Le rapport de stabilité de la piscine est rendu public (Waremme)

Le 16 juillet 2012, le résultat de l’étude menée à la piscine communale de Waremme est rendu public : des problèmes se posent au niveau de la gaine de ventilation de la piscine et au niveau du mur de séparation entre les vestiaires et les terrains de tennis.

Le rapport sur la stabilité de la piscine de Waremme est à nouveau reporté

Le 31 mai 2012, le rapport de l’étude de stabilité de la piscine communale de Waremme, initialement attendu pour la mi-avril, reporté au 31 mai, est à nouveau reporté au 15 juillet.

Il y a des problèmes de stabilité à la piscine de Waremme

Le 18 avril 2012, le rapport d’étude de stabilité de la piscine communale de Waremme, commandé par l’échevin RIGOT Hervé, révèle différents problèmes. Des investigations plus approfondies doivent être menées, ce qui engendrera des coûts supplémentaires.

Un rapport « modifié » dans l’Affaire « Dassault » (Belgique – France)

Le 19 avril 1989, le chef d’état-major de la Force aérienne, le général MORIAU, reçoit un coup de téléphone de MAZY Jean-Louis, chef de cabinet adjoint du ministre de la défense COEME Guy, qui lui demande de retirer de son rapport les termes « avantage substanciel » de la société américaine Litton, dans le cadre du contrat de modernisation des chasseurs de la Force Aérienne.

Parallèlement, le général JACOBS, chef du service général des achats de l’armée, recevra un avis identique du colonel BASTIEN, chef de cabinet du ministre de la défense, Guy COEME.

Le service des pompiers sera réorganisé (Waremme)

Le 23 décembre 1892, le Conseil communal de Waremme décide de réorganiser le service des pompiers. Il charge Monsieur MOMMENS d’établir un rapport à ce sujet et de commander divers accessoires pour compléter le matériel d’incendie. Une annonce sera insérée dans les journaux pour faire savoir à la population que le corps des pompiers recrute.

Le Premier Concordat (France – Vatican)

 

concordat de 1801

concordat de 1801

Le 15 juillet 1801, le Premier Concordat est signé entre le Premier Consul BONAPARTE et le Pape PIE VII, il règle les rapports entre l’Eglise et l’Etat.

napoléon bonaparte

napoléon bonaparte

Il vient mettre un terme à toutes les tracasseries des autorités républicaines et le culte peut, à nouveau, s’exercer librement. Cependant, le clergé est placé sous la surveillance du pouvoir civil : les Evêques sont nommés par l’Empereur ; les curés sont nommés par l’Evêque parmi les personnes agréées par le gouvernement. Ils doivent prêter serment de fidélité et d’obéissance au gouvernement. Chaque commune est autorisée à reprendre les cloches qui avaient été retirées des églises en 1797. Celles du canton de Waremme avaient été stockées dans l’ancien couvent des Récollets, notamment, parmi les plus anciennes, une cloche de 1353 de l’église paroissiale Saint-Pierre, une de 1314 du village de Marlinne, une autre de 1371 du village de Bleret.

pape pie vii

pape pie vii

La nouvelle organisation de l’Eglise est copiée sur celle de l’administration civile:

  • Chaque diocèse doit correspondre à un département.
  • Chaque doyenné doit correspondre à un canton.
  • Chaque paroisse doit correspondre à une commune.

C’est ainsi qu’une ou deux paroisses sur trois est supprimée et est rattachée comme « chapellenie » à une paroisse voisine. 

Certaines dénominations changent:

  • Le doyenné devient cure.
  • Le doyen devient curé.
  • La paroisse devient succursale.
  • Le curé devient desservant.

Le Concordat va ramener la paix religieuse dans la région de Waremme et apaiser les consciences. Toutefois, les biens de l’Eglise, qui ont été confisqués et vendus, ne lui sont pas restitués.

(Un certain nombre d’acquéreurs de ces biens sont des citadins de Liège)

Amendes à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 23 juin 1747, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne FRAIPONT François et HENNIN Guillaume-Joseph à une amende d’une livre de chandelles chacun, pour avoir arrêté le Valet de Chambre qui portait à boire aux confrères au « prestia » (pré à tirer), lui avoir pris des mains la « mute » pleine de bière et être allés la boire dans la maison de STIERNET Laurent. Elle condamne le Valet de Chambre à une amende d’une demi-livre de chandelles, pour les avoir suivi et bu avec eux, au lieu de venir tout droit à la prairie en faire rapport au « Roy » et à « l’Empereur ».

Les Waremmiens veulent être dédommagés

En 1746, les habitants de Waremme transmettent à la cour de justice de la ville un rapport des frais occasionnés par les fournitures faites aux différentes troupes.