La Seigneurie d’Omal engagée (Liège)

En 1619, la Seigneurie d’Omal est engagée, par le Prince-Evêque de Liège, à DORMAEL L. (cédée moyennant une somme d’argent, avec la faculté d’en redevenir propriétaire moyennant remboursement). 

Coup dur pour la commune d’Oreye

Le 23 février 2016, la sucrerie « Beneo Orafti », d’Oreye, obtient une révision de son revenu cadastral, de 700.000 à 400.000 euros. Cela entraîne une importante diminution des recettes communales. Avec l’effet rétroactif, la commune doit rembourser un total de 2,4 millions d’euros. 

Tous les départements de la commune devront faire des économies.

Waremme emprunte

Le 2 décembre 1873, le conseil communal de Waremme vote un emprunt de 100.000 francs pour rembourser les dettes et reconstruire l’école moyenne dans les locaux de l’ancienne gendarmerie.

Derwa loue l’ancien abattoir (Waremme)

Le 3 décembre 1988, la S.A. »Derwa » loue l’ancien abattoir de Waremme à la commune, installé rue de la Costale, pour une durée de 30 ans, moyennant 2 obligations:

  • Réaliser des investissements pour aménager cet ancien abattoir en unité de fabrication et de commercialisation de viande, créatrice dès sa mise en fonction d’un minimum, de 20 emplois.
  • Payer un loyer approprié aux investissements à consentir et couvrant les dettes d’emprunt restant à rembourser par la commune, relatives à l’abattoir.

Extension de l’Ecole Moyenne Catholique (Waremme)

En 1864, un immeuble est construit, sur le terrain acheté par le Baron DE LAFONTAINE rue de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et qui lui a été remboursé par l’Evêché de Liège. Cet immeuble comprend une salle d’étude, deux dortoirs et des magasins. L’Ecole Moyenne Catholique de Waremme (qui deviendra la Collège Saint-Louis) s’étend.

Les Pères Récollets en justice (Waremme)

Le 9 mai 1740, le procureur (Fleron ?) reçoit des Pères du Couvent des Récollets de Waremme, le remboursement de différents frais. C’est la ville qui a payé les honoraires.

Les officiels de Waremme se font rembourser des « notes de frais »

En 1702, un officiel de la ville se fait rembourser par la ville les débours qu’il a supportés lors d’un voyage à Mons : frais de malles, de chevaux, de barque (à Huy), de repas, de vin, de logement, de valets, …

Waremme a des difficultés à rembourser ses créanciers

En février 1676, le conseil communal de Waremme réclame un sursis pour payer ses créanciers, car durant ces dernières années, non seulement, la ville a été obligée de verser des sommes importantes aux différents belligérants, mais encore, plusieurs de ses maisons ont été détruites et une partie de son bétail a été enlevée. Outre ces contributions de la ville, les habitants ont du fournir des rations aux différentes puissances pour plus de 8.000 florins.

La Confrérie des Archers répare le toit de son local (Waremme)

En 1659, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme rembourse sept florins dix patars à JOSSAR Henri, pour la fourniture des ardoises nécessaires à la réfection du toit de « la Chambre ».