Une réunion importante se tient à Waremme

jean de bavière prince-évêque de liège

jean de bavière prince-évêque de liège

En 1400, nouvelle conférence à Waremme à propos d’une querelle entre les Hutois et DE BAVIERE Jean. Le Prince-Evêque ayant cité les Hutois devant son tribunal parce qu’ils ont violé ses droits de souverain, les Hutois convoquent tous les bourgmestres des « Bonnes Villes » à Waremme, afin de les gagner à leur cause, mais seuls les Maestrichois et les Dinantais sont prêts à les suivre, les autres délégations restant sur leurs positions. Suite à cet échec, Les Hutois sont donc obligés de faire soumission à Jean de Bavière.

Bauduin de Monjardin mène des actions militaires pour le Prince-Evêque de Liège (Waremme)

En 1396, le châtelain de Waremme, DE MONTJARDIN Bauduin, se voit confier la mission de guerroyer contre l’armée de l’Archevêque de Cologne. En compagnie de DE PERWEZ Henri, il ravage les postes avancés des frontières de l’électorat allemand. Cette action est menée avec une telle énergie que l’Archevêque DE COLOGNE Frédéric, inquiet de l’allure que prennent les événements, sollicite une trêve auprès du Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Jean. Cette trêve sera suivie du traité de la « Paix de Caster ». Le Châtelain de Waremme assumera par la suite d’autres missions difficiles.

jean de bavière prince-évêque de liège

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Jean de Bavière, Prince-Evêque de Liège

DE BAVIERE Jean-Théodore, Prince-Evêque de Liège

En 1389, DE BAVIERE Jean est nommé Prince-Evêque de Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 1418. Sous l’épiscopat « difficile » du Prince-Evêque de Liège DE BAVIERE Jean, le châtelain de Waremme, DE MONTJARDIN Bauduin, fait preuve d’évidentes qualités diplomatiques et militaires.

Le châtelain de Waremme tente de « placer » son fils

Le 11 mars 1389, DE MONDERSDORP Gerlach, seigneur de Montjardin, chevalier et châtelain de Waremme, tente de faire nommer son fils, DE MONDERSDORP Bauduin, Mambour de la cité de Liège. Mais, malgré les brigues et artifices utilisés, c’est DE HORNES Henri, Seigneur de Perwez, neveu du Prince-Evêque DE HORNES, à qui est confiée la fonction.

jean de hornes prince-évêque de liège

jean de hornes prince-évêque de liège

Arnould de Hornes, Prince-Evêque de Liège

En 1378, DE HORNES Arnould est nommé Prince-Evêque de Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 1389.

Jean d’Arckel, Prince-Evêque de Liège

En 1364, D’ARCKEL Jean est nommé Prince-Evêque de Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 1378.

Le testament de Johan de Brabant (Grand-Axhe – Liège)

Le 21 mars 1363, à 9 heures du matin, Vincent, Profès des Chartreux à Liège, se présente devant la cour de Justice de Grand-Axhe. Il tient à la main des lettres signées par l’évêque de Liège, DE LAMARCK Englebert et par les maïeurs- échevins de Liège. Le frère prêcheur vient présenter le testament de DE BRABANT Johan, afin d’entrer en possession, au nom de sa congrégation, de 15 verges grandes et 16 petites de terre sises sur le territoire de Grand-Axhe, qui font l’objet du testament.

Le mayeur de Grand-Axhe est DE HARTENGE Symon.

englebert de la marck

englebert de la marck

Waremme est incendiée et ses portes sont arrachées

En 1347, Waremme est dévastée et incendiée par le duc DE BRABANT Jean, allié de l’Evêque DE LAMARCK Englebert, après avoir défait les troupes liégeoises à la bataille de Les Waleffes. L’église semble être sauvegardée. Les portes de la ville sont arrachées et transportées à Landen.

Englebert de la Marck, Prince-Evêque de Liège

En 1345, DE LA MARCK Engelbert est nommé Prince-Evêque de Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 1364.

La Paix de Douze (Liège)

En mars 1335, les représentants des deux partis ennemis des Awans et des Waroux se réunissent à l’abbaye Saint-Laurent à Liège. Ils mettent fin à la querelle qui les oppose et concluent la « Paix des Douze Lignages ». Les modalités du traité sont déterminées par DE MOUMALLE Wathi pour le clan des Awans et DE HANEFFE Thiry, Seigneur de Seraing, pour le clan des Waroux.

En vertu de cet accord, si le principe d’une juridiction d’exception à l’usage des lignages pour les litiges mineurs subsiste, c’est désormais à l’Evêque qu’il revient de trancher pour la justice de sang.