Le 12 décembre 1924, après plusieurs débats sur le sujet de la construction d’une crèche dans le village avec le legs de MELOTTE Jules, le conseil communal de Remicourt estime que le projet n’aboutira pas avant août 1925. Il prolonge donc le bail de la maison occupée par BRENNE Martin.
En 1913, le Conseil Communal de Remicourt envisage la réalisation d’un réseau de distribution d’eau alimentaire dans le village.
Le 28 novembre 1956, le Comité des Fêtes de Waremme se réunit une seconde fois sur le projet de ressusciter le cortège du carnaval dans la ville, l’année suivante.
En 2019, PONTONE Pascal exploite le salon de dégustation de glaces le « Limont Blanc » à Limont. L’ouverture d’un nouveau salon est prévue à Waremme, en mars 2020, à l’emplacement qu’occupait le glacier-restaurant « Agora ». (Il s’installera provisoirement au n° 14 de la rue Joseph Wauters).
Le 9 février 1793, à 1h30 de l’après-midi, à Waremme, le vote concernant le projet de réunion de la Principauté de Liège à la France se déroule dans l’église du couvent des Récollets. Il y a 62 votants.
En 1776, les bourgmestres de la Waremme, FRERARD Gilles et BOUX Jean-Gisbert, désirent qu’un collège d’Humanités, tenu par les Pères Récollets, soit créé à Waremme.
Pour cela, ils écrivent au Prince-Evêque de Liège: « Les bourgmestres et magistrats de votre bonne ville de Waremme-le-Château, considérant que la science est l’âme d’un Etat, germe des vertus et la base de la société, et que l’homme ne peut rien acquérir de si précieux qu’icelle, ont formé le projet d’établir en leur ville l’enseignement des Humanités, sous l’agrégation de votre Altesse…. »
Le conseil de la commune entrera ensuite en pourparlers avec le Père Provincial des Récollets, qui répondra qu’il faut attendre la réunion générale des Pères (qui se tient tous les 3 ans). Le projet va encore échouer.
Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.
Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.
Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.
En septembre 1921, vu l’augmentation croissante du nombre d’élèves et le retard pris dans le projet de construction d’une nouvelle école au lieu-dit au « Thièr Dèl Vâ », le conseil communal de Crisnée décide de démolir la cloison installée dans la salle de classe de l’école du village en 1915 et d’aménager une seconde classe à l’étage de la Maison Communale.
L’instituteur SAUVAGE Constantin (Nicolas ?) refuse ce déménagement et démissionne.
En 1969, un avant-projet de bassin de natation couvert, de 25 mètres, ainsi que d’une cafétéria, à l’Ecole Moyenne du village est approuvé par le Conseil Communal de Crisnée. Le coût est évalué à 15 millions de francs.
Le 17 décembre 1968, le conseil communal de Crisnée décide de charger le Service Technique Provincial de réaliser un avant-projet de réseau d’égouts dans les 5 communes de l’entité.