Anne Dumoulin renonce à son héritage (Oleye)

Le 20 mai 1740, devant le notaire DOTHET, DUMOULIN Anne, avec son mari LEJEUNE Michel, renonce à l’héritage de son père,DUMOULIN Tassin, moyennant 30 florins Brabant de rentes sur 600 de capital (?).

Mariage de Michel Lejeune et Anne Dumoulin

Le 13 janvier 1713, LEJEUNE Michel épouse DUMOULIN Anne à (?).

Le père de la mariée est DUMOULIN Tassin (et sa soeur DUMOULIN Catherine).

La mariée apporte en dot:

  • 30 florins brabant de rentes dues par la communauté d’Oleye
  • 8 muids de bon (braz ?)
  • 2 vaches et une amaille (?)
  • 1 truie et 2 nourrains
  • 2 lits bien équipés
  • tous les petits meubles nécessaires à la maison et selon son état (?)

Ils auront (au moins 5 enfants):

  • LEJEUNE Marie-Catherine, qui restera célibataire
  • LEJEUNE Toussaint
  • LEJEUNE Pierre
  • LEJEUNE Gilles, qui sera menuisier et qui restera célibataire
  • LEJEUNE Jean-Michel, qui épousera LHOEST Marie-Jeanne et qui sera médecin et chirurgien

Testament de Gilles Lejeune (Oleye)

Le 2 septembre 1685, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Gilles rédige son testament devant le curé d’Oleye, l’abbé DE LHOURS Tilman:

  • A son fils aîné, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Gilles, il laisse la cense, les terres et prairies à stuit. Il est le seul à ne pas participer au passif de la succession, à savoir des rentes dues, entre autre, au prélocuteur BONNECHERE et à LAMBRECHT Michel.
  • A son deuxième fils, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Guillaume, il laisse les biens provenant de DE BROUCK François, les terres à stuit de Saint-Lambert, une rente de 3 muids de seigle sur le moulin de Walkin et une rente de 10,5 florins Brabant sur ce même moulin.
  • A son troisième fils, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Michel, il laisse sa maison de Waremme, les terres à stuit de Monsieur DE LONGCHAMPS, 12 verges de prairies au lieu-dit « de la Costalle, à stuit d’un bénéficier ». (Si l’un de ses fils meurt sans enfant mâle, sa part sera partagée entre les frères restants – Ce ne sera pas le cas).
  • A ses quatre fille, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Gertrude, Catherine, Elisabeth et Jeanne, il laisse les terres et prairies héritables provenant de ses père et mère, à condition qu’elles aient des héritiers

Le marguillier de Hodeige

Avant 1595, la marguillerie de Hodeige est à la collation du curé de la paroisse. Celui-ci a le droit de révoquer le marguillier, chaque année, 6 semaines avant la Saint-Jean, temps auquel le marguillier doit remettre aux mains du curé le livre de la marguillerie renfermant les rentes dues à ce sujet.

Le marguillier doit avoir une conduite irréprochable. Il ne doit jamais passer devant l’autel de l’église sans faire une génuflexion d’un genou (quand le Saint-Sacrement n’est pas exposé) et de deux genoux (quand il est exposé). Il doit toujours être propre lorsqu’il assiste aux offices; avoir nettoyé l’église et les autels la veille des solennités et le choeur tous les samedis. Il veille à remettre les ornements et à replier les surplis et aubes après qu’on s’en est servi. Il lui incombe aussi le soin des cloches, d’ouvrir et de fermer les portes de l’église et du cimetière. Il doit savoir parfaitement son chant et chercher les offices. Il doit accompagner le pasteur ou son vicaire dans la visite des malades, tant la nuit que le jour, quand il en est requis. Enfin, il doit porter beaucoup de respect aux ecclésiastiques de la paroisse.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1582, l’église de Hodeige possède 2 bonniers de terre qui rapportent 6 muids 7 setiers; le reste des revenus s’élève à 23 muids environ. Ils consistent en rentes, dont quelques-unes, étant litigieuses, ne se payent pas.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1580, tant en rentes qu’en fermages, le curé de Hodeige perçoit à peu près un revenu annuel de 150 muids d’épeautre (les fermages comprennent 17 bonniers, 11 verges grandes et 19 petites)

Rentes au profit des pauvres (Waremme – France)

Le 13 octobre 1809, un décret impérial autorise l’acceptation de l’offre faite par le maire de Waremme (département de l’Ourte), au nom de personnes qui veulent rester inconnues, de découvrir, au profit des pauvres de la commune, diverses rentes d’un revenu annuel de 11.925 litres 60 centilitres d’épeautre, et 4.360 ares de terre et prairie, provenant de corporations supprimées et célées à la régie du Domaine.

Les habitants redevables de rentes (Thys)

En 1562, 26 habitants sont redevables de rentes à Thys:

  • ALIXANDRE Geyes
  • ART Johan
  • BENOY Johan
  • le veuve BENOY Louis
  • DE RIWA Gyerken
  • DETHYS Toussaint
  • ENGLEBERT Libert
  • HANNES Heyn
  • HANNOZET Guilhaume
  • HAPPART Denis
  • HAPPART Gilet
  • HAPPART Louis
  • LE BERGIER Keen
  • LE CHARLIER Louis
  • LE CUVELIER Simon
  • LE MARISCHAL Werar
  • LENCHEN Antoine
  • LENCHEN Ernult
  • LE PARMENTIER Keen
  • MANS Jan
  • PIRAR Jacquemin
  • PIRAR Thiry
  • PONCELET Paulus
  • le veuve PONCELET Stienne
  • RIGAUL Henry
  • TOPPET Gielet

Conflit entre paroisses (Hollogne-sur-Geer – Darion – Le Manil)

En janvier 1873, la Fabrique d’Eglise de Hollogne-sur-Geer sollicite l’autorisation d’ester en justice contre la Fabrique d’Eglise de Darion, revendiquant les biens et rentes de la chapelle Saint-Romuald du Manil.

L’héritage « De Selys-Longchamps » (Waremme)

En 1837, l’héritage de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent est estimé à 4,5 millions de francs: il est notamment composé de 150 rentes d’une valeur de 300.000 francs, de nombreux biens immobiliers à Waremme et à Saint-Trond, la ferme et le château de Longchamps, …