Revenus du Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)

En 1726, les revenus de l’autel ou Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église de Hodeige, sont évalués à 19 muids de rente annuelle.

Revenus du Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)

En 1712, les revenus de l’autel ou Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église de Hodeige, sont évalués à 19 muids de rente annuelle.

Revenus du Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)

En 1669, les revenus de l’autel ou Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église de Hodeige, sont évalués à 19 muids de rente annuelle.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1820, les revenus du curé de Hodeige s’élèvent à 64 muids 2 setiers et 3 florins, tant en rente qu’en fermage.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1815, les revenus de la cure de Hodeige s’élèvent à 64 muids 1 setier. Il a, en outre, 104 deniers fortis de rente et 36 florins 94 sous.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1786, le curé de Hodeige perçoit le revenu de 14 bonniers, 18 verges grandes et 12 petites, ainsi que 60 muids 7 setiers d’épeautre et 46 florins 19 sous et 267 deniers fortis de rente. En outre, chaque communiant de la paroisse lui offrir 7 oeufs le Jeudi-Saint.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1750, le curé de Hodeige a le revenu de 13 bonniers, 2 verges grandes et 12 petites, ainsi que 52 muids et 1 setier de rente. De plus, le bénéficier de Saint-Erasme doit lui verser 6 florins par an.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1528, les revenus annuels de la cure de Hodeige, sans compter le « casuel », s’élèvent à 120 muids d’épeautre, plus environ 200 deniers fortis de rente.

Les habitants dotent leur église (Hodeige)

En 1259, les fidèles de Hodeige dotent leur église de 9 bonniers de terre, qui doivent servir à l’usage du curé, ainsi que d’une rente annuelle de 4 muids d’épeautre. (Le bonnier étant calculé comme rapportant annuellement 3 muids, avec 9 bonniers, le curé aura donc un revenu annuel de 27 muids, plus 4 muids de rente annuelle, soit un total de 31 muids).

En outre, il percevra les oblations des fidèles et le « casuel » qui consiste dans la perception des droits d’étole à l’occasion de services religieux pour les défunts et les offrandes que l’on fait à l’occasion de la réception de certains sacrements ou d’autres cérémonies de l’Eglise.

Des prairies pour le curé (Hodeige)

Le 2 avril 1755, deux prairies (d’une superficie respective de 19 verges grandes et de 4 verges grandes) sont données au curé de Hodeige, l’abbé VILLEGIA Antoine par:

  • HEUSKIN Sébastien, bailli de Hodeige et préposé de l’Etat primaire à Liège
  • LATOUR Wathieu, mari de HEUSKIN Marion, soeur de HEUSKIN Sébastien

En retour, le curé renonce, en faveur de ses donateurs, pour lui et ses successeurs, en vertu du pouvoir qu’il a reçu de l’archidiacre du Brabant, à une rente de 13 setiers d’épeautre due à la cure par la famille HEUSKIN. En outre, le curé s’engage pour lui et ses successeurs, à leur payer annuellement une rente foncière d’un muid d’épeautre.