En 1960, un incendie ravage les installations de l’atelier de mousse de JANSSEN Albert, situé près de la gare du vicinal à Oreye. L’entreprise, qui a compté jusque 20 ouvrières, est complètement détruite et ne sera pas reconstruite.
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Saives ravagée
Les 14 et 15 mai 1672, les armées françaises et hollandaises ravagent le hameau seigneurial de Saives et pillent ses riches campagnes, après deux jours d’un horrible pillage.
La ferme de l’abbaye en feu (Donceel)
En 1884, un incendie ravage la ferme de l’abbaye de Saint-Jacques, à Donceel. Seules la maison de l’abbé et des religieux, et celle du censier sont épargnées.
Les Sans-Culottes au Presbytère (Momalle)
En 1790, les Sans-Culottes ravagent le presbytère de Momalle. Un coup de feu est même tiré en direction du curé, qui doit se cacher chez un paroissien, pour échapper à la vindicte populaire.
Les Sans-Culottes chez le curé (Momalle)
En 1789, les Sans-Culottes pénètrent de force au presbytère de Momalle, en brisent le mobilier, en ravagent le jardin, ne se retirent qu’après « avoir commis les actes les plus orduriers ». Ils s’emparent de la vache du curé, l’abbé PONCELET », pour la tuer et la manger.
Les Français étranglent Borlez
En 1693, l’armée française réquisitionnent les moissons à Borlez, ravage le village et force les habitants à fuir.
Borlez est ravagé
Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.
- La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
- Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
- La maison « RENIER » est détruite.
- La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
- Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
- La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.
Une quatrième explosion. Le centre est dévasté (Waremme)
Le 28 août 1944, à 18h16, une dizaine de secondes après l’explosion de la rue Joseph Wauters, une autre bombe touche le sol, entre la façade arrière de la maison « PUTZEYS » rue Gustave Renier et l’atelier de « Djed Libon », qui est situé à une dizaine de mètres de l’ancienne cour à charbon. Le sol étant particulièrement humide à cet endroit, la bombe s’enfonce à cinq mètres de profondeur. Après quelques secondes, elle explose.
Tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé. Les maisons « MATHOT », « RENIER », « WUIPIEDS », « PUTZEYS » et « GONTHIER » sont détruites.
Les Espagnols ravagent la région de Waremme
En 1592, les Espagnols ravagent à plusieurs reprises la région de Waremme.