En août 2012, il y a encore des religieuses à Waremme. Les Sœurs de l’Alliance rendent visite aux malades de la paroisse et des hôpitaux.
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Création de la Clinique Notre-Dame (Waremme)
En juillet 1935, la Clinique Notre-Dame voit le jour à Waremme.
Elle est fondée par le Doyenné de Waremme et la Congrégation des Filles de la Croix. Elle s’installe dans deux maisons bourgeoises du coin de la rue du Baloir et de la rue Joseph Wauters, sommairement aménagées pour accueillir l’institution. Elle est contiguë au couvent des Filles de la Croix. Des soeurs sont désignées pour y administrer les soins.
Dès l’origine, elle reçoit le soutien moral et financier des Mutualités Chrétiennes.
Ouverture de l’école Saint-Joseph (Waremme)
Au printemps 1910, avec le coucours de bienfaiteurs, et notamment du Doyen MATERNE Désiré, les Sœurs de l’Institut des Filles de la Croix achètent la maison NIHOUL à Longchamps et y ouvrent l’école Saint-Joseph.
Les soeurs qui enseigneront dans cette école, rejoindront chaque soir leur communauté, installée rue de Huy à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters).
Des écoles sont installées dans l’ancien Couvent des Sépulchrines (Waremme)
En 1860, les bâtiments de l’ancien Couvent des Sépulchrines sont partiellement occupés par d’autres religieuses, les Dames de la Sainte-Union de Douai, qui poursuivent l’œuvre des Filles du Saint-Sépulchre (Les religieuses ont été empêchées d’enseigner, sous le régime français, lors de la Révolution). Une autre partie des bâtiments est occupée par l’école communale et par la gendarmerie.
Les Sépulchrines (Waremme)
En 1763, il y a 19 religieuses au Couvent des Sépulchrines de Waremme. Elles s’occupent de l’éducation des filles et des soins aux malades.
- Dame Marie-Antoine de l’Ascension, prieure
- Dame Marie-Catherine de Saint-Bernard
- Dame Cécile de la Résurrection
- Dame Marie-Barbe de la Nativité
- Dame Ernestine de l’Incarnation
- Dame Marie-Claire du Saint-Esprit
- Dame Odile des Anges
- Dame Isabelle de Tous les Saints
- Dame Victoire de la Passion
- Dame Marie-Anne de Saint-Antoine
- Dame Marthe de Saint-Jean-Baptsite
- Dame Rose de Saint-Augustin
- Dame Lutgarde de Saint-Joseph
- Dame Constance de Saint-Herman
- Dame Marie-Thérèse de la Sainte-Agonie
- Dame Emmanuelle du Saint-Sacrement
- Soeur Anne-Marie de Saint-Jacques, converse
- Soeur Hélène de la Croix, converse
- Soeur Marie-Magdaleine du Saint-Sépulchre, converse
Leur servante est COLAR MARIE. Elle est âgée de 17 ans.
Plusieurs pensionnaires résident au couvent:
- KAIRIS Marie-Catherine, âgée de 66 ans
- GODAR Dorothée, de Lincens en Brabant, âgée de 28 ans
- HANUS Marie, de Tirlemont, âgée de 18 ans
- CORSWAREM Marie-Joseph, de Corswarem, âgée de 16 ans
- HENDRIX Aldegonde, de Mettecoven
- KUPPERS Thérèse, de Maestreick, âgée de 20 ans
Pénalités en cascade à la Confrérie des Archers (Waremme)
Le 4 juin 1742, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme condamne HENNIN Mathieu à sept sous et demi d’amende pour manquement aux règles de la Confrérie ; RECUM Arnold à quinze sous d’amende pour avoir embrassé une fille dans le « guidant » et dans le « prestiat » (pré à tirer), ce qui est contraire aux règles de la Confrérie, il est également condamné à quatre sous et demi d’amende pour avoir chanté des chansons profanes et pour avoir crié après des religieuses qui se trouvaient chez Madame JOSSAR ; DURBUTS ( ?) est condamné à deux esqualins pour une dispute avec DEJENEFFE.
Les deux premières Sépulchrines s’installent à Waremme
En 1640, deux religieuses de l’Ordre du Saint-Sépulchre, sorties de la maison de Huy, viennent à Waremme avec le consentement de leurs supérieurs pour s’établir dans le couvent des Sépulchrines, où elles s’occuperaient de l’instruction des jeunes personnes de leur sexe.