La situation dans l’industrie à Waremme

Le 19 juillet 1915, la situation dans l’industrie à Waremme, en termes de nombre d’ouvriers, est la suivante :

  • Brasserie « AUVRAY Alexis », rue de Liège : 5 (5 avant guerre)
  • Fabrique d’engrais chimiques : – (14)
  • Engrais chimiques « Beauduin J.-J et fils », à Longchamps : 10 (-)
  • Brasserie DELVIGNE Pierre, rue Neuve : 4 (6)
  • Machines agricoles DOYEN et fils, Place de la Gare : 3 (14)
  • Torréfaction du café HAUBRECHTS – GENICOT, rue de la Centrale : 4 (11)
  • Fabrique et magasin de meubles HERCK Joseph, rue du Pont : 5 (12)
  • Brasserie JEGHERS Hubert, rue Neuve : 5 (5)
  • Siroperie LAMBERT Guillaume, rue Selys-Longchamps : 1 (11)
  • Carrosserie LEONARD Victor, rue de Saives : 8 (26)
  • Moulin MATHEI frère et sœur, Hartenge : 2 (2)
  • Moteurs MOES frères, rue de Saives : 4 (43)
  • Ateliers de construction des vicinaux, Longchamps : 75 (68)
  • Ateliers de construction des moteurs GONNE, place de la Station : 0 (12)
  • Séchage industriel des produits agricoles, Longchamps : 8 (8)
  • Râperie de betteraves, rue de la Centrale : 85 (86)

Il y a eu une perte de 32 % d’emploi dans l’industrie, depuis le début de la guerre.

 

Projet de réaménagement du site de l’ancienne râperie de Waremme

Le 11 septembre 2000, le conseil communal de Waremme décide de conclure une convention avec le promoteur privé, la S.A. « Bouw Fonds » de Bruxelles, pour transformer les 7 hectares, laissés à l’abandon après la démolition de la râperie de la Raffinerie Tirlemontoise, surface comprise entre les rues Emile Vandervelde, Ernest Malvoz et la chaussée Romaine. Le projet prévoit une zone de logements (600), de services et d’espaces verts.

Incendie dans les locaux de l’ancienne râperie de Waremme

Le 25 septembre 1995, des individus s’introduisent dans les locaux abandonnés de l’ancienne râperie de Waremme, rue Emile Vandervelde à Waremme. Ils mettent le feu à des caisses contenant des documents, dans les locaux de l’ancien laboratoire. Le feu se propage rapidement à tout l’étage, ainsi qu’à la toiture. Il faudra plus d’une heure aux pompiers pour se rendre maîtres du sinistre.

Inauguration de la Réserve Naturelle de Waremme

Le 30 mai 1980, une Réserve Naturelle de 15 hectares est inaugurée dans les décanteurs de l’ancienne râperie de Waremme, par le bourgmestre LEBURTON Edmond.

Une Réserve Naturelle à Waremme

En 1979, le bourgmestre de Waremme, LEBURTON Edmond, et l’échevin de l’environnement, LABY Henri, proposent au conseil communal de Waremme de créer une réserve naturelle sur le site des bassins de décantation de l’ancienne râperie de Waremme, propriété de la Raffinerie Tirlemontoise.

Un projet de Réserve Naturelle à Waremme

Le 29 février 1979, les autorités communales de Waremme et la Raffinerie Tirlemontoise, représentée par MAISIN Armand, signent une convention aux termes de laquelle ils s’engagent dans une action de sauvegarde de la nature, qui devrait se concrétiser par la création d’une Réserve Naturelle sur le site des bassins de décantation de l’ancienne râperie de Waremme.

Des obus sur Waremme

Le 13 mai 1940, des projectiles atteignent Waremme. Un obus explose à la râperie et occasionne d’importants dégâts.

Développement du Chemin de Fer Vicinal

Plusieurs tronçons de Chemin de fer vicinaux sont construits et touchent des villages, jusque là isolés : Huy – Waremme, Ans – Oreye – Saint-Trond, Oreye – Waremme (inaugurée en 1892), Oreye – Looz – Hasselt, Hannut – Fexhe-le-Haut-Clocher – Tongres.

L’arrivée du Vicinal à la Porte de Liège entraîne la destruction de la chapelle Notre-Dame.

Oreye devient une importante gare de triage, desservant tout le trafic de Tongres et Hasselt avec la Hesbaye et Liège, tant pour les voyageurs que pour les marchandises. Ainsi, durant la campagne betteravière, 450 wagons y sont immobilisés en permanence, afin d’amener les tubercules à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye et à la Râperie de Waremme.