Le 27 juin 1970, un orage diluvien provoque l’inondation de nombreuses caves dans plusieurs quartiers de Waremme.
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Le Hôme Waremmien va construire de nouveaux logements à la Haute Wegge (Waremme)
Le 19 février 1993, le Home Waremmien annonce la construction de 16 nouveaux logements sociaux à Waremme et de 10 autres à Hannut. A Waremme, les habitations seront construites dans le quartier de la Haute Wegge. Le président du conseil d’administration du Home Waremmien est LEBURTON Edmond.
Fêtes de la Porte de Liège (Waremme)
Le 18 août 1991, le Comité des Fêtes de la Porte de Liège inaugure les festivités du quartier. Elles se dérouleront jusqu’au 28 août. Le comité fête cette année son 94ème anniversaire.
Prolongation des égouts (Waremme)
En 1972, les Egouts sont installés dans le nouveau quartier d’habitations sociales de la rue de Huy à Waremme.
Le quartier du Tumulus est plus accessible (Waremme)
En 1960, la « Corniche » de la rue des Cerisiers est créée à Waremme, pour donner accès aux maisons du nouveau quartier qui surplombent la rue du Tumulus.
Les habitations sociales de la Haute Wegge (Waremme)
Le 6 novembre 1955, le quartier d’habitations sociales de la Haute Wegge à Waremme est inauguré par LEBURTON Edmond. Il portera le nom d’une œuvre de STIERNET Hubert : « Haute-Plaine », dans lequel il conte des scènes typiquement waremmiennes.
Ce quartier de 28 maisons a été construit par le « Home Waremmien ».
Premières habitations sociales à Waremme
En 1949, les premières habitations sociales sont construites dans le quartier qui abritera le Centre Hospitalier Joseph Wauters, qui sera inauguré en 1956.
Après la guerre, Waremme se développe
En 1947, l’après-guerre voit se développer une deuxième vague d’expansion de la ville de Waremme, qui se traduira par le développement de nombreux quartiers résidentiels.
La Place des Fabriques rebaptisée Place Ernest Rongvaux (Waremme)
En 1947, la Place des Fabriques, située devant la gare, jusque là propriété de l’Etat, est reprise par la ville et est réaménagée. Elle porte désormais le nom d’Ernest Rongvaux, Ministre des Communications de l’époque, qui, dès le lendemain de la guerre, s’est attelé à la réorganisation du réseau ferroviaire et à la restauration de ce quartier de la ville, fortement endommagé par l’intense charroi militaire américain, dans les mois qui ont suivi le Libération.