Le 22 février 1369 (?), DE CORSWAREM Arnould III devient Seigneur de Momalle, moyennant une rente annuelle de 53 muids d’épeautre. Jusque-là, il en était l’avoué.
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Revenus du Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)
En 1726, les revenus de l’autel ou Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église de Hodeige, sont évalués à 19 muids de rente annuelle.
Revenus du Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)
En 1712, les revenus de l’autel ou Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église de Hodeige, sont évalués à 19 muids de rente annuelle.
Revenus du Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)
En 1669, les revenus de l’autel ou Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église de Hodeige, sont évalués à 19 muids de rente annuelle.
Les habitants dotent leur église (Hodeige)
En 1259, les fidèles de Hodeige dotent leur église de 9 bonniers de terre, qui doivent servir à l’usage du curé, ainsi que d’une rente annuelle de 4 muids d’épeautre. (Le bonnier étant calculé comme rapportant annuellement 3 muids, avec 9 bonniers, le curé aura donc un revenu annuel de 27 muids, plus 4 muids de rente annuelle, soit un total de 31 muids).
En outre, il percevra les oblations des fidèles et le « casuel » qui consiste dans la perception des droits d’étole à l’occasion de services religieux pour les défunts et les offrandes que l’on fait à l’occasion de la réception de certains sacrements ou d’autres cérémonies de l’Eglise.
Testament de Thomas de Donceel (Hodeige)
Le 6 juillet 1636, le curé de Hodeige, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, rédige un testament par lequel il choisit sa sépulture dans l’église de Hodeige. Il y fonde un anniversaire et lègue à la Mense des Pauvres une rente annuelle de 4 muids d’épeautre.
Il fait quelques legs, à :
- SIMONIS Jean, un cousin de Liège
- SIMONIS Gilles, avocat, un cousin de Liège
- sa nièce, Marguerite, épouse de COMAN Jean de Hodeige
- sa belle-sœur, Marguerite, veuve de DE DONCEEL Bauduin
Quant à tous ses autres biens meubles et immeubles, il en institue ses héritiers universels, DE BRABANT Antoine, son beau-frère, et DE DONCEEL Marguerite, sa soeur.
Un château à Oreye
En mars 1261, le chevalier DE MONFERANT Adan, Seigneur d’Oreye, et son épouse D’OREYE Elisabeth prennent en location, à perpétuité, 6 bonniers de terres , près de Tis (Thys ?), auprès de l’abbé de Saint-Trond, contre une rente annuelle de 26 muids d’épeautre. Ils ne pourront vendre ce bien sans le consentement de l’abbaye (Leurs successeurs payeront cette rente jusqu’à la Révolution française et l’abolition du régime féodal).
Sur ces terres, ils construiront un château féodal. Cet édifice comprendra une cour haute et une cour basse, flanquées de 4 tours carrées situées à chacune des extrémités. Une maison seigneuriale et un quartier des serviteurs et domestiques y seront adjoints. Des écuries et des étables complèteront l’ensemble. Une seule entrée permettra l’accès à ce château. Elle sera surmontée d’un donjon, précédé par un pont-levis. Des étangs, alimentés par le Geer, entoureront cet ensemble.
L’abbé de Saint-Trond veut racheter des terres (Oreye)
En 1601, l’abbé de Saint-Trond, BETTEN Léonard, entame des négociations avec les héritiers de VAN DER ERTWECK Denis, de Liège, pour racheter des terres sises à Oreye. Le prix est fixé à 6.100 florins du Brabant. Il s’engage à le payer par une rente annuelle de 406 florins (en +/- 15 ans).
Guillaume de Hemricourt, vassal (Liège)
En 1287, le Seigneur DE HEMRICOURT Guillaume devient le vassal du Prince-Evêque de Liège, moyennant une rente annuelle de 200 muids d’épeautre. L’acte précise qu’il existe une forteresse dans la Seigneurie.
Arnould de Corswarem, Seigneur de Momalle
Le 22 février 1369, DE CORSWAREM Arnould acquiert la Haute Justice et la Seigneurie de Momalle, de l’Abbaye Saint-Laurent de Liège, moyennant une rente annuelle de 53 muids d’épeautre.