Projet immobilier rue de la Tannerie (Waremme)

En août 2024, la société « Sedab Invest » obtient gain de cause de sa requête auprès du gouvernement wallon contre le rejet de son projet immobilier rue de la Tannerie par le conseil communal de Waremme. Ce projet concerne un bâtiment comprenant une crèche, un centre médical, 13 appartements et 53 places de parking.

Projet de biométhanisation (Pousset – Remicourt)

En 2021, la société « Bio-Fexhe » introduit une demande de permis de construire une unité de cogénération biogaz, route des Prés à Pousset (Remicourt), pour produire de l’électricité et de la chaleur à partir des sous-produits de la culture de maïs (tiges, feuilles, spathes, rafles, cheveux).

Suite à une enquête public, le collège de Remicourt marquera son opposition.

Rejet de la Convention d’Anvers (Waremme)

Le 7 août 1865, le bureau de l’Ecole Moyenne de l’Etat se réunit à Waremme. Il repousse la « Convention d’Anvers » par 5 voix contre 1.

Votent pour ce rejet:

  • LEJEUNE
  • LAGASSE
  • HOUSSA
  • DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond
  • le juge DEBRUN

Vote contre ce rejet:

  • DIRICK

(FLEUSSU est absent)

Arbres contre urbanisation (Remicourt)

En décembre 2013, un permis d’urbanisme pour 4 logements sociaux, rue de Limont à Remicourt, est refusé à la Société de Logements Sociaux « Le Home Waremmien », en raison de la présence sur ces parcelles de deux hêtres, reconnus comme « remarquables ».

Fusion avortée (Boëlhe – Geer)

En 1829, par 5 voix contre une, le conseil communal de Boëlhe rejette la projet de réunir la commune à celle de Geer.

Les peines de Daniel François et d’Alain Michelet sont définitives (Waremme)

Le 9 décembre 2015, la Cour de Cassation rejette les pourvois introduits par le Chef de la Zone de Police de Hesbaye, FRANCOIS Daniel, et par son adjoint, MICHELET Alain, contre la condamnation qu’ils ont encourue dans le cadre de l’affaire de suicide de leur subordonnée, la policière KOCH Sandra.

 

RAPPEL DES FAITS

Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.

Le Tribunal Correctionnel de Liège, statuant en première instance, a condamné FRANCOIS Daniel à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.

Ce jugement a été confirmé par la Cour d’appel de Liège, qui a ajouté que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges ont précisé que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats ont considéré que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.

Si la peine de prison avec sursis a été maintenue par la Cour d’Appel, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes a amené la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.

Cette sanction est maintenant définitive.

 

MAIS DANIEL FRANCOIS N’EN A PAS TERMINE

Entre l’arrêt de la Cour d’Appel et la décision de la Cour de Cassation, MICHELET Alain a pris sa retraite, échappant ainsi aux sanctions administratives qui n’auraient pas manqué de s’abattre sur lui, à l’issue du rejet du pourvoi par la Cour de Cassation. Par contre, FRANCOIS Daniel (plus jeune), en arrêt maladie, depuis la condamnation en première instance (!), est dans l’attente des sanctions qui devraient découler de la procédure disciplinaire lancée contre lui par le Ministre de l’Intérieur (procédure gelée dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation).

Les sanctions possibles sont (de la plus légère à la plus lourde):

  • l’avertissement,
  • le blâme,
  • la retenue de traitement,
  • la suspension par mesure disciplinaire (de maximum trois mois),
  • la rétrogradation dans l’échelle de traitement,
  • la démission d’office,
  • la révocation (celle-ci fait perdre à l’intéressé sa qualité de membre du personnel, entraînant de lourdes conséquences au niveau de la pension).

 

 

Le projet d’Emile Jacques sera refusé (Waremme)

Le 14 février 1856, JACQUES (-HOUSSA ?) Emile dépose un projet de pensionnat pour l’Ecole Moyenne de Waremme. Il ne sera pas accepté.

La candidature de Gerbehaye est rejetée (Waremme)

Le 18 octobre 1878, la candidature du vétérinaire GERBEHAYE H. Victor aux prochaines élections communales est rejetée par l’Association Libérale Communale de Waremme est rejetée.

Désiré Dupont, refusé (Waremme)

Le 27 août 1882, la candidature de DUPONT-BOUX Désiré à la Société de chasse de Waremme est rejetée.

Pas de tombola pour meubler l’église (Waremme)

Le 5 (9 ?) juillet 1880, le projet de tombola pour meubler l’église est rejeté par le conseil communal de Waremme, par 5 voix contre 3.

Ont voté contre:

  • LEJEUNE
  • FRERARD
  • BERTRAND Denis
  • MOMMENS (échevin)
  • FRAIPONT

Ont voté pour:

  • DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond
  • MARCOTTY
  • BOUX

(le notaire JACQUES-HOUSSA est absent)