En 1914, les combattants conscrits et volontaires (morts ?) de la région de Geer:
- Boëlhe: 3
- Geer: 5
- Hollogne-sur-Geer: 21
- Lens-Saint-Servais: 7
- Ligney-Darion: 16
- Omal: 10
En 1914, les combattants conscrits et volontaires (morts ?) de la région de Geer:
En 1846, la maladie de la « rouille du seigle » frappe la région de Hollogne-sur-Geer, entraînant une forte hausse du prix du pain.
Le 18 avril 1818, un arrêté, visant à combattre la propagation de la petite vérole, est pris pour les villages de la région de Hollogne-sur-Geer:
» … Aussitôt que la petite vérole se manifeste dans une maison, il sera attaché, par les soins de la police, au-dessus de la porte d’entrée principale, un écriteau portant les mots – De par l’Autorité, Maison infectée de la petite vérole – Cet écriteau muni du sceau de la mairie restera suspendu aussi longtemps que la maladie règnera dans la maison.
A l’exception des ecclésiastiques, des médecins, des gardes-malades, personne ne pourra avoir des communications avec les maisons infectées.
Un enfant habitant la maison ne pourra avoir des communications avec d’autres enfants.
Le corps d’une personne morte de la petite vérole devra être promptement inhumée et au plus tard dans les deux fois 24 heures, sans que qui que ce soit puisse le recevoir à l’église.
Il est défendu, aux maîtres et maîtresses d’écoles et de pensionnats, de recevoir sous peine d’une amende de 3 à 10 florins, un enfant qui n’aura pas été vacciné.
Il est également fait défense aux établissements de charité d’accorder des secours aux familles qui négligent de faire vacciner leurs enfants. »
Vers 1802, le citoyen VILLERO est arpenteur dans la région de Lens-Saint-Servais.
En 1986, une maison omalienne, grandeur nature, est reconstituée à Lens-Saint-servais, sur base du plan des fondations d’un ancien village découvert à Darion, au lieu-dit « Les Colia », en commémoration du centenaire des premières découvertes de traces de cette civilisation dans la région.
Cette reconstitution est installée au lieu-dit « Les Tridaines ». Elle mesure 16,7 mètres de long, 4,65 mètres de large au chevet et 5,85 mètres à l’avant (ce plan forme donc un trapèze). L’espace est divisé en 3 zones: habitat, grange et étable.
Le coût de cette reconstitution s’élève à 300.000 francs.
De 1923 à 1926, le vétérinaire d’Oreye, MERCIER Auguste-Xavier-Arnold-Théodore part pour le Congo où il travaillera comme directeur de la « Société des Produits du Congo », installée sur l’île de Mateba, à l’embouchure du fleuve Congo.
Son épouse, PAQUES Bertha, ne l’accompagne pas parce qu’elle attend un enfant et que le climat insalubre de cette région ne lui convient pas.
En 1947, la siroperie d’Oreye, exploitée par MARCHAL Edouard, cesse ses activités, en raison de la concurrence d’autres siroperies de la région et de la chute des prix du sirop sur le marché.
Le 22 mars 1944, les Résistants LEBURTON Albert, dit « Boldje », d’Oreye, BASTIN Charles, gendarme à la brigade d’Oreye et MOYSE Louis, chauffeur de camion à la Raffinerie d’Oreye, sont chargés par BAILLY Joseph (chef de leur section de Résistants), de faire parvenir 3.000 kg de farine, venant du moulin de Ville-en-Hesbaye, à la boulangerie HENNEMANN à Crisnée.
Cette farine doit servir à confectionner du pain pour ravitailler les réfractaires de la région, l’Armée Secrète et les nécessiteux du village.
Ils sont arrêtés par les Feldgendarmes allemands, torturés et incarcérés.
En 1940, RIGO Octave, natif de Pousset, fait la « Campagne des 18 jours » comme agent de liaison. Il poste les plis et le courrier du commandant belge de la région d’Arendonck et de Herentals. A la Capitutation de la Belgique, il est fait prisonnier. Il sera ramené à Oreye en juin 1940.
En 1910, DESART Edgar est marchand de vélos et de motos, au croisement de la Grand’Route et de la rue de la Poste, à Oreye. Il est agent des cycles « Peugeot » pour la région.
Il possède également un salle de spectacle et de conférence, près de la Poste.
Il est le fils du pharmacien DESART François.