En juin 1940, des volontaires mettent en place, au collège Saint-Louis de Waremme, un bureau de renseignements et un centre d’accueil pour les réfugiés qui reviennent de France.
Un centre d’accueil pour réfugiés (Waremme)
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Méprise tragique (Waremme – Liège – Allemagne)
Le 11 mai 1940, vers 21h30, tragédie devant le château de Longchamps : une camionnette civile est incendiée. On retirera des débris UTENS Antoine, un employé de Herstal, son épouse JANSSEN Elisabeth, LADSOUS Ferdinand, employé à Liège, son épouse GROVEN Elise et leur bébé, LADSOUS Lucie. Il semble qu’un side-car belge a tiré des balles traçantes, depuis la ferme RIGO de Petit-Axhe. Les réfugiés avaient camouflé leur véhicule avec des branchages. Les soldats belges les ont pris pour des Allemands.
L’Ecole Moyenne à nouveau fermée (Waremme)
Durant les derniers mois de 1918, l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme (qui deviendra Athénée Royal) doit à nouveau fermer ses portes. Les locaux sont successivement occupés par des troupes allemandes, par des évacués des régions où se déroulent des opérations militaires, puis par des prisonniers de guerre libérés.
Des réfugiés à l’Institut des Filles de la Croix (Waremme)
En 1917, bon nombre de réfugiés français trouvent asile dans les classes et les dortoirs de l’Institut des Filles de la Croix à Waremme.
Le « lazaret » de Waremme
Fin 1917, un Lazaret (établissement de quarantaine) est établi rue Sous-le Château, au Patronage des garçons, pour accueillir des réfugiés atteints de toutes espèces de maladies : tuberculose, grippe infectieuse, choléra (un cas), typhus, gâtisme sénile, hystérie, folie, tuberculose osseuse, abcès froids, cancer, épilepsie, albuminurie, …
Les docteurs HANSOULLE et GENICOT y donnent des soins assidus.