Monument pour François Gilon (Crisnée)

En 1925, le conseil communal de Crisnée reçoit la notification officielle du décès de GILON François et décide de lui élever un monument dans le village.

Pierre Ferette écrit à ses parents (Celles – France)

Le 5 juillet 1810, FERETTE Pierre-Joseph, journalier à Celles, fusilier au 5ème Bataillon de la 1ère Compagnie du 32ème Régiment d’Infanterie de Ligne, écrit à ses parents, de Paris:

« Mon très cher père et très chère mère,

En réponse à la vôtre datée du 30 mai dernier par laquelle j’ai eu la satisfaction d’apprendre que vous jouissiez d’une santé parfaite, espérant que la présente vous trouvera de même quoique de mon côté je me porte bien Dieu merci. Je souhaite une continuation parfaite de même qu’à vous tous, mon cher père.

C’est la seconde fois depuis peu mais l’argent que vous m’avez fait le plaisir de m’envoyer m’est arrivé avec votre lettre. Rien autre chose à vous marquer pour le présent que de vous faire mes compliments, de même qu’à ma mère et frères après vous avoir embrassé de tout mon cœur et désirant que Dieu nous donnera la grâce de nous revoir un jour.

Finissant la présente, je vous prie de faire mes compliments à M. HAMOIRE et à sa prétendue épouse et à toute sa famille. Vous leur direz de ma part que je leur souhaite toutes sortes de bonheur touchant leur mariage et que je me recommande à eux. Ce serait un effet de leur bonté que de m’envoyer un peu d’argent. Je leur serait infiniment obligé, je vous prie de faire mes compliments à M. GODECHAL et à sa famille et qu’il ait soin de me renvoyer ce qu’il m’a proposé et que je me recommande de sa personne. Je lui serai infiniment reconnaissant. Mes compliments à MARECHAL et à son épouse.

J’ai fini ma lettre en vous embrassant de tout mon coeur et suis pour la vie votre très humble et obéissant fils.

Mon père, je vous prie de faire mes compliments à HALAIN et à ses frères de la part de HALAIN François. Leur fils qui se porte bien et qu’il espère que la présente vous trouvera dans la même situation et qu’il fait ses compliments à ses oncles et tantes et à ses cousins, de même qu’à GOUGNAR Marie et que je les embrasse de tout mon cœur.

p.s.: je ne suis plus camarade de lit de FERETTE, mais je ne suis pas éloigné de lui. FERETTE couche avec un jeune homme de Thisnes. HALAIN a reçu une couronne et demie que son père lui a envoyée.

Son adresse dans le même bataillon et la même compagnie que moi.

Ecrivez-nous de suite.

Réception du Seigneur (Thys)

Le 17 décembre 1766, le nouveau Seigneur de Thys (?) est reçu en la salle scabinale du village. Il se rend ensuite à l’église, puis au château.

Barthold de Libert, Seigneur (Thys)

Le 17 décembre 1766, DE LIBERT Barthold-Louis-Lambert-Joseph est reçu comme Seigneur de Thys et y prête serment.

Sucreries à l’arrêt (Belgique)

Le samedi 11 novembre 1939, la plupart des sucreries belges arrêtent la réception des betteraves. On craint une invasion allemande imminente. Le 18 novembre, l’alerte passée (!), les sucreries reprennent leurs activités.

Alphonse Vervoir, mobilisé (Oreye)

En août 1914, le maçon d’Oreye, VERVOIR Alphonse, reçoit son ordre de mobilisation, le jour où il termine la construction de la maison d’habitation de la ferme BOLLEN (qui deviendra plus tard la ferme RIGO)

« Le chou n’a pas une odeur effroyable » (Faimes)

Le 1er mai 1944, le message codé « Le Chou n’a pas une odeur effroyable » est diffusé sur la BBC. Il annonce un parachutage d’armes, de munitions et d’explosifs sur la « Plaine Chou », à Faimes.

Il sera réceptionné par BAILLY Joseph et LEEMANS Marcel.

Les Etablissements Wérichet (Waremme)

Durant l’année 1996, les Etablissements « WERICHET », installés près de la gare de Waremme, reçoivent une soixantaine de wagons de charbon, notamment en provenance d’Allemagne.

La société Dengibéton (Waremme)

Durant l’année 1972, la société « Dengibéton », installée près des voies du vicinal à Waremme, réceptionne 13 wagons de laitier (332 tonnes) de la société « Cockerill.