Tensions à l’Hôtel de Ville (Waremme)

Le 7 septembre 1944, en pénétrant à l’Hôtel de Ville de Waremme, les Résistants de l’Armée Secrète (AS), MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice, y trouvent quelques membres du Front de l’Indépendance (FI) qui les ont précédés:

  • GAUNE François
  • DERYDT Alfred
  • RENKIN André

Il y a des divergences de vue entre les deux organisations de Résistants.

Les membres du Front de l’Indépendance veulent une répression impitoyable et immédiate des traitres et des collaborateurs, alors que les membres de l’Armée Secrète veulent avant tout réinstaller l’autorité qui existait en mai 1940, c’est-à-dire le bourgmestre JOACHIM Guillaume. Les membres du Front de l’Indépendance déclarent que celui-ci a collaboré avec l’Occupant et qu’il doit être démis. Pour eux, le seul représentant de l’autorité doit être le commissaire HARDY Camille, qui a refusé toute collusion avec les Allemands, dès le début de l’Occupation.

Dissolution du POB (Belgique)

En 1940, le président du Parti Ouvrier Belge (POB), DE MAN Henri, prend la décision de dissoudre le parti. Il souhaite que les militants se rassemblent dans une nouvelle structure: l’Union des Travailleurs Manuels et Intellectuels (UTMI). Mais la plupart d’entre-eux vont refuser.

Lucien Peters, commissaire (Waremme)

Après le 10 mai 1940, PETERS Lucien est nommé commissaire de police de Waremme. Il remplace HARDY Camille, qui refuse de collaborer avec l’occupant allemands.

Camille Hardy, commissaire (Waremme)

En 1939, le chef de la police de Waremme est HARDY Camille. C’est un homme de haute taille, à la carrure impressionnante.

Lors de la Première Guerre Mondiale, il a refusé de travailler sous la férule de l’occupant allemand.

Le projet d’Emile Jacques sera refusé (Waremme)

Le 14 février 1856, JACQUES (-HOUSSA ?) Emile dépose un projet de pensionnat pour l’Ecole Moyenne de Waremme. Il ne sera pas accepté.

Assemblée des Libéraux (Waremme)

Le 10 juin 1846, l’Assemblée Générale des Libéraux de Waremme se tient chez Monsieur LOUIS, à la station. Elle est présidée par DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond. Il y a 56 électeurs présents. Ils désignent les délégués au Congrès Libéral de l’Arrondissement:

  • DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond
  • DE LAFONTAINE Eugène
  • Monsieur MASSART de Momalle
  • Monsieur HALLET de Hannut
  • Monsieur HONLET de Wasseiges
  • Le docteur TOMBEUR de Ligney
  • Monsieur DE HEMRICOURT d’Acosse
  • Monsieur DELOOZ d’Avin
  • Monsieur MASSOT de Saives
  • (FLEUSSU Stanislas n’accepte pas sa désignation)

Des suppléants sont également désignés:

  • MASSART Lambert-Mathias, dit « MASSART DE BRONCKART »
  • GERMEAU fils de Grandville
  • Le docteur FABRI Michel de Limont
  • BEAUDUIN de Rosoux
  • LOUIS Constant, bourgmestre de Grand-Axhe
  • HENAULT, bourgmestre de Fallais
  • Monsieur DANDOY, de Jeneffe
  • Monsieur LACROIX de Lens-sur-Geer
  • JAMOTTE Alexandre, de Viemme
  • NAVEAU Léonard, de Hollogne

La Société de chasse (Waremme)

Le 27 août 1882, Monsieur LORIERS est admis à la société de chasse de Waremme. Par contre, les candidatures suivantes sont refusées:

  • Monsieur WERY Eugène, cabaretier
  • Monsieur DIRICK Joseph-Jean-Joachim
  • Monsieur DUPONT-BOUX Désiré

Font notamment partie de cette société:

  • Le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond
  • Le Baron DE LAFONTAINE Eugène
  • Monsieur FRERARD
  • LEJEUNE Achille
  • Le notaire JACQUES

Tensions à Waremme

Le 2 septembre 1855, le doyen de Waremme, l’abbé DELFOSSE Léonard-Joseph et le vicaire refusent de participer au banquet donné par le bourgmestre de Waremme, donné à l’occasion de la distribution des prix à l’école primaire.

Des réfractaires spadois (Waremme – Spa – Allemagne)

Le 28 juillet 1918, des ouvriers, qui ont refusés de se mettre au service du Kaiser à Spa, arrivent à la gare de Waremme. Ils resteront dans la ville jusqu’à l’Armistice.

Refus de l’ultimatum allemand (Belgique – Allemagne)

Le 3 août 1914, avec l’accord du gouvernement belge, des ministres d’Etat et des responsables militaires, le Roi ALBERT 1er répond négativement à l’ultimatum allemand, exigeant le libre passage des troupes allemandes sur le territoire belge.