Louis Putzeys (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de sa maison, rue Gustave Renier à Waremme, PUZEYS Louis est indemne. Il était debout en haut de l’escalier de la cave lorsque l’engin a explosé. Protégé, au-dessus de lui, par l’escalier menant à l’étage, il n’est recouvert que de quelques débris. Le reste du bâtiment est complètement effondré.

Les gendarmes (Waremme)

Le 28 août 1944, durant le bombardement de Waremme, le lieutenant JAMAR Ambroise ne quitte pas le porche de la gendarmerie, rue Porte de Liège. Il réalise que la ville est durement touchée et qu’il aura besoin de toute la brigade pour assurer l’ordre et protéger les biens des sinistrés. Il donne ses instructions à l’adjudant MARECHAL Jules pour rappeler les hommes qui sont déjà rentrés chez eux et pour prendre toutes les mesures indispensables pour organiser les secours.

La Seigneurie de Hemricourt avant 1287

Le Seigneur est propriétaire foncier. Son château-fort lui sert de résidence, ainsi qu’à ses homme d’armes. A côté de celui-ci, une imposante ferme exploite les nombreuses terres, qui constituent sa réserve seigneuriale. Non loin de là, en bordure de l’Yerne, au lieu-dit « le Vivier », son moulin à eau est fréquenté par la population soumise aux bannalités. Aux environs de cet ensemble, se trouvent les maisons et les huttes de la population. Elles sont établies le long du « Mont » (qui deviendra, bien plus tard la rue du Presbytère), à la « Maikèse » (qui deviendra la rue du Haut-Vinave) et près du pont jeté sur l’Yerne.

La population vit dans un état voisin du servage. Elle ne peut quitter le village, ni se marier au-dehors, sans le consentement du Seigneur.

Elle est soumise à un ensemble de redevances et d’obligations, dont certaines ont un caractère personnel et d’autres sont inhérentes à la nature du bien mis en oeuvre. C’est ainsi que cette population:

  • est soumise à la justice du Seigneur;
  • lui doit un nombre considérable de corvées (grâce aux-quelles il entretient sa réserve seigneuriale);
  • est sujette aux bannalités (par exemple, l’obligation de moudre le grain au moulin du Seigneur, moyennant paiement) et au droit de morte-main (en vertu duquel, après le trépas d’un chef de famille, le seigneur s’empare du meuble le plus riche de la maison);
  • est soumise à la « taille » (prélèvement que le Seigneur effectue sur les revenus des villageois, en échange de sa protection).

Les « serfs » sont soumis aux exigences arbitraires du Seigneur. Ils sont « Taillables et corvéables à merci ».

Le Pape évoque Lantremange

pape innocent iii

pape innocent iii

Le 3 mai 1140, le village de Lantremange est mentionné dans une Bulle du Pape INNOCENT III, qui prend sous sa protection le monastère de Stavelot, gouverné par WIBALD, et qui confirme ses biens et privilèges, dont Lantremange.

Le bassin d’orage du Fond d’Or (Waremme)

Le 10 mai 2014, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, inaugure le bassin d’orage du Fond d’Or. Il devrait protéger les riverains des inondations.

Joseph Bologne récupère le mayorat de Liège

Le 6 septembre 1944, vers 16 heures, le bourgmestre de Liège, BOLOGNE Joseph , réintègre « La Violette », sous la protection de la police liégeoise. Des troupes allemandes sont encore dans la ville, retranchées de l’autre côté du Pont des Arches, détruit.

La Belgique veut protéger ses sucreries

En septembre 1884, le Parlement belge vote une loi établissant des surtaxes jugées nécessaires pour protéger les sucreries belges contre les primes et autres mesures de protection édictées en Allemagne.

Il y a encore des mouvements de troupes allemandes dans la région de Waremme (Lantremange – Pousset – Lamine – Allemagne)

Le 7 septembre 1944, les retardataires de la Wehrmacht quittent Waremme, ainsi que l’unité de Waffen SS, qui avait établi son poste de commandement à l’Ecole Moyenne de la ville.

 

La Protection Antiaérienne Passive de Waremme

En mai 1940, l’architecte de Waremme, GONTHIER Richard, dirige le service de Protection Antiaérienne Passive, mieux connu sous le nom de « Défense Passive ». Ce service rassemble des volontaires qui sont amenés à remplir un certain nombre de tâches se rapportant à des problèmes de protection des populations.

GONTHIER Richard et sa famille habitent une confortable maison de la rue Gustave Renier.

Des sacs de terre sont distribués aux habitants (Waremme)

Le 4 septembre 1939, le bourgmestre de Waremme reçoit une injonction du gouvernement qui lui demande de faire procéder sans retard à la distribution de sacs de terre à la population pour la protection contre les bombes explosives.