIEL Henri-Ferdinand-Joseph, desservant
- Boelhe: FALLAS D. J., desservant
- Darion: MISSOUL Denis, desservant
- Hollogne-sur-Geer: CONSTANT F. L. J., desservant
- Lamine: GRISART B., desservant
- Lantremange: TROIGNEE Pierre-Nicolas, desservant
- Limont: WATOUR Pierre, desservant
- Oleye: BELLIS L. A., desservant
- Oreye: MOREAU Antoine-Bernard, desservant
- Selle: DELEUSE Jean-Lambert, desservant
Charlemagne et les cloches
charlemagne
En octobre 802, une capitulaire de CHARLEMAGNE demande que les prêtres sonnent les cloches des églises aux heures convenables de jour et de nuit pour appeler le peuple à adorer Dieu.
Funérailles de Joseph Fraipont (Waremme)
Le 29 mai 1982, les funérailles de l’abbé FRAIPONT Joseph sont organisées à Waremme. La cérémonie est concélébrée par plus de 20 prêtres.