Louis Reyntens, Résistant (Nivelles – Berloz)

louis reyntens

louis reyntens

En août 1942, l’abbé REYNTENS Louis quitte son emploi de professeur au Collège Sainte-Gertrude de Nivelles, pour disposer de tout son temps. Il entre dans la clandestinité et est envoyé en Hesbaye liégeoise. Il trouve refuge chez la Comtesse DE RENESSE, au château de Berloz. Il y a été introduit par l’abbé LYSENS Albert, curé de Berloz.

Le gouvernement belge poursuit le combat (Belgique – Grande-Bretagne)

hubert pierlot

hubert pierlot

En octobre 1940, le gouvernement belge, réfugié à Londres, décide de poursuivre le combat, aux côtés des Alliés. Le Premier Ministre est PIERLOT Hubert.

Accrochage à Omal

Le 5 septembre 1944, des hommes de la Compagnie 420 du Groupe « Otarie », commandée par CARTUYVELS Alfred, quittent le « Refuge » à Les-Waleffes et se dirigent vers Omal, pour y surveiller la Chaussée Romaine.

Composent, notamment, ce groupe:

  • MOISSE Maurice
  • GUSTIN Lucien
  • DUCHATEAU Jean-Joseph
  • DUCHESNE Léonard
  • MARTIN Emile
  • GEMIS Camille
  • FAUVILLE Marcel
  • DOLHEN Félicien
  • ROSOUX Gustave

Un accrochage a lieu avec une colonne motorisée allemande. DUCHATEAU Jean-Joseph, FAUVILLE Marcel et MARTIN Emile y perdent la vie.

Fernand Lambert (Petit-Axhe)

Le 28 août 1944, pendant le bombardement de Waremme et de Grand-Axhe, LAMBERT Fernand se réfugie dans la tranchée de la prairie « FASTRE » à Petit-Axhe. Après celui-ci, il se rend dans le centre de Waremme, pour participer aux secours.

Il est marchand de charbon. Il est membre de la Protection Antiaérienne Passive. Il est membre de la fanfare cycliste « L’Agrément de la Pédale ».

Clara Masset, extraite des décombres (Waremme)

Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu », n’est pas chez lui. Il est à Bettincourt. Par contre, sa femme, MASSET Clara, a trouvé refuge dans la cave voisine des RENIER.

Après l’explosion, ses frères MASSET Marcel et MASSET Jules, ROUA Joseph, VANOPPEN Lucien et DEBROUX Georges s’activent pour la sortir des décombres.

Elle est conduite sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Les brancardiers doivent se relayer plusieurs fois, en raison de son obésité.

Les soeurs Mathot, saines et sauves (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, la Boulangerie « MATHOT » est ravagée. Mais MATHOT Honorine et MATHOT Marie-Louise sortent indemnes du dessous de la table où elles se sont réfugiées. LALLEMAND Paul et HOMBROISE Philippe, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la boulangerie, s’en sortent également sains et saufs.

La femme et la fille « Gonthier », sauvées (Waremme)

Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de lélectricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, la femme et la fille de l’architecte GONTHIER Richard se trouvent dans l’arrière-cuisine. Elles sont couvertes de mille petits débris, mais sont indemnes. Traumatisées, elles sortent par l’arrière de ce qui reste du bâtiment, et vont se réfugier à la Boucherie « FORET ».

Fernand Magnée et ses patientes, sauvés (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de l’électricien « PUTZEYS », rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs libèrent le dentiste MAGNEE Fernand, FRERE Marie, MANGON Marie et un soeur Dominicaine, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la maison de l’architecte GONTHIER. Les volontaires parviennent à les faire sortir par le soupirail de la façade. L’escalier menant à cette cave est obstrué par une tonne d’éboulis.

 

Jules Lambert, blessé (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, LAMBERT Jules, qui s’était pourtant réfugié dans la cave du Café « Aux Sports », rue Joseph Wauters, a reçu un éclat qui lui a profondément entaillé la cuisse. Il saigne abondamment.

L’abbé PIRSON Hadelin lui fait un garrot pour arrêter l’hémorragie, puis applique une compresse sur la plaie. LAMBERT Jules se rend ensuite, péniblement, vers la clinique Notre-Dame, rue Joseph Wauters.

Le Café « Aux Sports » (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la première bombe à Waremme, un certain nombre d’occupants du Café « Aux Sports » se réfugient dans le cellier du bâtiment:

  • DUBOIS Paul, dentiste
  • DARBE Paul
  • CHABOT Léon
  • BEAUDUIN Armand
  • GENIQUE Joseph
  • LAMBERT Jules
  • GRANDJEAN Henri
  • LAMBERT Charly
  • RAMQUET Jules
  • HEYNE Jules
  • MOUREAU Jeanne, l’épouse du patron du café HEYNE Léon
  • MOUREAU Thérèse, dite « Mamme Tîne »

D’autres restent dans le café:

  • JAVAUX Martien
  • YANS Arthur
  • NOBEN Albert
  • LANGE Félix
  • PIQUET Georges
  • SENY Léon, notaire
  • GLADE Joseph, dit « Paille »
  • FARCY Alice
  • BIERNA Henri
  • MASSILLON Emile
  • LECLOUX Joseph
  • EVRARD Paul
  • HEYNE Léon
  • PÂQUES Henri
  • BRASSINE Fernand