Jean-François Bure, soldat (Boëlhe)

Le 17 mars 1812, BURE Jean-François, de Boëlhe, conscrit remplaçant KINAR Joseph (?), est incorporé au 96ème régiment de ligne. Son n° de matricule est 8890.

Jean-François Bure, transféré (Boëlhe)

Le 21 août 1812, BURE Jean-François, de Boëlhe, conscrit remplaçant KINAR Joseph (?), est transféré comme fusilier au 2ème bataillon, 1ère compagnie, du 8ème régiment de Méditerranée.

Naissance de Libert Defalle (Crisnée)

En 1840, DEFALLE Libert voit le jour à Crisnée (?). Ses parents sont DEFALLE Wathy et LAHAYE Clémence. Son père lui payera un substituant au service militaire: LEDUC Jean-Henri.

Guillaume Thioux, soldat (Verlaine)

En 1812, THIOUX Guillaume, domestique à Verlaine, est incorporé au 12ème Régiment de Cuirassiers (remplaçant ?).

Henri Rousseau, soldat (Waremme)

Le 17 décembre 1808, ROUSSEAU Henri-Joseph, de Waremme, est incorporé comme remplaçant, comme fusilier, au 4ème Régiment d’Infanterie de Ligne.

Jean-Lambert Salm à la Garde Nationale (Waremme)

Le 1er mai 1812, SALM Jean-Lambert, journalier de Waremme, conscrit, est incorporé comme remplaçant à la 78ème cohorte de la Garde Nationale.

Conseil de milice (Waremme)

Le 2 février 1867, le Conseil de Milice se réunit à Waremme, pour examiner les réclamations des miliciens. Sont présents:

  • LEJEUNE Pierre-Gille-Joseph-Jules, bourgmestre de Waremme
  • Monsieur FLEUSSU
  • DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond

Le Conseil de Milice, composé d’un membre du Conseil Provincial, d’un membre de l’Administration Communale (en tant que conseiller certificateur) et d’un officier supérieur, a  dans ses attributions l’admission de miliciens se présentant comme volontaires, substituant ou remplaçant.

Confrontation des Commissaires (Waremme)

Le 7 septembre 1944, l’ancien commissaire de police, HARDY Camille, en place avant le conflit, arrive à l’Hôtel de Ville de Waremme, en grand uniforme et bardé de ses décorations. Il s’en prend à son remplaçant, le commissaire PETERS Lucien, en hurlant à la foule: « Le Commissaire, c’est moi ! Celui-là, c’est un imposteur, un traitre qui a été le valet des Boches. Voilà ce que je fais de ceux qui ont trahi la Patrie … » Il lui arrache les insignes qu’il porte sur son uniforme et lui retire sa mitraillette, sous les applaudissements et les huées de la foule.

HARDY Camille accuse le bourgmestre, JOACHIM Guillaume, d’avoir procédé à son remplacement.

Pour calmer la situation, le représentant de l’Armée Secrète (A.S.), NELIS Gaston, conseille à PETERS Lucien de rentrer chez lui.