Henri-Joseph Laurenty, patron de sucrerie (Waremme)

En 1856, LAURENTY Henri-Joseph est ingénieur civil. Il est propriétaire d’une fabrique de sucre rue Neuve (qui s’appellera plus tard rue Emile Hallet), près de la place de la Station à Waremme.

Pierre-Antoine Salme, cabaretier (Waremme)

En 1856, SALME Pierre-Antoine est cabaretier. Il est propriétaire d’un fournil rue Neuve (qui s’appellera plus tard rue Emile Hallet) à Waremme.

Isidore Salme, marchand de grains (Waremme)

En 1856, SALME Isidore est marchand de grains. Il est propriétaire d’une maison avec cour rue Neuve (qui s’appellera plus tard rue Emile Hallet) à Waremme.

Nicolas Braine, négociant (Waremme)

En 1856, BRAINE Nicolas est négociant. Il est propriétaire à Waremme:

  • d’une maison avec cour rue Neuve (qui s’appellera plus tard rue Emile Hallet)
  • d’une maison avec bâtiment et cour rue de la Station (qui s’appellera plus tard avenue Reine Astrid)

Hubert Demeurant, négociant (Waremme)

En 1856, DEMEURANT Hubert est négociant. Il est propriétaire à Waremme:

  • d’un bâtiment rural rue Neuve (qui s’appellera plus tard rue Emile Hallet)
  • d’une maison avec cour due de la Station (qui s’appellera plus tard avenue Reine Astrid)

Marie-Elisabeth Dewonck, propriétaire (Waremme)

En 1856, DEWONCK Marie-Elisabeth, veuve ETIENNE (?) est propriétaire d’une maison, avec bâtiment et cour rue de Huy à Waremme.

Joseph Hanesse, garde (Waremme)

En 1856, HANESSE Joseph est garde au Chemin de Fer. Il est propriétaire d’une maison avec cour rue de la Centrale (qui s’appellera plus tard rue Gustave Renier) à Waremme.

Joseph Deruisseau, menuisier (Waremme)

En 1856, DERUISSEAU Joseph est menuisier. Il est propriétaire d’une maison avec cour rue de la Centrale (qui s’appellera plus tard rue Gustave Renier) à Waremme.

Michel Mortier, journalier (Waremme)

En 1856, MORTIER Michel est journalier. Il est propriétaire d’une maison avec cour rue de la Centrale (qui s’appellera plus tard rue Gustave Renier) à Waremme.

Dieudonné Mangon, journalier (Waremme)

En 1856, MANGON Dieudonné est journalier. Il est propriétaire d’une maison avec cour rue de la Centrale (qui s’appellera plus tard rue Gustave Renier) à Waremme.