En 1791, la fonction de garde-champêtre est créée par le Régime français.
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Des Bureaux de Bienfaisance (Hesbaye – France)
Vers 1796, les communes de Hesbaye sont tenues, par le Régime français, d’ouvrir un Bureau de Bienfaisance. Il remplace la « Table des Pauvres » ou le « Bureau de Secours ».
L’abbé Ramquin, déporté (Pousset)
Vers 1800, le curé de Pousset, l’abbé RAMQUIN, est condamné à la déportation par le Régime Français, pour avoir refusé de prêter le serment constitutionnel d’allégeance.
Lambert Istas, curé sous surveillance (Hodeige)
Vers 1800, le curé de Hodeige, l’abbé ISTAS Lambert, est mis sous surveillance par le Régime Français, pour avoir refusé de prêter le serment constitutionnel d’allégeance. Il n’est pas exilé car dit « sexagénaire ».
La nouvelle paroisse de Lamine
En 1802, les paroisses de Lamine, de Hodeige et de Remicourt sont réunies en la nouvelle paroisse de Lamine. L’abbé SIOR en est le curé. Il a prêté le serment constitutionnel d’allégeance au Régime Français.
Restauration de l’église Saint-Pierre (Waremme)
En février 1804, la vieille église Saint-Pierre de Waremme fait l’objet d’une importante restauration. Cette remise en état s’avère nécessaire car l’édifice a servi de magasin militaire pendant les premières années du Régime Français, période pendant laquelle le culte a été célébré dans la chapelle du couvent des Récollets. Cette utilisation l’a complètement délabrée.
Elle n’est rendue au culte qu’au prix de grandes dépenses et d’un concours très généreux des habitants. Pour assurer le transport des matériaux, on fait appel à tous les paroissiens propriétaires de chevaux.
Elle sera finalement démolie en 1879.
Les « Echos » de Jules Ghaye (Waremme)
Le 24 septembre 1964, GHAYE Jules entame, dans les « Echos de Waremme » la publication d’une étude sur le système métrique sous le régime français et la manière dont cette réforme a été appliquée en Belgique.
Des écoles sont installées dans l’ancien Couvent des Sépulchrines (Waremme)
En 1860, les bâtiments de l’ancien Couvent des Sépulchrines sont partiellement occupés par d’autres religieuses, les Dames de la Sainte-Union de Douai, qui poursuivent l’œuvre des Filles du Saint-Sépulchre (Les religieuses ont été empêchées d’enseigner, sous le régime français, lors de la Révolution). Une autre partie des bâtiments est occupée par l’école communale et par la gendarmerie.
Une école pour filles est crée par les soeurs Pergay (Waremme)
En 1803, en raison de la fermeture du Couvent des Sépulchrines, sous le Régime français, le Conseil Communal se préoccupe également beaucoup de doter Waremme d’un nouvel établissement d’enseignement réservé aux jeunes filles. Ses efforts aboutissent avec la création d’une école dirigée par les demoiselles PERGAY Valériane et PERGAY Sophronie.
Le Conseil Communal leur accorde un subside annuel de 700 francs. L’accord leur impose d’adjoindre à leur pensionnat une école primaire pour filles. L’une des sœurs sera, par la suit, nommée institutrice communale et sera rétribuée comme telle. (Sur le plan Popp, elles sont propriétaires à la rue du Pont et sont qualifiées de « rentières ».)
Arnold Recum et Guillaume Hennin, bourgmestres (Waremme)
En 1795, RECUM Arnold et HENNIN Guillaume sont nommés bourgmestres de Waremme. Se seront les derniers bourgmestres de l’ancien régime. Ils resteront en fonction jusqu’à l’établissement du régime français.