On ne peut dire du mal du Prince-Evêque (Liège)

Le 26 février 1685, un édit du Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Maximilien-Henri, défend à tous les bourgeois et autres, de mal parler de son Altesse, de ses ministres, officiers et magistrats, en se servant de propos injurieux, séditieux ou plein de mépris. Les cabaretiers et autres qui auront entendu de tels discours sans en faire rapport au grand Mayeur ou à ses lieutenants, seront considérés comme complice et châtiés de la même peine que les auteurs desdits propos.

Rapport de Joseph Wauters (Waremme – Belgique)

Le 30 mai 1916, le Waremmien WAUTERS Joseph rédige le rapport du Parti Ouvrier Belge (P.O.B.), adressé au Comité National de Secours, qui préconise des mesures à prendre de nature à assurer l’alimentation publique, en prévenant la fraude et en réduisant l’accaparement et le trafic de la spéculation.

La presse socialiste de langue française (Waremme – Belgique)

En 1919, en préparation du congrès du Parti Ouvrier Belge (P.O.B.), le Waremmien WAUTERS Joseph rédige un rapport sur la « Presse Socialiste de langue française en Belgique ».

Création des Paramours (Waremme)

En 1976, la troupe théâtrale « Les Paramours » est créée à Waremme. Elle n’a aucun rapport avec la troupe du même nom qui a brièvement existé dans les années 50.

La nouvelle troupe est constituée, notamment par:

  • BIETS Emile
  • Mr et Mme JEANFILS
  • LANTIN Eddy
  • PETITJEAN Henri
  • THIRION Josée

 

Celles en 1847

Le 20 septembre 1847, un rapport décrivant le village de Celles est lu en séance du conseil communal:

Il y a:

  • 942 habitants (475 hommes et 467 femmes)
  • Un instituteur et un sous-instituteur
  • Un desservant de la paroisse
  • Un cimetière clos par un mur entourant l’église

Rapport du Comité de Salubrité Publique (Waremme)

Le 11 octobre 1866, le Conseil Communal de Waremme prend connaissance du rapport du Comité de Salubrité Publique concernant les problèmes sanitaires à Waremme.

Ce rapport préconise:

  • D’interdire aux bouchers de laisser couler le sang des animaux hors de leur étal.   -(Le bourgmestre amende cette proposition en précisant que cette interdiction ne doit pas s’appliquer aux bouchers recueillant le sang des animaux qu’ils tuent, pour le livrer à l’industrie sucrière.)
  • D’interdire le séjour prolongé, à l’extérieur, des vieux os nécessaires à la fabrication du « noir animal » utilisé dans les sucreries; de veiller à ce que ces établissements soient toujours maintenus dans de bonnes conditions d’hygiène par l’emploi de désinfectants, tels le chlorure de chaux et l’eau phéniquée.  –  (Le bourgmestre annonce qu’il a eu, à ce sujet, un entretien avec Messieurs MOMMENS et LAURENTY. Ces derniers s’engagent à ne plus faire calciner eux-mêmes d’os et à acheter le « noir animal » nécessaire à la fabrication de sucre. Ils promettent donc de ne plus acheter de vieux os et de veiller aux conditions d’hygiène de leur établissement.)

Remarque: Dans le processus de fabrication du sucre, l’entreprise sucrière clarifie la solution obtenue par le traitement et le raffinage des betteraves, en ajoutant 5% de « noir animal » en poudre et 0,5% de sang de boeuf. Le « noir animal » est obtenu par la combustion d’os d’animaux, fournis par les équarrisseurs. Cette combustion engendre une importante pollution olfactive.

La production agricole à Hemricourt

En 1680, un rapport de la Cour de Justice de Hemricourt constate que:

  • Un bonnier de durs grains produit 200 gerbes (4 gerbes forment 1 setier. Un bonnier peut donc produire 1.500 litres de durs grains, ce qui représente un poids moyen de 1.125 kilos).
  • Un bonnier d’avoine produit 120 gerbes (2 gerbes forment 1 setier ?. Un bonnier peut donc produire 1.800 litres d’avoine, ce qui représente un poids moyen de 1.350 kilos).

Un setier de froment vaut 8 florins brabant; un setier d’avoine vaut 35 patars.

A Remicourt, un bonnier de terre se vend 800 florins.

La Cense du Château de Hemricourt

Avant mars 1589, une sentence du Conseil Ordinaire (du Prince-Evêque de Liège ?) déclare que la Cense du Château de Hemricourt est fortement obérée. Cette cense, dont le rapport peut-être de 240 muids, doit:

  • Une rente de 37 muids à la Compterie du Grenier de la Cathédrale.
  • Une rente de 90 muids à la Compterie des Anniversaires.
  • Une rente de 34 muids à l’autel de Goreux.
  • Plusieurs autres rentes.

Le total s’élève à 189 muids de redevances annuelles.

Olivier Jeuris, chargé de communication (Waremme)

En mai 2015, JEURIS Olivier est le chargé de communication de la ville de Waremme. Ses missions sont les suivantes:

  • Relation avec la presse et organisation des conférences de presse de la ville.
  • Mise à jour du site Internet de la Ville et des profils Facebook et Twitter.
  • Rédaction de communiqués de presse, de toutes-boîtes, et d’articles pour le bulletin communal publié dans le journal « Vlan Publi-Tout ».
  • Réalisation d’une revue de presse électronique destinée aux chefs de service.
  • Rédaction des rapports à destination du Collège et de la Direction Générale (ancien secrétariat communal).

Waremme, la plus chère

En 1950, un rapport de la Caisse Générale d’Epargne et de Retraite (CGER) montre que Waremme est la ville la plus chère du Pays, au vu des relevés de prix au détail.