En 1847, les Petites Soeurs des Pauvres ouvrent un externat pour jeunes filles, à Limont.
Archives par mot-clé : religieuses
Marie Putzeys au Pensionnat (Waremme)
En juillet 1909, PUTZEYS Marie travaille au pensionnat des Religieuses, à Waremme. (Sa cousine est HALLET Léonie)
Les Soeurs de l’Alliance (Waremme)
En juin 2016, Soeur MARIE-ELVIRE et Soeur MARIE-SUZANNE font partie de la communauté des « Soeurs de l’Alliance », située au n° 43 de l’avenue Guillaume Joachim, à Waremme.
Elles rendent visite aux personnes âgées, seules, malades, en Maison de Retraite, …
Mort de Baudouin Boutoir (Limont)
En décembre (4 ?) 1436, le chevalier DE LYMONT BOUTOIR Baudouin décède à (?). Son épouse est PONCHE (?). Ils ont été mariés 50 ans et ont eu 12 enfants, 7 garçons (6 religieux et un prêtre) et 5 filles (4 religieuses et 1 mariée).
Il sont inhumés dans l’église de Limont.
La clinique Notre-Dame (Waremme)
En août 1944, la clinique Notre-Dame de Waremme est située à l’angle de la rue Joseph Wauters (n° 37-39) et de la rue du Baloir.
Le directeur médical est le docteur BOURMANNE Louis. Des soeurs Dominicaines s’occupent des soins et de l’administration de l’institution.
Les chirurgiens attitrés sont le docteur BLAVIER et le docteur COHEUR, qui viennent de Liège lorsqu’une opération est programmée.
Les ordres et congrégations religieux sont supprimés (Waremme – Belgique – France)
Le 1er septembre 1796 (15 fructidor de l’An IV), une loi française ordonne la fermeture des maisons ou établissements religieux, couvents, monastères, abbayes et prieurés; supprime tous les ordres et congrégations réguliers des deux sexes, en Belgique, et confisque leurs biens au profit de la République.
Cette loi accorde:
- aux religieux, un bon de 15.000 francs
- aux religieuses, un bon de 10.000 francs
- aux frères laïcs, un bon de 5.000 francs
- aux soeurs converses, un bon de 3.334 francs
Ces bons ne peuvent être employés qu’en acquisition de biens nationaux.
Les religieux doivent sortir de leur couvent dans les 20 jours après la réception de leur bon et quitter en même temps le costume religieux.
A Waremme:
- au couvent des Sépulchrines: 12 religieuses et 2 soeurs accepteront le bon;
- au couvent des Récollets: 11 religieux et 6 frères accepteront le bon.
Le Législateur prévoit une exception à cette suppression pour les maisons religieuses qui ont pour objet l’éducation publique ou le soulagement des malades et qui tiennent réellement des écoles ou des salles de malades.
La direction des domaines nommera des commissaires pour faire l’inventaire des biens et meubles des couvents supprimés et préparer leur vente publique.
Note:
Le bon que le gouvernement présente à chaque religieux fera l’objet d’une vive controverse. Il s’agit de savoir s’il est permis de l’accepter. Les uns soutiennent qu’en l’acceptant, on approuve la loi de suppression et on coopère à son exécution; qu’en rachetant les biens de son couvent avec ce bon, on viole son voeu de pauvreté. Les autres répliquent qu’en acceptant le bon, on accepte simplement une partie de ce qui a été injustement enlevé au couvent et qu’en rachetant au moyen de ce bon les biens de son couvent, on ne fait que racheter son propre bien. La plupart des religieux et religieuses du département de l’Ourte croient que l’acceptation du bon est licite.
Les Français et les religieux (Belgique – France)
En 1795, dès leur entrée en Belgique, les Français donnent aux religieux et religieuses pleine liberté d’abandonner leur état. Ils leur garantissent même une pension viagère sur les revenus de leur couvent.
Ils résisteront presque tous à la tentation.
Les Sépulchrines de Waremme
En Pluviôse An V (janvier 1797), il y a toujours 12 religieuses et 2 soeurs au Couvent des Sépulchrines de Waremme.
Les Sépulchrines de Waremme
Vers 1750, il y a 18 sœurs au Couvent des Sépulchrines de Waremme. Elles se donnent à l’instruction publique. Leur pensionnat est très fréquenté.
Des Français soignés à Waremme
En novembre 1918, 16 soldats français sont hospitalisés et soignés au Cercle Catholique où la Croix Rouge vient de s’installer, après avoir quitté le Couvent des Filles de la Croix, réinvesti par les religieuses.