Fusion à Geer

Le 1er janvier 1977, en application de la loi sur la fusion des communes, 7 villages sont réunis pour former le « grand » Geer:

  • Boëlhe
  • Darion
  • Geer
  • Hollogne-sur-Geer
  • Lens-Saint-Servais
  • Ligney
  • Omal

La nouvelle paroisse de Lamine

En 1802, les paroisses de Lamine, de Hodeige et de Remicourt sont réunies en la nouvelle paroisse de Lamine. L’abbé SIOR en est le curé. Il a prêté le serment constitutionnel d’allégeance au Régime Français.

Des fournitures médicales pour la Résistance (Waremme)

En 1942, le lieutenant COMPERE Jean et le docteur EVRARD René rassemblent du matériel et des fournitures médicales pour la Résistance, à Waremme. Dans un premier temps, ces fournitures sont cachées chez Madame LEJEUNE, épouse LECLOUX. (Son mari, officier supérieur d’Artillerie, est prisonnier de guerre). Elles seront ensuite transportée chez le docteur HERBILLON (François ?).

Anniversaire de l’Institut Notre-Dame (Waremme)

Le 23 octobre 2016, près de 300 personnes se rassemblent pour fêter le 150ème anniversaire de l’Institut Notre-Dame de Waremme, anciennement appelé « Institut des Filles de la Croix ». Eucharistie, apéritif, bon repas, exposition et retrouvailles d’anciens.

Le directeur de l’établissement est MOUTON Jean-Marie.

Création d’une chanterie de coqs à Hodeige

En 1951, une chanterie de coqs est créée à Hodeige.

Chaque semaine, des passionnés se rassemblent et participent à un concours de chants de coqs. Le but est de deviner le nombre de fois qu’un volatile va chanter, durant un certain laps de temps.

Un massacre évité à Momalle

Le 6 septembre 1944, les Allemands entendent venger les neuf soldats exécutés à la ferme de Streel, sur la population de Momalle rassemblée dans l’église du village. SMEETS Mathieu, qui parle très bien l’allemand, tente d’infléchir la funeste résolution de l’officier qui les commande: « Tous des braves gens; ils n’ont pas pu exécuter les soldats retrouvés à la ferme de Streel« .

L’officier consent à libérer les femmes et les enfants, mais il veut exécuter 45 hommes hommes. Ses soldats réclament vengeance !

SMEETS Mathieu supplie l’officier de ne pas commettre l’irréparable. La guerre sera bientôt finie et il ne peut souiller son honneur par un crime abominable. Il lui suggère d’emporter tous les véhicules disponibles, en échange de la vie des villageois. L’Allemand finira par accepter. La persévérance de SMEETS Mathieu a ébranlé la détermination de l’officier.

On a échapper de peu à un nouvel « Oradour-sur-Glane ».

Il faut ramasser les armes (Waremme)

Le 13 mai 1940, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, charge le garde-champêtre, VANDEVELDE Charles, dit « Tchâle li Garde », de ramasser les armes et autres objets militaires, retirés aux prisonniers, qui jonchent les rues de la ville et principalement la rue Joseph Wauters. A l’aide d’une charrette à bras, celui-ci les rassemble dans la cour de l’Ecole Moyenne.

Des prisonniers rue Joseph Wauters (Waremme)

Le 12 mai 1940, des centaines de soldats belges, qui ont passé la nuit à Waremme (chez l’habitant ou à la belle étoile) sont faits prisonniers par les Allemands. Ils sont rassemblés sur le trottoir de la rue Joseph Wauters, de l’Hôtel de Ville jusqu’à la place du Roi Albert 1er. L’autre trottoir est couvert de leurs havresacs, casques, bottines, ceinturons, fusils, mitrailleurses, …, amoncelés sans ordre. Ces prisonniers seront emmenés, en colonnes, jusque Tongres.

Eli Fraipont et les secouristes (Waremme)

En 1944, FRAIPONT Eli est chargé de rameuter les secouristes de Waremme, en cas de nécessité, sur base d’une liste. Il fait sa tournée à vélo