Le 10 octobre 1861, BRONCKART Jean-Antoine, propriétaire à Roloux, fait donation à la Fabrique d’Eglise du village, d’une rente annuelle de 156 francs, au capital de 3.900 francs, à charge pour celle-ci de faire célébrer 52 messes.
Le 23 juillet 1613, COUNOTTE Gaultier, de (?), relève une rente de 8 muids d’épeautre sur des terres sises à Fexhe-le-Haut-Clocher.
Le 31 octobre 1667, DE MAILLART Charles, Baron de Landres, vend à DE VIGNA(N)COURT Henri la huitième part de la Seigneurie de Haneffe et des Seigneuries de Donceel, Stier, Ferier, …, pour une rente de 300 florins.
Le 24 octobre 1281, l’Official de Liège « Sede Vacante » fait savoir que le chapitre de Sainte-Croix a donné en lansage (?) perpétuel (location héréditaire ?), au chevalier DE BERLO(Z) Fastré, fils de feu DE BERLO(Z) Eustache:
moyennant 20 muids d’épeautre de Hesbaye, huit chapons et dix deniers annuellement.
Le 25 juin 1306, la Cour Allodiale de Liège rédige un acte par lequel elle confirme que SINAGON (?), dit « DE JENEFFE », a donné à la Confrérie, dite « de Moregni », instituée dans l’église de Saint-Lambert à Liège, une rente assignée sur une terre située entre Jeneffe et Noville.
Le 24 avril 1794, LEJEUNE Marie-Catherine signe son testament devant le notaire MELARD (de Waremme ?).
Les bénéficiaires sont:
Le1er juillet 1665, DE CORSWAREM François-Ernest purge le dette de son frère aîné, le Comte DE CORSWAREM Jean II ; Landelies allait être saisie faute du paiement d’une rente.
Le 16 février 1535, la Cour Jurée de DE CORSWAREM Raes II, à Corswarem, fait savoir que TOERS Wilhem a vendu, pour 43 florins du Rhin, à DE CORSWAREM Wauthier, Doyen de Saint-Jean, 1 muid d’épeautre de rente sur 15 verges de terre sises au Chemin de Corswarem à Haske (?).
En octobre 1453, la Cour de Justice de DE CORSWAREM Arnould VI, au village de Herck-Saint-Lambert, prend position au sujet d’une rente.
(DE CORSWAREM Arnould VI possède la Seigneurie de Herck-Saint-Lambert par son second mariage)
Le 22 février 1369 (?), DE CORSWAREM Arnould III devient Seigneur de Momalle, moyennant une rente annuelle de 53 muids d’épeautre. Jusque-là, il en était l’avoué.