Renaissance du Colombier Geerois (Geer)

En janvier 2020, la troupe théâtrale « Le Colombier Geerois » renaît de ses cendres, sous l’impulsion de CARDYN Anne et HERCKENS Philippe.

Quelques-uns des acteurs:

  • CARDYN Anne
  • JACQUEMIN Christelle
  • JACQUEMIN Valérie
  • KINON Laurence
  • LERUSSE Camille
  • LOIX David
  • LOIX Raphaël
  • MATHY Julie
  • TOURNAY Marc
  • TULLIEZ André

Restauration de l’église (Hodeige)

En avril 1905, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont entamés. L’architecte chargé de ces travaux est LOHEST.

Les travaux consistent en la restauration de l’église existante, fort délabrée, ainsi qu’en son agrandissement, par l’ajout d’une nef latérale.

Le monument s’élève au milieu du cimetière. Avant les travaux, il n’a que 2 nefs, recouvertes par des plafonds en lattes, et construites dans le style flamboyant de XVème siècle (ou du commencement du XVIème siècle), mais dont le caractère architectonique a entièrement disparu lors des restaurations effectuées à la Renaissance. Le remplissage des fenêtres a été enlevé et il ne reste plus que des ouvertures de baies informes et dépouillées de tout ornement. Les matériaux, destinés dans la pensée du constructeur à être vus, ont été recouverts soit d’un épais badigeon, soit d’une couleur « agressive ». La grande fenêtre percée dans le mur plat du choeur a été bouchée par une maçonnerie et, à l’intérieur, est masquée par le maître-autel. Enfin, les murs ainsi que les toits, en fort mauvais état, achèvent de donner à cet édifice l’aspect d’une ruine plutôt que d’une église servant au culte divin.

Renaissance d’une procession (Hodeige)

Le 9 septembre 1900, l’antique « Procession de la Nativité de la Sainte-Vierge » autour de l’église, renait à Hodeige. Elle attire près de 1500 étrangers à la commune.

Le Patronage renaît (Remicourt)

En 1981, les époux TOMBEUR décident de relancer le Patronage de Remicourt.

La ferme en carré de Thys

En 1981, la ferme en carré de l’ancienne Seigneurie de Thys, rue Joseph Wauters, peut être divisée en deux volumes bien distincts: d’une part, le logis en L et l’église paroissiale Saint-Pierre, formant un petit rectangle qui s’ouvre à l’Est, et, d’autre part, le vaste U des bâtiments agricoles édifiés en brique et calcaire sur soubassement de silex et couvert de bâtières de tuiles et d’Eternit. Ce complexe, dressé sur un escarpement au pied duquel coulait le « R’wa », autrefois protégé par un fossé, a subi de très nombreuses modifications et trouve probablement son origine à la fin du 16ème siècle (pierre armoriée de 1576 sur le logis).

L’accès se fait au Nord par un porche en arc surbaissé doublé d’un rouleau de brique et reposant sur des piédroits harpés protégés par des chasse-roues.

Un petit bâtiment légèrement plus haut que le porche et en saillie par rapport à celui-ci, opère le lien avec le logis. Il présente un pignon débordant à épis et des bandeaux horizontaux de calcaire qui prolongent les piédroits harpés de ses trois fenêtres rectangulaires (aujourd’hui murées ou transformées).

L’imposant logis bâti sur un soubassement de silex, à l’endroit le plus escarpé de la butte, contrebalance le volume de l’église lui faisant face. A l’origine, il semble s’être composé d’une seule zone rectangulaire de deux niveaux hauts sur cave, percés côté cour de baies aux montants chaînés et prolongés de bandeaux horizontaux en calcaire. Des croupettes d’Eternit ont été ajoutées à la bâtière de tuiles. Sur cette première partie s’est greffée une aile plus basse formant le petit côté du L, éclairée d’étroites fenêtres surmontées d’arcs de décharge en briques, aujourd’hui murées et remplacées par des percements récents qui déparent d’ailleurs toutes les façades du logis. Une tourelle d’escalier aux angles arrondis se cale dans l’angle formé par les deux ailes du logis. Elle présente sous corniche une belle frise de briques dentée sur denticules, que l’on retrouve également sur toute l’habitation. A noter, à l’intérieur du logis, la présence de deux belles cheminées aux jambages de Style Renaissance. Un autre jambage de cheminée, figurant un personnage tenant un lion, est encastré dans la façade côté cour, à proximité de l’actuelle porte d’entrée.

A l’Ouest, un haut mur de briques, contre lequel s’appuient des porcheries modernes, relie l’habitation et la tour de l’église, fermant ainsi la « Cour d’Honneur » que ponctue une petite construction récente qui abrite un vieux puits.

Des étables fortement transformées, couvertes de voussettes et surmontées de fenils, bloquent les deux côtés du U destiné à l’exploitation agricole.

Une grange récente en double-large occupe le troisième côté. De belles portes d’étables à linteau cintré, doublé d’un rouleau de brique sur piédroits à queue de pierre, subsistent comme seules traces des bâtiments primitifs.

A l’extérieur du quadrilatère, vers le Nord, se rangent des porcheries modernes.

Renaissance des Sans-Souci (Waremme)

En 1958, le groupe folklorique « Les Sans-Souci » renaît à Waremme.

Le cortège du carnaval va renaître (Waremme)

Le 28 novembre 1956, le Comité des Fêtes de Waremme se réunit une seconde fois sur le projet de ressusciter le cortège du carnaval dans la ville, l’année suivante.

Renaissance de l’Union Waremmienne de ping-pong

En 1963, l’Union Waremmienne de ping-pong renaît de ses cendres, après la cessation du club créé par les « Jeunes Gardes Socialistes » de Waremme.

Les premiers joueurs sont:

  • BELAJEW Serge
  • BREULET José
  • BURRE Willy
  • FORET André
  • HAUTECLAIR Jean-Luc
  • JADOUL Emile
  • LHOEST Jean
  • MASSET Marcel
  • PELLAERTS
  • PIRSON J.
  • PRINCEN Georges
  • ROBERT Pol
  • THOMAS A.
  • THOMAS José
  • VELKENEERS H.
  • WOTERS José

La famille d’Omalius (Omal)

Aux 15ème et 16ème siècles, les descendants des seigneurs d’Omal, conquis par les idées de la Renaissance, latinisent leur nom et se font appeler « D’OMALIUS ».