Le 11 août 1744, le Prince-Evêque de Liège DE BAVIERE Jean-Théodore prend un règlement relatif à quelques points d’administration pour la ville de Waremme.
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Modification des règles dans les « Métiers » (Waremme)
Le 26 novembre 1742, une ordonnance du conseil privé du Prince-Evêque de Liège, DE BERGHES Georges-Louis, modifie un règlement du 31 juillet 1620, relatif à l’élection des gouverneurs des métiers et des jurés.
Au lieu d’élire directement les gouverneurs et jurés de la ville de Waremme, chaque composant devra dorénavant les tirer au sort dans chacun des dix métiers. Les dix personnes qui auront été tirées au sort devront être ballottées, comme de coutume : cinq pour être gouverneurs et les cinq autres pour être jurés.
Modification du règlement à la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 22 mai 1740, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme décide que celui qui abattra l’oiseau recevra 45 sous à la place d’une mesure de froment. Il devra préparer les repas de la fête et recevra, pour cela, un salaire de quatre frans.
L’administration de la justice et l’autorité de police sont séparées (Waremme)
Le 9 septembre 1706, un règlement du Prince-Evêque de Liège modifie l’ordonnance du 28 août 1698. Il sépare, à Waremme, l’administration de la justice de l’autorité de police. Le gouvernement de la police appartient dorénavant aux bourgmestres et conseil, à l’entière exclusion des mayeurs et échevins qui devront se contenter d’exercer leurs fonctions dans les matières de justice.
Les Waremmiens doivent payer la taille
En 1686, un règlement du Prince-Evêque de Liège oblige les habitants de Waremme à payer la taille aux autorités de la ville.
Organisation de l’école à Waremme en 1635
En janvier 1635, le conseil de la ville de Waremme précise les règles d’organisation de l’école :
– Enseignement gratuit à tous les pauvres.
– Cours tous les jours de 8h à 11h et de 13h à 16h30.
– Le matin des jours de fête, le catéchisme est donné en français et en latin.
– Le mardi et le jeudi après-midi : congé.
L’enseignement est confié à un prêtre pédagogue, dont le salaire est tiré moitié de la mense des pauvres, moitié des revenus de l’Eglise. A ce titre, il est précisé qu’il « devra enseigner tous les pauvres qui se retrouveront à son école gratis … » Les cours se donnent de 8h à 11h et de 13h à 16h, avec congé les mardis et jeudis après-midi. « Item, les jours de fête et dimanches, devra enseigner du matin quelconque espace de temps à ses étudiants la catéchisme, aux plus expects celle en latin, et aux autres celle en français » et « chaque semaine, une leçon de chant grégorien. L’enseignant devra aussi recharger les élèves de retour chez eux, de ne pas vaquer à jeux mais d’étudier, et pour y facilement pourvoir, pourra commettre l’un des dits étudiants pour remarquer et accuser tous ceux qui, étant retournés de leur école, ne vaqueront à leurs études; comme aussi députer un pour accuser toutes pétulances, … qui se pourraient commettre par lesdits étudiants. »
La défense de Waremme se réorganise
Le 1er mars 1595, le Conseil de la ville édicte un règlement : la confrérie Saint-Sébastien des arbalétriers de Waremme ne suffisant pas à défendre la ville, tous les bourgeois sont astreints à prendre les armes et à monter la garde le jour comme la nuit.
Les bourgeois incapables de porter les armes, ainsi que les femmes veuves, sont frappés d’une taxe spéciale pour subvenir aux frais et nécessités des gardes.
Règlementation des « Métiers » à Waremme
En 1591, un règlement organique attribue la connaissance des transgressions des règles et ordonnances concernant l’exercice des Métiers, aux bourgmestres et aux gouverneurs des dits Métiers.
Conflit entre le curé d’Axhe et l’abbé de Saint-Denis
En 1164, le curé d’Axhe se nomme GAUTHIER. Un conflit l’oppose à l’abbé de Saint-denis, EUDES, quant au montant des revenus qu’il doit lui rétrocéder. Le Prince-Evêque de Liège est sommé de régler ce conflit, par la cour impériale de BARBEROUSSE Frédéric à qui l’abbé de Saint-Denis s’est adressé.